
Christine Marcandier
Littérature
Paris
Sa biographie
Professeur des universités (littérature française). Journaliste littéraire à Mediapart (2011-2015) et désormais sur diacritik.com
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Mi ricordo, Christophe Grossi se souvient
Dans le prière d’insérer de Ricordi, Arno Bertina interroge ce livre sur le mode du « sans doute » : Pourquoi Christophe Grossi, au lieu de souvenirs, dit-il avoir des « ricordi » ? Serait-il italien comme son patronyme le suggère ? Ou cette Italie est-elle une patrie imaginaire, littéraire, tenant de la fiction intime ? -
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Gary Shteyngart, génial bon à rien
Gary Shteyngart est né en 1972. Et le quatrième livre qu’il publie, à 42 ans, n’est pas un roman mais, déjà, des mémoires qui pourraient avoir pour titre celui de l’un de ses précédents livres, Traité de savoir vivre à l’usage des jeunes russes, Absurdistan ou Super triste histoire d’amour. Mémoires d’un bon à rien est le récit d’une vie particulière comme d’une œuvre, un nouveau départ. -
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Les vies imaginaires d'Alexandre Gefen
« À chaque être, plusieurs autres vies me semblaient dues », écrit Arthur Rimbaud dans Une Saison en enfer, cité en épigraphe du dernier essai d’Alexandre Gefen, Inventer une vie, La Fabrique littéraire de l’individu. -
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Jean-Philippe Cazier, détruire, dit-il
Ce texte & autres textes de Jean-Philippe Cazier naît du silence, d’un silence paradoxal, noir : il est deuil et fuite, « commencé en silence », poursuivi par syncopes. Il est texture, tissu, trouées, volonté d’échapper à cet espace « où aucun mot ne parle plus ». -
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Lefranc, Pialat, gueules ouvertes
Georges Bataille, en exergue du dernier livre d’Alban Lefranc, en donne le la. Il s’agira, pour l’écrivain Apprenti sorcier de chercher et rencontrer la « merveille aveuglante », « ce qu’un être possède au fond de lui-même de perdu, de tragique ».