"Affaire DSK : la police empêchée d’interroger les complices du SiècleLe Siècle rassemble la crème de l’oligarchie en France : affairistes, politiques, et journalistes aux ordres. Le 25 mai, ses membres se sont de nouveau réunis.Le Collectif des démocrates déchaînés voulait leur présenter leur camarade DSK. Mais la police déployée pour protéger le sanctuaire des puissants l’en a empêché."
Les pétitions servent-elles à quelque chose? Eh bien, qui ne tente rien n'a rien, et faire du bruit (on dit maintenant du "buzz") autour de ce que l'on pense juste et nécessaire a rarement nui à une cause, si ce n'est quand les campagnes étaient mal conçues et mal menées.
Disciplinés, imprégnés de l'esprit de sacrifice, les Japonais? C'est l'image qu'on nous a souvent montrée ces derniers jours. Et pourtant, le texte suivant me paraît suceptible de nous faire réfléchir sur ce qui se passe en ce moment au Japon.
A lire chez G Ponthieu: "Quand il se fait prédicateur de l’Apocalypse, ce n’est pas ce que j’aime le plus chez Paul Virilio, ce penseur de la technologie alliée à la vitesse. C’est sans doute à cause du ton, par trop péremptoire. Pourtant, lorsqu’il prédit que tout ce qui peut arriver finit par arriver il est imparable et nous plonge le nez dans l’actualité la plus « radieuse ». Ainsi, je résume en substance, en inventant le chemin de fer, l’homme a inventé le déraillement. De même pour l’auto et les platanes, l’avion et les crashes, les centrales nucléaires et Fukushima ou Tchernobyl.
Contrairement à d'autres plateformes, celle du Club de Mediapart ne semble pas permettre de retrouver vite et facilement la chronologie des divers billets d'un blog donné (ou alors je n'ai pas encore trouvé comment). J'ai donc décidé de me faire un petit "sommaire" personnel... qui regroupe les billets me tenant le plus à coeur.
Dans l'Humanité Dimanche n° 246 (du 27-01 au 02-02), on pouvait lire une interview fort intéressante de la chanteuse Juliette Nourredine.Elle y déclarait notamment: "Je trouve insupportable de ne plus entendre chanter qu'en anglais. Eh bien, j'ai décidé d'en faire une position politique: je ne chanterai plus JAMAIS en anglais. On a complètement intériorisé la domination esthétique des canons anglo-saxons. Ce sera pour moi un acte de résistance".
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