Il est temps de ne plus avoir la gauche honteuse. L'époque, la société, la planète le réclament. Je propose sur ce blog des éléments d'analyse pour comprendre comment nous sommes arrivé·es à cette situation,1…
et des pistes pour faire advenir le modèle de société désirable auquel nous prétendons et que nous défendons.
Vieux mantra à gauche, la convergence des luttes a pourtant bien du mal à advenir. Avant même de parler d'unité ou d'union, il est essentiel de s'intéresser aux difficultés que nous rencontrons à faire converger les différents combats émancipateurs.
Troisième et dernier (court) billet concernant les menaces existentielles externes qui pèsent sur la gauche. Au programme : l'évolution du mode d'engagement des citoyen·nes, qui suit l'atomisation de la société.
Je poursuis mon tour d'horizon des menaces existentielles qui pèsent sur la gauche. Aujourd'hui, focus sur la défiance et la lassitude des Français·es vis-à-vis de la politique, ainsi que sur le phénomène de "déviation vers la droite" que nous connaissons depuis 2012.
Avant de réfléchir aux perspectives qui s'offrent à la gauche, je m'arrête un instant sur les remises en cause existentielles, externes mais aussi internes, qu'elle traverse. Première partie de cette analyse : l'anxiété généralisée est l'éteignoir du discours progressiste.
La gauche n'y arrive plus. Face à des défis sociaux, écologiques et démocratiques majeurs, l'incapacité de la gauche à conquérir le pouvoir et à appliquer ses propositions met en péril l'avenir de notre société. Introduction à une série d'articles qui explorera les causes, les enjeux et les solutions.