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Certes, il faut des solutions les mieux adaptées possibles pour traiter le volet sécuritaire, toutefois, sur ce dossier on ne peut que déplorer une surenchère de promesses controversées. Idem sur le volet social. Alors que d’autres problématiques qui vont impacter durablement notre vécu culturel, sociétal, économique, environnemental climatique sont délaissées...
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Pour les non vaccinés, après les déclarations « déplacées » d’Emmanuel Macron, le gouvernement s efforce de prendre des mesures incitatives. La dernière en date: la transformation du passe sanitaire en passe vaccinal. Mais certain(e)s n’hésitent pas à émettre des idées plus radicales, comme celles de faire payer les soins, auxquels seraient soumis les non-vaccinés.
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Actuellement, près de 40 candidat(e)s ont fait offre de service aux Français(e)s pour faire leur bonheur pendant 5 ans. Mais attention, il faut obtenir 5OO signatures de certaines catégories d’élu(e)s, ce qui va en laisser de nombreux sur « le carreau ». Pour les survivants Seuls 4 où 5 peuvent espérer figurer parmi les deux finalistes d’où sera choisi(e) l’élu(e) des Français.
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Les urgences d’hôpitaux publics ferment dans le pays. Que ce soit pour quelques heures, des nuits, chaque jour ou pendant plusieurs semaines, ces services doivent fermer leurs portes faute de personnels soignants. Cela illustre la gestion selon le modèle de « l'hôpital entreprise » avec l'obsession de la performance et de la rentabilité en cours depuis des décennies.
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Eric Zemmour, en confondant volontairement son rôle de polémiste et d’historien, avec des affirmations historiques sur fond de révisionnisme, dont la pensée est recouverte de fragments de haine, ne peut être qu’un poison pour la république. Ses référence à Barrès, écrivain nationaliste, antidreyfusard et antisémite ou tenter de réhabiliter Pétain, le prouve.
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Dans un discours le 14 Octobre 2021, la ministre déléguée au logement Emmanuelle Wargon a fait part de tout le mal qu’elle pense de la maison individuelle. Deux jours après, face à certaines réactions des milieux professionnels, elle se ravise. Du moins partiellement en façade, car au fond elle exprimait la pensée d’Emmanuel Macron ?
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Qu’il s’agisse des candidat(e)s aux primaires « ouvertes » ou « fermées », de même pour celles et ceux qui ne passent pas par des primaires, on ne peut pas dire qu’au cours de leurs débats de pré-campagne électorale, ces candidat(e)s évoquent le triptyque « démographie, numérique, dette », alors que ce triptyque va affecter profondément nos sociétés.
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En France, « primaires ouvertes » ou « primaires fermées » se sont imposées depuis 1995 comme nouvel usage pour la désignation d’un(e) candidat(e) à l’élection présidentielle. Malgré les toilettages successifs de la Constitution, cette disposition n’y figure pas et tous les candidat(e)s président(e)s n’y ont pas recours. Mais est-ce réellement un plus pour la démocratie ?
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La nouvelle révolution numérique avec ses avantages et ses inconvénients. La dette dont le remboursement se posera et ne sera guère aisé. La démographie qui ne cesse d’exploser, alors que notre impact environnemental dépend de note mode de vie multiplié par notre nombre. On peut dès lors regretter que ces thématiques ne préoccupent guère les candidat(e)s président(e)s...
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Si on observe la campagne des primaires, nouvel usage depuis 2012 pour »sélectionner » une candidature à l’élection Présidentielle, comme aux élections précédentes, les premières déclarations des candidat(e)s droite et gauche ignorent l’innovation et toujours les deux problématiques avec leurs impacts que sont la démographie et la nouvelle révolution numérique ...