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Comme le préconise Didier Barthès co-président national du Mouvement Ecologiste Indépendant (MEI), plutôt que couvrir d’importantes surfaces arables et déboiser inutilement, il faut installer le photovoltaïque sur les espaces déjà artificialisés qui sont bien assez, et même trop nombreux : toits des parkings couverts, des bâtiments logistiques ou industriels divers, supermarchés et toits des HLM.
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Le président de la république n’a eut d’autre choix que celui d’aller chercher un homme politique, certes de qualité, expérimenté de la chose publique, mais tout de même issu d’un parti politique, dont le résultat au second tour des élections législatives ne fut guère brillant. Mais désormais, les choix politiques ne se décideront qu’à l’assemblée nationale et dépendront du bon vouloir du RN.
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Terminé le temps du « ni droite, ni gauche » en terme d’alliances politiques, en s’attribuant le titre d’écologistes, aujourd’hui les Verts trompent l’opinion et ne sont plus qu’un parti de gauche, se dispersant en combats dogmatiques et sociaux accrochés à LFI. Ils permettent surtout à des opportunistes de gauche de faire une carrière politique qu’ils n’auraient pu faire autrement.
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Depuis la démission de Gabriel Attal, plus de 50 jours sans nouveau premier ministre et gouvernement du pays. Emmanuel Macron est parvenu à rendre incompréhensible son processus de sélection, donc de nomination. Les noms valsent et les prétendu(e)s aspirants premier ministre défilent dans la cour de l’Elysée depuis le 23 août, Mais quand un nom apparaît, RN et NFP le menace de censure.
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Dans Le journal« le Causeur » qui cite le film d’Edouard Molinaro l’« Emmerdeur », où « François Pignon « , personnage falot et collant, mais sympathique est comparé à Lucie Castets, cette énarque première ministrable auto-proclamée par la bienveillance du NFP, qui tel « François Pinon », mais plus ambitieuse et peu désirée hors ce groupe de partis politiques, s’accroche aux basques d’E. Macron.
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La succession de Gabriel Attal et de son gouvernement suscite quelques espoirs à peine cachés de certain(e)s. Il y a cette énarque haute fonctionnaire à la mairie de Paris, sans expérience politique particulière et inconnue du public, que le NFP a sorti du chapeau et qui se voit déjà première ministre. Mais, sachant que seul E. Macron dispose du droit de nomination, d’autres se mettent à espérer.
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Tout en s’efforçant de justifier les raisons pour lesquelles il a joué et perdu sa majorité à la « roulette russe », Emmanuel Macron constatait récemment une évidence, aucune des forces politique, n’a la majorité. Dès lors, vu l’article 8 de la Constitution, il rappelle que c’est lui qui doit choisir le ou la première ministre et non une formation politique, ce qui a soulevé l’ire de la gauche.
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Tout en s’efforçant de justifier les raisons pour lesquelles il a joué et perdu sa majorité à la « roulette russe », Emmanuel Macron constatait récemment une évidence, aucune des forces politique, n’a la majorité. Dès lors, vu l’article 8 de la Constitution, il rappelle que c’est lui qui doit choisir le ou la première ministre et non une formation politique, ce qui a soulevé l’ire de la gauche.
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Faute de majorité absolue obtenue par un parti seul ou le rassemblement de plusieurs partis au sein d’une coalition politique, il faut se rendre à l’évidence, il est impossible de constituer un gouvernement viable dans le temps. Dans ces conditions, soit on constitue un gouvernement technique provisoire après accord des principales forces politiques, soit on forme une coalition politique durable.
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Ce qui a caractérisé l’éphémère campagne électorale du premier tour de ces élections législatives, c’est l’absence totale de débats sur la révolution numérique et ses perspectives sociétales et économiques, mais aussi l’écologie par son aspect environnemental et climatique. L’accession au pouvoir du RN et ses alliés, ces questions étant le cadet de leurs soucis, augure de sombres perspectives...