Difficile de dire Magnificat alors que tant d’hommes sont menacés, vilipendés et bafoués jusqu’à devoir quitter leur terre devenue inhospitalière.
Quitter, c’est pour les uns entrer dans une ère nouvelle et espérante alors que pour d’autres, c’est affronter des traversées à haut risque quand elles ne sont pas mortifères. Le Pape François s’insurge sur le fait que la Méditerranée devienne un vaste cimetière de par la globalisation de l’indifférence (cf. encyclique Laudato si).
Le devoir d’assistance à personne en danger est oublié. Les organismes caritatifs en rappellent l’urgence et les institutions internationales, telle l’ONU, soulignent la nécessité de quotas. Si notre humanité est blessée, elle est aussi gravement blessante. L’évêque anglican de Douvres écrivant fort justement « les migrants ne sont pas d’abord un problème mais des êtres humains ».
Des frères sont délogés de leur monde, souvent brutalement, sans parvenir à trouver une nouvelle place. Je pense à ce jeune-homme, Bakari, qui dut quitter seul, il y a trois ans, le Mali ; il avait 15 ans. Sa mère l’a confié à un passeur pour lui donner une chance de rester en vie, son père ayant été sauvagement assassiné.
En France après trois années de galère, un accompagnement lui est réservé, mais son avenir reste encore insécurisé.
La tentation est d’ériger des frontières, autant de lignes imaginaires. Qui peut penser qu’elles ne céderont pas devant l’immense misère, aggravée par une brutalité destructrice et une économie irrespectueuse de la planète, cause d’un dérèglement climatique touchant les populations les plus pauvres ; elles n’ont bénéficié d’aucun avantage de cette course à la puissance, mais elles en subissent, les premières, les conséquences jusqu’à devoir s’exiler.
En cette fête de l’Assomption, comment ne pas nous souvenir de la parole de l’ange à Marie : sois sans crainte ; elle nous est adressée.
La crainte n’est pas appelée à être occultée ou niée, mais traversée par un oui plénier à l’existence, refusant ces désordres établis pour susciter un nouvel ordonnancement des richesses, accompagné de sécurités hiérarchisées à l’attention de ceux qui ont tout perdu pour avoir dû s’enfuir de leurs enfers.
« Il renverse les puissants », observant queles idées de puissance progressivement apparaissent décalées, telle la croissance comme finalité.
Cette prise de conscience ne participe-t-elle pas à la prière du Magnificat, sois sans crainte, un autrement se dessine.
« Il renvoie les riches les mains vides », non point rejetés mais pour leur permettre d’expérimenter que quand rien ne manque, tout manque. Vivre c’est vibrer non dans la recherche d’addictions à l’argent, au plaisir ou au pouvoir mais à partir de ces rencontres qui souvent nous changent jusqu’à nous faire exister autrement. Magnificat, alors !
Souvenons-nous de Dante dans le Paradis : ô Toi qui ennoblis la vie de telle manière que Celui qui était son créateur a voulu se faire sa créature. Tout est bouleversé, renversé ; alors s’ouvre un autre chemin nous éloignant des inessentiels pour devenir plus humains.
Magnificat, pour l’acuité et actualité de cette prière.
Texte français (traduction officielle)
Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !
Il s'est penché sur son humble servante ; désormais, tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom !
Sa miséricorde s'étend d'âge en âge sur ceux qui le craignent. Déployant la force de son bras,
il disperse les superbes. Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. Il relève Israël, son serviteur, il se souvient de son amour,
de la promesse faite à nos pères, en faveur d'Abraham et de sa descendance, à jamais.
« Sept ans, c’est l’âge de raison », sourit Edwy Plenel, le cofondateur de Mediapart, à propos du site né le 16 mars 2008. Une manière de dire que ce média d’investigation en ligne et payant, couronné d’un grand succès, arrive « à maturité ». Mais aussi d’esquisser un avenir dans lequel l’équipe actuelle prendra progressivement les commandes : Edwy Plenel a en effet annoncé il y a quelques semainesqu’il comptait transmettre son rôlede directeur de la publication vers 2017 ou 2018.
