Une réflexion dans le cours de l'actualité sur le phénomène humain essentiel : la mondialité et ses paradoxes. (qui donne un sens plus profond au covid et le met en perspective). (En filigrane discret,1…
le profil d'Hannah Arendt et sa pensée sur la différence entre vita contemplativa ou théorétique (savoir), et vita activa (devoir), entre la multitude et la pluralité. Bref, les seules choses vraiment sérieuses de notre condition-surtout actuelle).
Derrière le covid, la quasi-unanimité des politiques nationales est la première mondialité liant une espèce entière à "sa" politique. Le sanitaire est un prétexte plus efficace que l'environnement. Mais voit-on que pour ce "nous tous" assujettis à l'universel derrière le "sanitaire", l'identification au monde interdit... de parler ? Le sujet humain n'est-il pas en train de... s'absenter ?
La Covid signe une forme pathologique de mondialité (après la guerre mondiale et la mondialisation économique). Comment penser que l'unité du genre humain soit assurée par la pluralité de façons de vivre, par la limitation réciproque des discours où s'incarne la subjectivité humaine ?