Nous vivons un siècle lourd de périls où les tenants de l’ordre néolibéral ont déclaré la guerre aux peuples de la terre. Guerre sociale, guerre économique, guerre militaire, guerre contre l’environnement. Partout leurs saccages laissent les populations meurtries et sacrifiées pour de vils intérêts, que Goya, en son temps, dénonçait déjà dans le « Tres de Mayo » et les « Désastres de la guerre ».
Les connivences du pouvoir politique et financier aux affaires du vieux monde témoignent chaque jour de leur mépris pour les populations et la démocratie. Partout la nostalgie impérialiste de la domination s'impose comme sauvetage de la mondialisation sauvage. Ne laissons pas le saccage et la peur nous plonger en eaux troubles et relisons plutôt Le radeau de la Méduse° du génial Géricault.
Il y a 200 ans naissait un des plus grands poètes du XIXème siècle Charles Baudelaire qui n’aura vécu que 46 ans. Toute une jeunesse pour produire une œuvre poétique magistrale : Les fleurs du mal.
Alors que nous apprêtons à célébrer les 150 ans de la commune de Paris il m’a paru opportun d’évoquer la mémoire de Louise Michel surnommée par Verlaine « la vierge rouge »
Plus de quatre milliards d’individus sont confinés depuis plusieurs mois. L’économie mondiale tourne au ralenti. Des centaines de milliers de voix disent qu’il faut tirer les leçons de ce qui nous arrive mettant clairement en cause le néolibéralisme
https://ceriseslacooperative.info/ de juin 2020
Le débat sur la dette publique n’est pas nouveau. Il revient de façon récurrente et parfois violente, comme lors de la présidentielle 2017, et sera à coup sûr au centre des débats pour celle de 2022.
article paru dans le journal Cerises https://ceriseslacooperative.info/
Le temps nous est très familier. Nous l’éprouvons à l’intérieur de nous-mêmes puisque nous parlons d’horloge biologique : quand nous avons faim, soif envie de dormir. Le temps est décliné en 3 temps : le passé, le présent et l’avenir, le futur.