Moi, je ne crois qu’en une chose… il faut se choisir une vocation et se nourrir de cette vocation. Nourrir sa pensée, sa réflexion, ses émotions, son humanité…
Qui se souvient de Gérard, ce gros et gras raminagrobis du cinéma français ? Un chat avachi dans le Chablis et le Chaource… Qui parle encore du bonhomme, plusieurs dizaines d’années après la révolution ?
Les sonneries tristes au fond des bois habités donnent le « la ». Chacun, chacune accuse son voisin de l’hallali. J’ai vu se lever, d’année en année, une France du mépris, de l’exclusion, que tous ont nourrie, du rouge foncé au noir. C’est si facile d’en vouloir aux autres de ses propres incuries.
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