« Notre mission de fondateurs est de construire un média non endetté qui soit rentable grâce au journalisme et indépendant, car détenu par ses journalistes », résume M. Plenel. Sur le plan économique, la mission est accomplie, comme en attestent les résultats publiés jeudi 12 mars. Rentable depuis fin 2010, Mediapartaffiche une santé insolente dans le paysage morose de la presse. Il a, en 2014, dégagé 1,48 million d’euros de résultat et 900 000 euros en 2013, soit une hausse de 60 %. Pour un chiffre d’affaires de 8,8 millions d’euros en 2014 (+ 28 %). En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/03/13/mediapart-plenel-prepare-l-apres-plenel_4593035_3236.html#4QbGXz4SxOWiHQWO.99
« L’histoire de Mediapart est très exigeante »Côté indépendance, un pas a été franchi avec le rachat des 20 % du fonds Odyssée venture, repris par Mediapartet Ecofinance, l’un de ses investisseurs historiques. Ce dernier possède 18,27 %, un autre investisseur, Doxa, 27,75 %. Les fondateurs détiennent eux 36,71 % (soit une majorité si on y ajoute les parts de la société des amis, 14,65 %). Ils envisagent de transmettre leurs parts aux membres de l’équipe de Mediapart, explique Edwy Plenel, tout en précisant que la forme juridique et les modalités restent à définir.
L’organisation interne est également vouée à évoluer : passée de 27 à 55 salariés, la rédaction a demandé une réflexion sur le sujet et un conseiller extérieur a été missionné pour aider à trouver « de nouveaux modes de fonctionnement afin de bien coordonner, sans pour autant reproduire les structures lourdes avec une myriade de chefs », explique M. Plenel. Jusqu’ici, la rédaction a plutôt eu une organisation légère, comme un collectif de journalistes assez autonomes. Se pose par exemple la question de créer des pôles thématiques avec des chefs. Après sept années intenses, une certaine usure se fait sentir. « L’histoire de Mediapart est très exigeante, on travaille beaucoup », reconnaît M. Plenel.
« Edwy » restera dans les paragesRestera la question des dirigeants. Edwy Plenel avait déjà évoqué en interne sa volonté de passer la main mais l’équipe n’en a pris conscience que lorsqu’il l’a exposée dans Le Journal du Net, en décembre. « Nous sommes contre le cumul des mandats », s’amuse le journaliste, qui aura 65 ans en 2017, sensiblement le même âge que deux autres fondateurs, Marie-Hélène Smiejan et Laurent Mauduit (le quatrième, François Bonnet, directeur de la rédaction, est un peu plus jeune).
Les journalistes, dont certains ont fait leurs armes à Mediapart, sauront gré à M. Plenel de ne pas s’accrocher à son siège comme certains patrons de presse. Mais la perspective du retrait d’une telle figure – débatteur, essayiste, ancien directeur de la rédaction du Monde – soulève aussi des questions. « Edwy » reconnaît que sa personnalité – sa « moustache » – peut être « écrasante » et comprend la « responsabilité » qui est transmise à la rédaction. Mais se dit très optimiste sur l’émergence de figures pour prendre le relais. Il précise qu’il restera dans les parages, au conseil d’administration ou pour écrire à l’occasion.
En psychanalyse les termes «malade», «médecin», «remède» ne sont pas plus justes que les formules au passif qu'on adopte communément. On dit : «se faire psychanalyser». C'est un tort. Celui qui fait le vrai travail en analyse, c'est celui qui parle, le sujet analysant. Même s'il le fait de la manière suggérée par l'analyste qui lui indique comment procéder, et l'aide par ses interventions. Lui est aussi fournie une interprétation.
A première vue, elle semble donner un sens à ce que dit l'analysant. En réalité, l'interprétation est plus subtile, tendant à effacer le sens des choses dont souffre le sujet. Le but est de lui montrer à travers son propre récit que le symptôme, la maladie disons-le, n'a aucun rapport avec rien, qu'elle est privée de quelque sens que ce soit. Même si en apparence elle est réelle, elle n'existe pas.
Les voies par lesquelles procède cet acte de la parole réclament beaucoup de pratique et une infinie patience. La patience et la mesure sont les instruments de la psychanalyse. La technique consiste à savoir mesurer l'aide qu'on donne au sujet analysant. Par conséquent, la psychanalyse est difficile.
Ce chapitre me semble être particulièrement important
J'essaie de concilier ce texte avec ce texte pour enrichir notre partcipatif :
Difficile de dire Magnificat alors que tant d’hommes sont menacés, vilipendés et bafoués jusqu’à devoir quitter leur terre devenue inhospitalière.
