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  • Le retour de la godille gouvernementale ?

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    Que signifie "maintenir la stabilité" d'une embarcation dans un déluge environnemental ? La stabilité institutionnelle n'est pas une fin en soi. Notre cap politique n'a pas besoin d'être maintenu mais doit au contraire gagner en adaptabilité, en robustesse. Se préparer à faire face à l'imprévisible, au non-maîtrisable, au non-anticipable. Nos gouvernants doivent retrouver le sens des priorités.
  • Redéfinir la démarcation entre gauche et droite autour des enjeux environnementaux

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    La crise environnementale n'en finit plus d'attendre des réponses politiques systémiques urgentissimes. Au-delà des positions vertes devenues conventionnelles, quelle est réellement l'offre politique sur le marché ? La question de la gestion de crise environnementale doit servir de nouveau critère central de démarcation entre "gauche" et "droite". Proposition de grille de lecture discriminante.
  • Le sens des priorités selon Renaissance, ou la stratégie de l'île de Pâques

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    Le 13 août le parti macroniste Renaissance publiait la liste de ses priorités, en haut desquelles le "rétablissement de nos comptes publics". Mais quelle place pour le rétablissement de notre compte Environnement ? Nous vivons à crédit environnemental depuis le 1er août. Ressources annuelles épuisées. "L'environnement" est mentionné, comme "républicain", ou "démocratique". Pour quelle réalité ?
  • Et maintenant, sommes-nous vraiment en marche pour faire barrage au FN ?

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    M. Macron s'apprête a régner sans partage sur l'exécutif et le législatif. Élu président pour "faire barrage au FN", quelles sont ses chances de réussir ? En seulement 5 ans de politique Hollande-Valls-Macron le FN a gagné 4,2 M d'électeurs, passant de 6,4 M en 2012 à 10,6 M en 2017. En 1995 il n'était encore "qu'à" 4,5 M. L'uber-société à la Macron est-elle une solution, ou une cause profonde ?
  • Réponse à un va-t-en-guerre

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    Une tribune de Nicolas Appelt, publiée dans Libération le 10 avril 2017 et intitulée "Syrie : la tache de Mélenchon", vend la guerre comme on vendrait des oignons, et dénonce les solutions pacifistes et diplomatiques défendues par Jean-Luc Mélenchon. Si la guerre est parfois inévitable, en l'occurrence je veux dire ici le danger que j'y vois.