Encore et toujours, l'Etat, ses flics et ses juges cherchent à imposer leur autorité contre les jeunes des quartiers populaires : cette fois-ci c'est en les empêchant de se rafraichir.
Chronique des comparutions immédiates du mercredi 8 février, à la suite des expressions légitimes déclenchées par le viol de Théo. Des révoltes qui traduisent un ras-le-bol quotidien et ancien.
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