Quitter, c’est pour les uns entrer dans une ère nouvelle et espérante alors que pour d’autres, c’est affronter des traversées à haut risque quand elles ne sont pas mortifères. Le Pape François s’insurge sur le fait que la Méditerranée devienne un vaste cimetière de par la globalisation de l’indifférence (cf. encyclique Laudato si).
L'ambition me semble être très ambicieuse mais il me semble que le jeu en vaut la chandelle
Edwy Plenel, dans les locaux de Mediapart, en avril 2012. Son retrait annoncé n'est pas sans poser des question dans la rédaction MARTIN BUREAU / AFP
« Sept ans, c’est l’âge de raison », sourit Edwy Plenel, le cofondateur de Mediapart, à propos du site né le 16 mars 2008. Une manière de dire que ce média d’investigation en ligne et payant, couronné d’un grand succès, arrive « à maturité ». Mais aussi d’esquisser un avenir dans lequel l’équipe actuelle prendra progressivement les commandes : Edwy Plenel a en effet annoncé il y a quelques semainesqu’il comptait transmettre son rôlede directeur de la publication vers 2017 ou 2018.
« Notre mission de fondateurs est de construire un média non endetté qui soit rentable grâce au journalisme et indépendant, car détenu par ses journalistes », résume M. Plenel. Sur le plan économique, la mission est accomplie, comme en attestent les résultats publiés jeudi 12 mars. Rentable depuis fin 2010, Mediapartaffiche une santé insolente dans le paysage morose de la presse. Il a, en 2014, dégagé 1,48 million d’euros de résultat et 900 000 euros en 2013, soit une hausse de 60 %. Pour un chiffre d’affaires de 8,8 millions d’euros en 2014 (+ 28 %).
Redressement fiscalLa quasi-totalité des revenus de Mediapartprovient des abonnements (9 euros par mois). Le site en revendique aujourd’hui 112 000, contre 107 000 fin 2014, année au cours de laquelle il a recruté 23 000 nouveaux lecteurs payants. « C’est d’autant plus satisfaisant queMediapart n’a pas eu en 2014 de très gros scoop, comme en 2013 avec l’affaire Cahuzac », note Marie-Hélène Smiejan, la directrice générale. Aquilino Morelle, le conseiller de François Hollande contraint à la démission par un article, un an après le ministre du budget, serait peut-être d’un autre avis, mais qu’importe, Mediapartest désormais installé dans le paysage.
Seule ombre au tableau : l’entreprise se voit toujours réclamer 4,7 millions d’euros par le fisc pour avoir appliqué, de 2008 à 2014, le taux de TVA de 2,1 % accordé aux médias imprimés. Cette somme couvre 3 millions d’euros de TVA, 1,2 million de pénalités et 500 000 euros qui viennent d’être exigés par l’administration pour 2013-2014.
Un redressement que Mediapart conteste fermement au nom de la« neutralité des supports », également défendue par la profession et le gouvernement. Le site espère ne pas avoir à piocher dans sa trésorerie de 3 millions d’euros.
« L’histoire de Mediapart est très exigeante »Côté indépendance, un pas a été franchi avec le rachat des 20 % du fonds Odyssée venture, repris par Mediapartet Ecofinance, l’un de ses investisseurs historiques. Ce dernier possède 18,27 %, un autre investisseur, Doxa, 27,75 %. Les fondateurs détiennent eux 36,71 % (soit une majorité si on y ajoute les parts de la société des amis, 14,65 %). Ils envisagent de transmettre leurs parts aux membres de l’équipe de Mediapart, explique Edwy Plenel, tout en précisant que la forme juridique et les modalités restent à définir.
L’organisation interne est également vouée à évoluer : passée de 27 à 55 salariés, la rédaction a demandé une réflexion sur le sujet et un conseiller extérieur a été missionné pour aider à trouver « de nouveaux modes de fonctionnement afin de bien coordonner, sans pour autant reproduire les structures lourdes avec une myriade de chefs », explique M. Plenel. Jusqu’ici, la rédaction a plutôt eu une organisation légère, comme un collectif de journalistes assez autonomes. Se pose par exemple la question de créer des pôles thématiques avec des chefs. Après sept années intenses, une certaine usure se fait sentir. « L’histoire de Mediapart est très exigeante, on travaille beaucoup », reconnaît M. Plenel.
