Le blog de Edmond KOBER

Ce matin, F Culture nous a gratifié d'un éditorial lamentable, dans lequel celui qui parle met sur un pied d'égalité les propos largement documentés de Sandrine Rousseau avec ceux qui polémiquent. D'où cette étrange impression d'un naufrage intellectuel qui a déjà largement tué le débat partout ailleurs. Le projet de nous rendre tous cons est bien avancé ! Lettre à la médiatrice !

Mise au point ! Efficace, et essentielle. Oui, je sais, nous sommes presque ici dans un entre-nous, encore que.. Donc, une mise au point, excellente et efficace. De quoi enfoncer les fanatiques du Prince démoniaque qui prône le fin de l'éclate chez les pauvres (mais, on dirait Ibiza, là, non ?) et en même temps, la jouissance absolue pour les oligarques ! Allez, en route ma proute !

Juste quelques mots....

Mieux qu'un long article, juste une petite vidéo de 2 mn. Où l'on assiste à un exercice de bla bla habituel du la part du Méprisant de la République, un de plus, avec quelques paroles de fonctionnaires de l'ONF, en miroir. Ce qui nous dit beaucoup sur la duperie en cours, et la réalité de la prise de conscience du Méprisant de la République, prise de conscience inexistante.

Avez-vous remarqué les disparitions énigmatiques et incompréhensibles de certains membres de l'espèce humaine, que pourtant nous croisions encore assez souvent il y a peu ? Hypothèse farfelue ou enthousiaste ? Peu importe, c'est la mienne. La voici.

Dans un entretien à Frustration Magazine, suite à son livre, “Il y a des crimes climatiques, donc il y a des criminels”, Mickaël Correia (qui écrit et publie dans Médiapart) ose nommer et désigner, à savoir nommer criminels les auteurs de crimes climatiques. Je vous en propose un.

Si vous pensez que c'est une anecdote, vous vous trompez ! C'est un fait de société... et une terrible injustice !

Le dernier éclat de rire retentira quand le dernier humain sera réduit en cendres... où alors, ce sera un immense soupir de soulagement : enfin libéré de ce carcan bizarre qui nous pousse à tout détruire.

Ou alors un mille-feuilles, sans crème, lourd, épais, pesant, étouffant parfois. Très chaud !

Mais çà, nous le savons... nous avons mis en place des mécanismes, des verrous, et il semble qu'il devient impossible d'en sortir. La camion dévale la pente, les freins sont morts, et on accélère encore ! Ah oui, nous partageons encore la "croyance "que les politiques vont prendre des mesures radicales (immense éclat de rire !)