(mehdi)Poésie, Mer, Dais (et) Puits de trans-lucidité, effet secondaire de ma silenciosité, lumineuse aphonie bruineuse, souffle, éch'ose, être toponymé, à l'héliotropisme d'une enfance, lointaine épiphanie1…
permane, au monogramme d'un Gué, (se) dé-nommer au Nom, s'Ouïr à l'heure qui tient à l'oeil, pacotille précieuse.
Telles Danubiennes bekettiennes disparues à Godot, décollant de leurs chaussures de ne pas s'aliéner, pied coupant, au pieu des promeneuses promenées, lors que facétieux profèrent que l'harmonie est d'un ennui à faire périr le diable! "Mariage principale cause de divorce". N'entre pas chaussée en mon âme, dirait Migrant, laissant cothurne au glaçant spectateur, quai saqué, de mécoutants ! E'M.C.
Et nous, ainsi, nûment assis à la rive du regard, qui régénère; M'enfance, gorgé d'éclat, subjugué d'être, perle filiale prenant mesure de sa terrible place à ce médaillon du temps; sémaphore au chaos d'émotion, souv'avenir à la visionnaire Mère; frissonnant miroir de signes au merveilleux mouvement de la vie qui s'égaie à son orgue d'énigmes et d'écumes créoles. Amour, trou noir. E'M.C.
Que fut cette terre, guet-apens de casquettiers tous "insusceptibles" de nipper "notre" planète de trouble uniformité, costards ou peaux d'ours, fourniment identitaire au quidam pépère. Tel est inculpable d'être ce que lui impute le mentor du terrorisme, qui se le farcit, lui étrécissant l'accul. Frappé d'inappartenance par l'apatride Finance, l'amazonien se prend Zef, SDF au Trou d'un Ciel. E'M.C
La Paix, toute paix est belligène au banks' belliqueux au timon d'une Barbarie hautement technologique, privative de libertés, et pour cause! "La guerre fait les voleurs, la paix les fait prendre" (Machiavel), Ah! Nicolas, si tu savais, chez nous, Nico a tout bloqué sur le canon! Tout mis KO, à "son" chaos de Libye mise à Zéro! Sous lui notre pays sous barreaux au lieu de lui! Paix fichée-S! E'M.C
Ô ciel, étrille de Syrie, bistre lambris de bombes à pible, décrotteuse pluie d'acier cirant syrien de Syrie, désormais champ de remblais, vieille aubaine de promoteurs pour un "meilleur" repeuplement de lièvres au rendez-vous; sacrée Garenne! Que me voici Migrant léger, gastéropode délesté de mon habitat portatif, menaçant sous "mon" parapluie, ridicule parafoudre, d'envahir mon videur juré! EMC
Un livre est un fief, une sorte de Mihrab-habitat, niche focale. Une enceinte de signes, facule de conscience ombrée de facticité. Un magot de clés censées nous faciliter un autre accès à nous-mêmes. Du livre de vie au fuego d'une métaphore à celui de fugace fraîcheur Livre de reflets à l'examen du livrancier d'apostilles. Livre talweg d'indien éblouissant d'enfance sauve en livrée de lumiére. EMC
De l'escargotière, déménageant miens au mieux, je penche à la souche, d'où s'esclaffent nos ruisseaux... Quel robinet d'impensé, vous jeta par terre, de vos dons handicapant, déshumaniseurs, se rattrapant d'armes écréteuses de conscience au monde alenti aux vitesses de croisière d'un progrès désespérant!
La salade monte/ Et "nos" escargots béats! Chantent la bouilloire. Lie-berté chiadée! E'M.C.
Duy Huynh, artiste vietnamien, a ses acryliques odes; sustenté d'histoires du folklore ancien, de BD, Ciné et musique. Annnés 80, enfant déménagé aux USA, luttant contre les "barrières linguistiques" il emménage dans l'art pour "s'adapter à son nouvel environnement", fluidifiant aux déplacements géo-imaginatifs, déclics culturels alliant motifs de fougue nature aux thèmes d'aspiration intime. EMC.
Geôlier de mon Jour, d'haleine naphtale, naja de mon chant; je te regarde, re-garde! Regarde-moi donc, toi, garant de chaos, gérant de débâcle, solennel félon, toi l'Attentat tiaré à mon ourdissoir social, à ma suée qui te décime. Martial ver de fruit, couard gardien de la Paix, ton pire cauchemar! Joues frangées de jais, jurant d'aujourd'hui, Diane vous foulant de mon cambouis de pupille. E'M.C.
Fée, merveille féant à pierre fendre/ ô galet éclos de "nos" clos/ ductile implorant de "nos"cœurs clos/ Galet germant de "notre" âme à rendre. Veuf de "nos" rivières/ de nos "vos" lumières/ vif orphelin d'hier(s)/ au zef des frontières. Dur galet densant/ duellant au cœur/ de l'âpre arpenteur/ au cœur fracassant. Galet contant/ au cœur d'airain/ coquin tic-tac/ malentendant- Galet coulant. EMC