Parrhèsia : chroniques d'Hengameh Hoveyda

Le 10 mars, trois membres de « l'Association des écrivains iraniens » ont été convoqués au tribunal pour être emprisonnés.

Cette femme, Masih Alinejad, peut-être la connaissez-vous? Une bonne actrice faisant de toute, un moyen pour s'élever, tels que les sanctionnes aux dépens de la pauvreté et de la misère du peuple iranien.

La petite fille appelle sa mère : Maman ! Maman ! Quelle est notre maison ? L'inondation a sévi dans de nombreuses régions de l'Iran. Ce silence mondial est le résultat du soutien aux sanctions et de la promotion de l'Iranophobie sous prétexte de combattre la République islamique.

Nous, ayant pris des photos ; Ils mouraient.

Composé en 2009. À la suite des manifestations massives de la population en Iran et de sa répression sévère exercée par le régime. De forts coups de matraque reçus sur la tête qui ont toujours un effet persistant sur ma mémoire et mon audition: [...]Étant captivé dans l’angle d'un mur /Bâton  coup de pied bâton abus bâton  coup de pied  coup de pied  coup de pied /Étant distendu dans un rue[...]

Le pourquoi de ces cauchemars, et leurs significations, est évident. Mais finalement, cet homme a été condamné à deux ans d'emprisonnement, deux ans pour tous ces cauchemars qu’une petite part d'eux, aussi m’ont toujours appartenu.

Je tapais sur son épaule en lui disant: Ces arcades ou comme tu dis, les scènes de l’illusion du capitalisme sont devenues des grands centres commerciaux à mon époque, il faut que tu les revoies maintenant Walter!

Leçon de l’histoire iranienne : Un « grand NON » peut unir le peuple, mais seul un « grand OUI » clair peut tracer un avenir durable.