GillesSeguin

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  • Sortir de l’anti-écologisme punitif

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    L'écologie serait donc punitive. Une certaine presse se fait la porte-parole d’automobilistes et d’agriculteurs persécutés par les normes environnementales. Ne s’agit-il pas plutôt de défendre les lobbies de l'agro-business et du pétrole ? C'est de ne pas changer de système qui punit l'humanité, surtout les plus pauvres, victimes des effets délétères du dérèglement climatique et de la pollution.

  • Départ de Luca de Meo de Renault : un lâchage en eau trouble

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    Les salariés du groupe Renault ont appris avec stupeur dimanche soir le départ précipité de Luca De Meo. Leur Directeur Général venait de faire part au conseil d’administration "de sa décision de quitter ses fonctions pour relever de nouveaux défis en dehors du secteur automobile". Un lâchage en eau trouble pour les salariés et une ligne hiérarchique qui avaient adhéré à son "plan stratégique".

  • Quelles perspectives pour l’extrême-gauche ?

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    Quand on parle de l’extrême-gauche dans les médias, c’est souvent pour dénigrer La France Insoumise. De leur côté, trotskystes, anarchistes, maoïstes ou communistes en rupture de ban peinent à sortir de l’ombre, sauf à de rares occasions électorales. Leur implication dans les mobilisations a peu d’effet sur leur influence politique. Cette situation n'a pourtant rien d'inéluctable.

  • Trump ou la contre-révolution conservatrice

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    L'élection de Donald Trump marque la fin d'un cycle entamé après la seconde guerre mondiale. Menacée par la croissance de sa dette et celle de la Chine, Trump doit rendre sa grandeur à l'Amérique. L'Union européenne et la Gauche semblent incapables d’être une alternative. Entre contre-révolution conservatrice et démocratie bourgeoise à bout de souffle, il y a urgence à trouver une 3ème voie.

  • Ukraine : A bas la guerre et les fauteurs de guerre !

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    L'enthousiasme des Ukrainiens pour repousser l'invasion russe a fait place à une vague de désertions et à une corruption endémique pour éviter la mobilisation. Il y a urgence à imposer un cessez-le-feu dont ni Zelinsky, ni Poutine ne veulent. Ce sera donc aux peuples d'imposer la paix.