Nous commémorons les 70 ans de l'appel du 18 Juin. De Gaulle a cette date, mis en jeu sa carriére, sa réputation pour une certaine idée de la france et surtout de son honneur fait de fidélité à ses alliés, de combat pour ses idéaux de liberté et d'égalité, fait d'une volonté de refuser ce qui pouvait sembler inéluctable, de refuser ce qui est ignominieux de refuser en somme de s'abaisser.Et nos footeux eux déshonore notre pays par l'étalage de leur haine, de leur vulgarité, de leur rancoeur, de l'indécence de leur faineantise par rapport à leur salaire, de leur incompétence collective sur le terrain. Qualifié par une tricherie, non seulement ils ne gagnent rien mais en plus crachent dans la soupe et sur la fédération qui a eu la faiblesse et l'idiotie de maintenir cette équipe de gangsters.
J’ai une passion la photographie, et j’ai une grande admiration pour le travail de nombreux grands photoreporters. Aujourd’hui en crise économique et en survie, comme le démontre avec courage le blog de michel puech , les photoreporters continuent avec ténacité et passion de nous informer avec leur regard et leur talent artistique sur le monde d’aujourd’hui. Certains y laissent la vie après s’être impliqué corps et âme dans leur sujet comme christian poveda dont une exposition malheureusement brève retrace le travail dans les gangs du salvador. Parmi ces photoreporters se distingue Lizzie Sadin. Femme et photographe engagée, cette artiste du noir et blanc armée de son objectif attaque de front, avec force et sensibilité les sujets les plus tabous et les plus violents humainement parlant.
Aprés le reportage concernant les fouilles de l'INRAP au chateau de Baillet ci dessous une petite biographie du sculpteur et une vidéo des fouilles. Cette vidéo a été produite par l'INRAP et le découvreur François Gentili.
Après une longue disparition, du plus profond d’une glacière d'île de-France ont surgi des héros soviétiques oubliés.Aujourd'hui, lors de la journée de l’archéologie organisée par Arte et l’INRAP, ont été présentés au public, en avant première, des éléments des magnifiques bas reliefs qui ornaient le pavillon de l’URSS pendant l’exposition universelle de 1937. Ces statues ont une histoire étonnante. L'exposition universelle de 1937 En 1937, à Paris, en pleine guerre civile espagnole, l’exposition universelle bat son plein. Guernica de Picasso brille au pavillon espagnol tandis que les pavillons soviétique et nazis s’affrontent de chaque coté du pont d’Iéna, se faisant face en se défiant par dessus la palce de varsovie. La guerre s’annonce déja. Face à l’aigle nazi haut de 43m de l'architecte Albert Speer, qui perfidement a attendu la fin de la construction du pavillon soviétique pour finaliser la hauteur de son monument ; le pavillon soviétique, long de 160 m, oppose un ouvrier et une kolkhozienne brandissant faucille et marteau, une statue colossale en acier, réalisée par Véra Moukhina et symbolisant l’union des travailleurs de l’agriculture et de l'Industrie. Cette statue récemment restaurée trône désormais sur Prospekt Mira à MoscouA leurs pieds, on le voit sur l'image, de chaque coté, deux massifs latéraux sont décorés d'allégories des onze républiques soviétiques d’alors. Sur les petis cotés de devant et de l'arriére se trouve un ensemble de musiciens et à l'opposé un groupe représentant le sport et l'armée. Hautes de 2,5 mètres, revêtues d’un brillant métallique et oeuvres de Joseph Tchaïkov, juif ukrainien et grand sculpteur réaliste soviétique, ces statues en ciment représentent des fileuses, tankistes, enfants et musiciens. Ce sont ses prolétaires qui depuis 2004, grâce aux efforts de l’INRAP et de françois Gentili ont été exhumés de la glacière de Baillet-en-France. La glaciation ont le voit peut avoir du bon.