J’ai écouté avec beaucoup d’attention l’interview de Cyril Dion et lu attentivement le billet qu’il a rédigé sur son blog https://blogs.mediapart.fr/cyril-dion, et je lui ai écrit le commentaire qui suit. Aujourd’hui j’agrément ou j’augmente ce commentaire de quelques réflexions venues par la suite. Ces ajouts sont dans une police différente du message initial.
Dans mon billet "affaire de Rugy et l'intellectuel caudataire" je prenais appui sur une tribune rédigée par Matthieu Caron pour critiquer et questionner la pratique des chercheurs en sciences sociales pour rendre compte du fonctionnement de la société. Matthieu Caron m'a fait l'honneur d'une longue réponse qu'il m'autorise à publier. Merci à lui pour cet échange fructueux.
Alors que la cote de popularité du ministre de l’éducation nationale subit une baisse importante aet que son projet de loi a été malmené au Sénat, il me revient à l’esprit qu’en 2005 j’avais écrit un article très critique sur les difficultés à mettre en œuvre des réformes dans le système scolaire, il m'apparaît que mon article de 2005 a gardé toute son actualité.
Voilà un chapitre qui clos un livre au sujet d'une histoire qui s'achèvera bientôt.
Les extraits des autres chapitres sont constables sur le site https://hommeetpolitique.com/
Le manuscrit partira prochainement chez l'éditeur...
Les élections « européennes » du 26 mai 2019 ont été surprenantes avec des résultats inattendus : une participation record, le succès, 13%, de la principale liste écologiste et alors qu’on attendait une victoire massive du RN, le duel RN LREM n’a pas été probant. Le verre reste à moitié vide ou à moitié plein.
La forte implication d'E. Macron dans la campagne électorale pour les Européennes 2019, depuis sa tribune dans de nombreux journaux étrangers et français à sa prise de position virulente contre la liste conduite par le Rassemblement National, interroge. Comment interroger la posture d'Emmanuel Macron dans cette campagne ?