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Mardi 13 février s'est déroulé à Bar le Duc le procès de trois militants qui ont démonté un mur construit dans le bois pour le centre d’enfouissement de Bure (Cigeo). Ce mur a pourtant été construit illégalement. Surtout, l’enfouissement des déchets d’une durée de vie de plusieurs milliers d’années fait porter des risques considérables sur les générations futures.
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Le 6 février dernier, je me suis rendue au rassemblement de soutien à Nicole Briend, militante d’Attac faisant face à un procès pour pour « vol en réunion » (et refus de donner son ADN) suite à une action de réquisition de chaises en mars 2016 dans l’agence BNP Paribas de Carpentras. Aujourd’hui, 12 février 2018, Attac doit à nouveau se rendre au tribunal (TGI de Paris).
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Je me suis rendue ce 6 février 2018, au nom de Generation.s, au rassemblement en soutien à une militante d’Attac, Nicole Briend, qui doit faire face à un procès pour pour « vol en réunion » (et refus de donner son ADN) suite à une action de réquisition de chaises en mars 2016 dans l’agence BNP Paribas de Carpentras.
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Le harcèlement de rue est à nouveau visibilisé dans le débat public, ce qui est utile et appréciable. Mais il me semble important de savoir apprécier dans le même temps les controverses que peut susciter sa verbalisation et qui émanent précisément des associations féministes luttant contre les violences sexuelles et le harcèlement de rue.
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Notre loi et notre système législatif permettent-ils de répondre efficacement aux actes de viol et d’agression sexuelle ? N’est-il pas nécessaire de réaffirmer la primauté de l’idée de « consentement » ? Est-elle seulement correctement définie dans la loi ? Enfin, comment soutenir et venir en aide aux personnes violentées sexuellement ?
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Je publie sur ce blog la lettre que je viens d’adresser à Rachid Temal, secrétaire national à la coordination de mon parti, le Parti socialiste. Le vote de nos parlementaires en faveur d’une loi qui remet en cause notre État de droit met en péril les valeurs fondamentales de notre famille politique.
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Chers camarades, hier, à l’Assemblée nationale, aucun des camarades députés de notre parti ne s’est opposé à la loi dite de sécurité intérieure et lutte contre le terrorisme. Ce texte n’est pourtant pas un texte comme les autres car il remet en cause notre État de droit. Nous, militants socialistes, ne pouvons rester indifférents.
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En République, c’est le Parlement qui contrôle le Gouvernement, et non l'inverse. En République, c’est aux citoyens qu’il appartient de décider si les représentants sont dignes de confiance. En République, un député élu par des citoyens libres doit être une voix libre – et non pas la voix du Président. En somme, une République qui « marche », ce n’est pas une République qui marche « au pas ».
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Au lendemain de l’élection présidentielle qui a vu la gauche absente du second tour, beaucoup de ceux qui affirment vouloir travailler à son unité laissent aussi entendre que cette unité se construira autour d’eux ou à partir d’eux seuls. Or, pour que des appels à l’union soient suivis d’effet, encore faut-il que nos méthodes et nos pratiques reflètent nos projets...
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Militante de la Confédération paysanne, ancienne institutrice et agricultrice du Haut-Doubs aujourd’hui à la retraite, Dominique Henry a participé en 2014 au «démontage» de la salle de traite de la «ferme des 1 000 vaches» dans la Somme. Une action militante et un refus de prélèvement ADN qui lui ont valu une garde-à-vue de plus de 2 jours et une condamnation en première instance...