« Edwy » restera dans les paragesRestera la question des dirigeants. Edwy Plenel avait déjà évoqué en interne sa volonté de passer la main mais l’équipe n’en a pris conscience que lorsqu’il l’a exposée dans Le Journal du Net, en décembre. « Nous sommes contre le cumul des mandats », s’amuse le journaliste, qui aura 65 ans en 2017, sensiblement le même âge que deux autres fondateurs, Marie-Hélène Smiejan et Laurent Mauduit (le quatrième, François Bonnet, directeur de la rédaction, est un peu plus jeune).
Les journalistes, dont certains ont fait leurs armes à Mediapart, sauront gré à M. Plenel de ne pas s’accrocher à son siège comme certains patrons de presse. Mais la perspective du retrait d’une telle figure – débatteur, essayiste, ancien directeur de la rédaction du Monde – soulève aussi des questions. « Edwy » reconnaît que sa personnalité – sa « moustache » –peut être « écrasante » et comprend la « responsabilité » qui est transmise à la rédaction. Mais se dit très optimiste sur l’émergence de figures pour prendre le relais. Il précise qu’il restera dans les parages, au conseil d’administration ou pour écrire à l’occasion.
Un « pure-player » d’anciens de « Libé »Un site d’information payant, Lesjours.fr, va être lancé dans les prochains mois par d’anciens journalistes de Libération qui ont quitté le quotidienà la faveur du rachat du journal par de nouveaux actionnaires dont le magnat des télécommunications, Patrick Drahi. Parmi eux, on trouve les « Garriberts » (Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts), couple qui couvrait le secteur des médias, mais aussi les rédacteurs Olivier Bertrand, Nicolas Cori, Sophian Fanen, Antoine Guiral et Charlotte Rotman.
Notre petite histoire retiendra, en tout cas, la figure de celui qui a été cheville ouvrière de la construction de cet espace public où nous nous retrouvons, nombreux, avec un intérêt chaque jour renouvelé, sur tant de sujets.
Salut amical, et merci, Edwy Plenel! J'espère pouvoir échanger encore avec vous...
Ce qu'il , aide oui plein d'ailes n'avait peut-être pas anticipé , c'est que ce qui fera vivre son journal et ses journalistes salariés , c'est la rue , le souffle des blogueurs gratuit , comme la mode copiée sur les filles de la rue , comme en Afrique céative où le stupéfiant système D. remplace les techniques les plus savantes et les plus sophie-stic-est ! C'est un risque de l'ordre de l'insupportable , la non maitrise , hors des codes usuels , peut-être ?
On va bien voir si, ce qui motive Edwy , est véritablement ce qu'il a posé comme principe fondateur ????????? La porte est ouverte s'il veut ! Je le crois profondemment bienveillant ...
Ce qu'il , aide oui plein d'ailes n'avait peut-être pas anticipé , c'est que ce qui fera vivre son journal et ses journalistes salariés , c'est la rue , le souffle des blogueurs gratuit
comme en Afrique créative où le stupéfiant système D. remplace les techniques les plus savantes et les plus sophie-stic-est ! C'est un risque de l'ordre de l'insupportable , la non maitrise , hors des codes usuels , peut-être ?
On va bien voir si, ce qui motive Edwy , est véritablement ce qu'il a posé comme principe fondateur ????????? La porte est ouverte s'il veut ! Je le crois profondément bienveillant ...
Un grand merci pour ce texte auquel je n'ai qu'une critique à formuler, celle de ne pas parler de notre combat contre Antoine Perraud que je tiens pour responsable, sans jamais avoir été contesté, de 80 % (loi de pareto oblige) https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Pareto_(probabilit%C3%A9s), de nos plaies (licenciement de Laurence Rizet, promesse de fabuleux destin en forme de fable pour Géraldine Delacroix, mauvais usage des mots (par exemple le mot club utilisé en lieu et place de participatif), tentative d'instaurer le pétainisme de la fonctionnalité "déconseiller" dans le Système d'Information Participatif Assisté Par Ordinateur Mediapart, mise en quarantaine de Véronique Hurtado, cette liste n'est pas exhaustive mais représente déjà beaucoup de tissage de liens qui libèrent pour Jean-Paul Bourgès, notre Unique Espérance pour que le participatif de Mediapart survive
Oui , je précise : je le pense profondément bienveillant, aide oui plein d'ailes , mais pas tout puissant ! Et victime de sa bienveillance ! Comme papa , non pas celui d' : il ne faut pas pas pas , non pas à pas , je le garde, biensûr !
