Depuis le tremblement de terre et le tsunami du 11 mars 2011, le désastre de la centrale nucléaire de Fukushima Daichi, le monde vit, ou le devrait tant les conséquences sont dramatiques, à l'heure
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japonaise.
Cette édition se veut le lieu de l'échange d'informations, d'avis et opinions.
"L’apocalypse ordinaire. La normalisation de l’accident de Fukushima par les organisations de sécurité nucléaire" : une étude approfondie utile à toute personne qui suis (encore...) le sujet...
Un des problèmes avec l'information, c'est le "suivi" de l'information. Ce n'est pas parce qu'on ne parle plus d'un problème qu'il n'existe plus, ou qu'il est résolu... par exemple pour la catastrophe de Fuskushima, on n'en entend plus parler, du moins dans les "grands" médias, mais nous devrions rester en alerte : elle est loin d'être terminée...
Je viens de terminer une étude sur le réacteur de Halden. C'est pas jojo... La mise au point de la Criirad diffusée hier a confirmé mes doutes sur la pollution d'octobre 2016.
TOKYO (AFP) - Le gouverneur de la préfecture japonaise de Kagoshima (sud-ouest) a officiellement demandé, pour la deuxième fois mercredi, l'arrêt pour raison de sûreté de deux réacteurs nucléaires en service dans l'archipel, après le rejet de sa précédente requête par l'opérateur.
Quatre ans après Fukushima, 70 ans après Hiroshima et Nagasaki, le prix Nobel 1994 Kenzaburô Oé parle ici de la situation de son pays, de la résistance au gouvernement, de ses hantises et de ses espoirs.
Rappel : Arnie Gundersen est le directeur de l’association Fairewinds Energy Education,une organisation sans but lucratif fondée en 2008: «Notre mission est d’informer le public sur les problèmes causés par l’énergie nucléaire et les autres énergies.»
Traduction de la video d’une conférence donnée le 29 Juillet 2016 en Californie.