« J’ai eu de la chance. J’ai eu le bon viol. Alors parfois, j’ai pu dire. Une fois même, j’ai pu porter plainte. » De la sidération liée à la violence de l’acte au courage de porter plainte en étant soutenue par ses proches, Giulia Foïs ne s’épargne aucun raccourci et regarde la violence sexuelle droit dans les yeux.
Après avoir subi l'écrasement de mon imaginaire en semaine 1 d'enfermement, je reviens à mes carnets et à la création. Je poste une histoire courte, que je veux légère, pour respirer au grand air.
Par ailleurs, je lancerai demain un atelier d'écriture en ligne dans les pages de mon site. Pour y participer, il suffit de s'abonner aux publications. Le mode d'emploi est en ligne.
Dans le jardin public aménagé en marché de Noël, ici, comme dans tant d’autres villes grandes ou moyennes, les mêmes cabanons de bois qui se louent une fortune à la semaine et portent à la rentabilité les commerçants qui y sont installés.
Lana est une fiction issue du réel. Si la plupart de mes travaux d’autrice interrogent la violence faite aux femmes, ce texte est issu de témoignages recomposés en fiction.
À l’heure où les douleurs de la domination se disent à travers le monde, quand il est indispensable d’en poursuivre la « libération », il me semble aujourd’hui important de donner ce texte en partage.
Voilà un moment que je n’avais pas vu un film aussi déjanté, caustique, critique, tonique. Cela fait beaucoup pour un seul, mais c’est vraiment ce que j’ai ressenti pendant la projection de Sorry to Bother You, de Boots Riley, à l’American Cosmograph de Toulouse. Du Spike Lee des jeunes années à la sauce Gondry, tout comme !
Philippe Squarzoni, enquête pendant six ans sur le sujet du changement climatique. Il se documente, rencontre des personnes concernées, des passeurs, des lanceurs d’alerte, des chercheurs, regarde des images, s’interroge. Il publie "Saison brune", un roman graphique qui interpelle, en 2006.
Un roman de Joyce Carol Oates à confier à tous ceux qui doutent encore de ce que violer signifie et aux autres qui pensent que, dans tous les cas, elle l’a bien cherché. Un livre à confier à toutes celles qui, récemment, ont cru pertinent de signer une tribune appelant au droit des hommes à la « liberté » d’importuner. Celles qui fantasment le viol et la possible jouissance dans cette violence...