À l'initiative de quelques citoyens du pays d'Aix-en-Provence, militant dans diverses associations (Aix-Solidarité, Attac, Camédia, Ldh, Atmf Université populaire...), groupes (le Repaire1
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du Pays d'Aix...), mouvements, Cent paroles d’Aix se propose de faire connaître des faits, des idées, des informations dont on trouve rarement l'écho, même dans les médias locaux, l’opinion de personnes privées de parole publique (sans parole) ainsi que tout ce que nous découvrons par notre présence sur le terrain.
Nos voix sont multiples (Cent paroles) mais nous partageons les mêmes valeurs fondamentales (justice sociale, droits de l'homme, démocratie, ...) et des champs d’action complémentaires à développer. Nous ne limiterons pas nos sujets à la région d'Aix-en- Provence, mais c'est de là que nous parlerons.
Dans ce but, ATTAC Pays d'Aix a organisé le 15 décembre une rencontre sur le thème : « dette, austérité : le casse du siècle ! »Cette soirée a non seulement été l'occasion d'un véritable travail d'éducation populaire ; elle a aussi marqué le début d'une large campagne d'information et d'action pour un audit citoyen de la dette.
Après une étonnante conférence musicale rondement menée par notre cher Professeur « Es finances »Richie Jobs, nous vous proposons de décortiquer la machine infernale de la dette et son actuel corollaire les plans d'austérité... afin de montrer, non seulement leur inefficacité à restaurer l'équilibre des comptes publics, mais aussi leurs effets catastrophiques sur les populations, à court et long terme.
À Aix-en-Provence, comme ailleurs en France dans la deuxième moitié du XIXe siècle, les salariés firent valoir leurs revendications. Elles portaient le plus souvent sur des augmentations de salaires. Elles conduisirent parfois à des arrêts de travail. Ce fut le cas pour les chapeliers en 1859, 1872 et 1887, pour les maçons en 1883, pour les boulangers en 1889. À plusieurs reprises, ces conflits se terminèrent par des licenciements.
Aix, ville ouvrière par RobertMencheriniDe septembre 2010 à janvier 2011, le centre aixois des archives départementales des Bouches-du-Rhône, a présenté une exposition dont l'intitulé, « Aix ville ouvrière 1850-1940 », pouvait sans doute surprendre. Mais une autre surprise fut l'affluence du public, signe de l'intérêt suscité. Lors des visites que j'ai pu accompagner, en tant que commissaire de l'exposition, il n'était pas rare que des visiteurs reconnaissent, sur les photographies d'entreprise les plus récentes, une ouvrière, un ouvrier ou un lieu de travail. Le monde que les panneaux faisaient revivre était loin de leur être étranger.
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Par André KoulbergA Aix, comme ailleurs, on entend depuis des années les vieux militants se plaindre que les jeunes « ne s'intéressent pas à la politique ». Et puis de jeunes indignés ont surgi tout d'un coup au printemps dernier. Mais ils n'étaient pas comme on les attendait, renouvelant les formes de l'engagement politique.
Contre la politique de stigmatisation des étrangers de la majorité municipale d'Aix-en-Provence, un collectif d'associations, de partis et d'élus de l'opposition s'est constitué à l'initiative de la Ligue des droits de l'Homme et d'Hervé Guerrera, élu municipal, membre du « Partit Occitan ».
G20 : manifestation internationale le 1er novembre à Nice. A quelques heures du coup d’envoi du G20, les membres de la coalition G8G20 se mobilisent et organisent une grande manifestation