Il me pardonnera cette régression analytique , en confidences trop intimes , ...............il a l'age de la retraite , et moi celui d'une vieille rombière à la madame Rosa, ça m'va !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je ne suis nullement la mer morte !... Je ne suis que la médite ère année ( béta thalassémie mineure ) ! On sait cette mer d'huile peut avoir des accès tempétueux imprévisibles ! Et alors ? j'veux pas mourir .........................................................................................................................................................................................................!!!!!
Bravo,Jean, pour ce texte qui remet les pendules à l'heure... Alors, il va falloir passer à la vitesse supérieure, à savoir, revenir au participatif, mais, en rémunérant à la pige, toutes celles et ceux qui postent des billets.
Bravo,Jean, pour ce texte qui remet les pendules à l'heure... Alors, il va falloir passer à la vitesse supérieure, à savoir, revenir au participatif, mais, en rémunérant à la pige, toutes celles et ceux qui postent des billets.
Un grand merci pour ce commentaire qui survient quelques heures avant mon rendez-vous avec Christophe Pommeray http://pommeray.blog.lemonde.fr/ et quelques heures après la "remise de pendule à l'heure" de Colette mon épouse qui a eu tant de joie de te recevoir en son huis vichyssois
Colette m'a repproché l'une des caractéristiques de mon caractère, à savoir une certaine "mexicanité", en l'occurence cette tendance à être "candil en la calle y oscuridada en la casa" (Lumière dans la rue et l'ombre de moi même à la maison)
Je suis passé aux aveux circonstanciés ej'essaie, dorénavant d'être, ou plutôt, de ocncourir à être ce couple https://fr.wikipedia.org/wiki/Couple_(physique) qui met en relation ton énergie et les forcesvives de Mediapart
Mon entretien avec Christophe Pommeray s'est déroulé au mieux
Il se trouve que Christophe est, aussi, abonné de Mediapart et qu'il a ses entrées
Sa militance est très similaure à la tienne puisqu'il poourchasse dans toute la presse toute utilisation abusive du terme "régime de Vichy" et a même classéles"bons élèves" (il y en a
ta psy est terminée, alors ? ... Je m'endors à totu bout de temps, phénomène auquel, Colette mon épouse, a donné un nom savant décrivant une pathologie pulmonaire provoquant le sommeil...
Mon premier sommeil, le plus facheux parce que je conduisai, a fait visiter à mon autoobile de location des panneau, miraculeusement placés sur un support flexible un peu comme les poteaux pour les compétions de ski en slalom...
La voiture n'a pas été abimée et je suis arrivé sans encombre au terme du voyage qui nous a permis, à Colette mon épouse et à moi, de rendre visite, début Juillet, à notre lointaine dernière demeure, qui est déjà celle de ses parents dans ce très beau cimetière de ce très beau village qu'est Saint-Bonnet le Chastel...
Notre deuxième voyage, le 28 août au matin a été plus convenu...
Arrivée sans encombre au restaurant chez Christiane à Founol puis dépôt de fleurs sur ce caveau "entouré" à gauche par la tomble de Hans-Dieter Bloch (1950 - 1994) et à droite, où résident mes 2 beaux-parents, la tombe d'un résitant du village...
Prise de conscience devant ce caveau familial de l'énormité d'avoir symbolisé Antoine Perraud sous les traits d'un loup et de Monsieur Seguin...
Dès potron minet, ce matin, demande à Véronique Hurtado et à tous les visiteurs de son billet de régir à cette "galégeade" déposé sur son billet...
Sinon, petit roupillon en compagnie de la famille auvergnate après avoir pu tirer un maximum de conversation du match contre Grenoble et de la saison de rugby de l'équipe de Clermont-Ferrand, la meilleure du monde, tu le sais déjà, d'autant plus qu'elle occupe la première place du top 14 !!!
Petit roupillon au dîner, en compagnie d'une autre partie de la famille de Colette résidant tout près de la salle de concert de secours dans la zone industrielle d'Ambert, petit roupillon durant le très bon concert "La création du monde de Haendel", petit roupillon le sur-lendemain durant la première symphonie de Beethoven pourtant très bien intreprétée ...
