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Les déclarations de Donald Trump pendant sa campagne électorale, tant par rapport au peu d’intérêt qu’il accorde à l’Europe et à sa volonté de lâcher en partie financièrement les Européens au sein de l’OTAN que l’Ukraine et son financement, interrogent. Mais, Donald Trump ne doit pas oublier les engagements USA au sein de l’OTAN, de même que ceux pour l’Ukraine qui a été envahie par la Russie.
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Par rapport à la dette abyssale de la France qui est de plus de 3200 milliards et à l’heure des économies à faire de tout coté, parmi celles qui sont à réaliser, ne faut-il pas aussi repenser totalement le système nataliste des allocations familiales, supprimer le quotient familial qui est est une exception en Europe, ainsi que la majoration des retraites à partir de trois enfants ?
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Si l’on veut réduire le déficit abyssal de la France, il faut que pour un Euros dépensé ici, il faut réaliser deux euro d’économie ailleurs. Et si l’on crée un prélèvement fiscal, il faudra en supprimer un autre inférieur. Ce qui signifie aussi que pour améliorer et développer les services publics en secteur rural, il faut réformer la structure territoriale des communes et intercommunalités ?
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Comme le préconise Didier Barthès co-président national du Mouvement Ecologiste Indépendant (MEI), plutôt que couvrir d’importantes surfaces arables et déboiser inutilement, il faut installer le photovoltaïque sur les espaces déjà artificialisés qui sont bien assez, et même trop nombreux : toits des parkings couverts, des bâtiments logistiques ou industriels divers, supermarchés et toits des HLM.
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Le président de la république n’a eut d’autre choix que celui d’aller chercher un homme politique, certes de qualité, expérimenté de la chose publique, mais tout de même issu d’un parti politique, dont le résultat au second tour des élections législatives ne fut guère brillant. Mais désormais, les choix politiques ne se décideront qu’à l’assemblée nationale et dépendront du bon vouloir du RN.
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Terminé le temps du « ni droite, ni gauche » en terme d’alliances politiques, en s’attribuant le titre d’écologistes, aujourd’hui les Verts trompent l’opinion et ne sont plus qu’un parti de gauche, se dispersant en combats dogmatiques et sociaux accrochés à LFI. Ils permettent surtout à des opportunistes de gauche de faire une carrière politique qu’ils n’auraient pu faire autrement.
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Depuis la démission de Gabriel Attal, plus de 50 jours sans nouveau premier ministre et gouvernement du pays. Emmanuel Macron est parvenu à rendre incompréhensible son processus de sélection, donc de nomination. Les noms valsent et les prétendu(e)s aspirants premier ministre défilent dans la cour de l’Elysée depuis le 23 août, Mais quand un nom apparaît, RN et NFP le menace de censure.
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Dans Le journal« le Causeur » qui cite le film d’Edouard Molinaro l’« Emmerdeur », où « François Pignon « , personnage falot et collant, mais sympathique est comparé à Lucie Castets, cette énarque première ministrable auto-proclamée par la bienveillance du NFP, qui tel « François Pinon », mais plus ambitieuse et peu désirée hors ce groupe de partis politiques, s’accroche aux basques d’E. Macron.
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La succession de Gabriel Attal et de son gouvernement suscite quelques espoirs à peine cachés de certain(e)s. Il y a cette énarque haute fonctionnaire à la mairie de Paris, sans expérience politique particulière et inconnue du public, que le NFP a sorti du chapeau et qui se voit déjà première ministre. Mais, sachant que seul E. Macron dispose du droit de nomination, d’autres se mettent à espérer.
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Tout en s’efforçant de justifier les raisons pour lesquelles il a joué et perdu sa majorité à la « roulette russe », Emmanuel Macron constatait récemment une évidence, aucune des forces politique, n’a la majorité. Dès lors, vu l’article 8 de la Constitution, il rappelle que c’est lui qui doit choisir le ou la première ministre et non une formation politique, ce qui a soulevé l’ire de la gauche.