Pas de roupillon durant le voyage depuis une très, très belle chambre d'hôtes à Oliergues, jusqu'aux macarons de Massiac, retour à la Chaise Dieu par cette trèsbelle route qui pass par Brioude
Pas de roupillon sur la route assurant un maximum de virages, donc de beauté entre La Chaise Dieu et Vichy...
Auvergne > Chaise-Dieu 31/08/15 - 07h30 Festival de La Chaise-Dieu : le lyrisme tient tête à la schizophrénieLa Montagne
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Le « Soliste instrumental » aux dernières Victoires de la musique avec Alexandre Bloch - Vincent JOLFRE
Seul maître à bord, Edgar Moreau balaye avec un grand lyrisme, l’exigence technique et les grands tourments du Concerto pour violoncelle de Schumann, déclaration d’amour (fou) faite à l’instrument.
Alexandre Bloch, chef invité de l’Orchestre national de Lille, est généreux dans le geste et se passe de partition. Voilà une jolie promesse de liberté ; une obligation surtout pour aller chercher des musiciens « expérimentés » – diplomatie oblige – qui tentent de compenser par le métier, des attaques et des sonorités hasardeuses. De ce choc des énergies découle une Symphonie n° 1 de Beethoven aimable et une Symphonie n° 8 de Dvorak tout simplemement réjouissante (comme il se doit).
Pas de quoi attendrir Edgar Moreau qui, entre souveraineté et ardeur juvénile, affiche un profil idéal pour aborder le Concerto pour violoncelle en la mineur de Schumann. Il sort indemne des extrêmes tourments de l’œuvre, d’une schizophrénie qui s’affirme jusque dans l’enchaînement imperceptible des trois mouvements très différents. Autre opposition : le bouillonnement intérieur est maîtrisé contrairement aux relations extérieures avec une communication avec l’orchestre a minima. Seul maître à bord, le soliste reste impérial.
Pierre-Olivier Febvret
J'aimerais écrire aussi bien que Pierre-Olivier Febvret pour décrire aussi bine ce qeu nous avons ressenti, en ce Dimanche 30 août 2015 en cette abbatiale de la Chaise Dieu
Oui, si Josiane Blanc n'était pas en vacances je lui rapellerais ce que le serpent a utilisé com artifice sémantique, "comme com" , pout "tenter EVE " ::::::::::::::::::::::::::
_ Vous serez COM des dieux !
Autrement dit, en para-phrase, vous deviendrez des fac similé de dieux ! Ils étaient divins, du divin, de dieu ! Et le serpent verbeux et doucereux lui propose , comm avantage avantageux , de n'être plus qu'une image de dieu , com des photocopies du divin ! On sait que l'image est en inversion , dans la chambre, la caméra !.........quelle énorme promotion à l'envers , une fostocopie de vérité qui ne peut engager que la naïveté d'une enfant confiante !
Un homme qui ne croa plus en dieu, ne croit plus en lui même ni en sa force , peut être épuisé et à l'agonie d'avoir porté jusqu'au bout de sa force son féminin ?
Aujourd'hui, tout est changé , nous les femmes , nous sommes de tailles à mettre nos hommes sur nos épaules ! Et plus ils sont épuisés de nous avoir soutenues , en conditions les plus extrèmes , plus nous les porterons HAUT !
Aujourd'hui, tout est changé , nous les femmes , nous sommes de tailles à mettre nos hommes sur nos épaules ! Et plus ils sont épuisés de nous avoir soutenues , en conditions les plus extrèmes , plus nous les porterons HAUT !
Oui, si Josiane Blanc n'était pas en vacances je lui rapellerais ce que le serpent a utilisé com artifice sémantique, "comme com" , pout "tenter EVE "
::::::::::::::::::::::::::
_ Vous serez COM des dieux !
Autrement dit, en para-phrase, vous deviendrez des fac similé de dieux ! Ils étaient divins, du divin, de dieu ! Et le serpent verbeux et doucereux lui propose , comm avantage avantageux , de n'être plus qu'une image de dieu , com des photocopies du divin ! On sait que l'image est en inversion , dans la chambre, la caméra !.........quelle énorme promotion à l'envers , une fostocopie de vérité qui ne peut engager que la naïveté d'une enfant confiante !
Un homme qui ne croa plus en dieu, ne croit plus en lui même ni en sa force , peut être épuisé et à l'agonie d'avoir porté jusqu'au bout de sa force son féminin ?
Aujourd'hui, tout est changé , nous les femmes , nous sommes de tailles à mettre nos hommes sur nos épaules ! Et plus ils sont épuisés de nous avoir soutenues , en conditions les plus extrèmes , plus nous les porterons HAUT !
Un homme qui ne croa plus en dieu, ne croit plus en lui même ni en sa force , peut être épuisé et à l'agonie d'avoir porté jusqu'au bout de sa force son féminin ?
PositivismeLe terme positivisme désigne un ensemble de courants qui considère que seules l'analyse et la connaissance des faits vérifiés par l'expérience peuvent expliquer les phénomènes du monde. La certitude en est fournie exclusivement par l'expérience scientifique. Il rejette l'introspection, l'intuition et toute approche métaphysique pour expl…
Le terme positivisme désigne un ensemble de courants qui considère que seules l'analyse et la connaissance des faits vérifiés par l'expérience peuvent expliquer les phénomènes du monde. La certitude en est fournie exclusivement par l'expérience scientifique. Il rejette l'introspection, l'intuition et toute approche métaphysique pour expliquer la connaissance des phénomènes. Le positivisme est associé à une foi parfois presque religieuse dans le progrès scientifique et la formalisation mathématique du réel. Il a fortement marqué la plupart des domaines de la pensée occidentale du XIX siècle, exerçant une forte influence aussi bien sur l'empirisme logique que sur le marxisme.
La différence sémantique , vient de la définition du mot "connaître" , dans son acception biblique ! Et là, j'ajoute une subtilité qui échappera à la plus part : "naître ensemble" , sans décalage ! ça entre dans le phénomène mnésique de la re-connaissance , bien évidemment !
Mais , pardon, ce n'est pas une vérité scientifique ni déologie, je m'en excuse , c'est une épreuve et une preuve éprouvée d'amour !
Mais , pardon, ce n'est pas une vérité scientifique ni déologMais , pardon, ce n'est pas une vérité scientifique ni déologie, je m'en excuse , c'est une épreuve et une preuve éprouvée d'amour !Maisie, je m'en excuse , c'est une épreuve et une preuve éprouvée d'amour !
Ton pardon m'agrée plus que celui du pape, cet amputé de virilité qui serait bien capable ce grand connard, s'il croisait marie madeleine , cette p. de lui dire : vas, je ne te hais pas .............vas ! je te paronne !
Mais les pôvres figures cassées, sont toujours les mêmes , pôvre je suis , pôvre je reste ( même si 25 années de ma vie, en tant que médeicn, j'eus les moyens) quand d'ôtres sont à l'équilibre dans la balance des finances !
Peut-être que com l'amour n'a pas de prix, l'amour en héritage au pays des cigales, serait-ce mon lot ?????????? qui vivra verra ! Qué séra séra ! olé !
Je m'en fous ! Ce qui a toujours primé, pour moi, comme pour Michel Gueritte,dont je vais éplucher tous les billets, c'est le témoignage ! Com je-an, mon ami W , aussi .........................! Com jolly monsieur , Com..........................................tant et tant de voix justes du coeur éternel !
Vive les 3 troyens revenus d'une guerre aussi terrible que la guerre de Troyes !
Et je suis bien d'accord que MDP est un succès ! Les moustaches de Plenel, ne ressembleraient-elles pas à celles d'un certain CLOVIS, rencontré sur aubois' ? ne le saurai jamais , sans doute ?
Mariage inédit entre une tradition de journalisme ethique et les nouveaux modes d'expression anarchique de son lectorat.
Plenel a eu le grand mérite de le comprendre
Puis, un conseiller extérieur a été missionné pour aider à trouver « de nouveaux modes de fonctionnement afin de bien coordonner, sans pour autant reproduire les structures lourdes avec une myriade de chefs », explique M. Plenel.
Roms de La Courneuve les fontaines ont été coupés, les arrosoirs déclenchés à 4h du matin...
Jozsef FARKAS
France
1 sept. 2015 — Bonjour à tous, hier soir, des associations étaient venues aider pour le repas, et on avait cuisiné avec nos amis ivoiriens. Les photos sont la page Facebook qui a été lancée pour la mobilisation : « Bidonville : changeons de politique ». D’un coup on s’est retrouvés dans le noir total, l’éclairage public a été éteint dans la rue de la Mairie, et il n’y avait plus d’accès d’eau aux fontaines non plus. Par contre, les arrosoirs sont partis à 4h du matin, on était tous mouillés. Alors on ne sait pas si c’est le Maire qui a demandé ça, mais ça fait 3 coïncidences en même temps, ça fait beaucoup. C'est peut-être sa manière de nous dire qu'il ne veut pas de nous sur place... Nous non plus on ne veut pas être là, mais il a fait détruire nos maisons, alors qu'est-ce qu'on peut faire? Une ancienne de chez nous nous dit que Gilles Poux est pire que Ceausescu à l'époque! On cherche toujours des solutions pour se loger, la Mairie dit qu’elle ne peut rien faire. Il paraît que quand les gens appellent ils disent qu’il y a eu des relogements. C’est faux... quelques uns qui avaient eu 3 nuits d’hôtel, mais c’est fini, alors ils sont revenus avec nous. Pour l’instant, on n’a nulle part d’autre où aller. On a quand même une bonne nouvelle: des enfants ont pu commencer la rentrée, grâce aux dons de fournitures scolaires, ça c’est vraiment super ! D’autres ne sont pas scolarisés parce qu’ils n’ont pas la domiciliation que le Maire n’a jamais voulu leur donner, alors ils sont là la journée avec ceux qui ne travaillent pas, mais Les Enfants du Canal et ASET 93 aident pour qu’on puisse avoir accès aux droits, parce qu’en fait normalement la Préfecture est obligée de nous trouver un relogement. On commence des actions en justice. Quand des gens et des associations passent souvent, ça nous protège, et ça fait du bien au moral. On vous remercie vraiment de toute l’aide qui a été apportée pour les vêtements, tentes, nourriture, fournitures, eau... On sera encore là quelques temps, s’il vous plaît ne nous oubliez pas, passez nous voir ! Merci beaucoup et à bientôt ! Jozsef
De tout coeur avec vous ! Malheureusement, certains humains n'en ont pas et on ne peut pas greffer,ce genre là de coeur affectif !!! Ce genre de manifestations hostiles vont fleurir un peu partout , sans retenue et sans vergogne ! Il n'y a plus de filtre !
Il est imporant de faire ce que vous avez fait : en donner un témoignage précis !
Et c'est moi qui délire ! Quel bonheur d'avoir eu toujours les pieds sur terre , dans la triste gadoue de la chapelle st luc, et au contact des plus pôvres, des plus simples , des simplistes ! Ils sont bénis les pôvres , les autres , rien à foutre , ceux là de" ma-mon" , qui s'interrogent, s'il faut aider ou non , leur main nom tendue pour un cause qui est la leur, l'égo¨¨isme , ça les regarde , pas moi ! J'y suis pour rien ! ils sont com ils sont !
Le quartier « Chantereigne » est une zone d'une centaine d'hectares, à l'ouest de la rue Jean-Jaurès. Il se compose essentiellement d'habitats collectifs et d'équipements publics. Il est bordé au nord par le complexe sportif Lucien Pinet, l'espace vert des Prés de Lyon et la zone pavillonnaire des Hameaux Saint Luc.
À l'origine, en 1963, le Conseil municipal délibère sur la création d'une zone à urbaniser en priorité afin de permettre à la commune de renforcer son aménagement. L'objectif est de répondre aux besoins en logement d'une population grandissante, venue travailler dans l'importante zone industrielle où s'implantent diverses entreprises et usines. La construction du quartier Chantereigne a donc donné une physionomie nouvelle à la commune, impulsée par le développent économique des années 1970. Ce quartier regroupe aujourd'hui plus de la moitié de la population chapelaine.
Non, ce pays ne m'a pas vu naître , je suis née en sa-voie à Chambéry , mais la Chapelle st luc m'a vue à l'ouvrage ! Un temps si long qu'elle ne m'a pas oubliée, et je le sais ! Je la garde en mon coeur !
Le Pape François va intercéder auprès du Président François et du sénateur-maire François pour que la Chapelle Saint Luc soit rebaptisée La Chapelle Sainte Joëlle en l'honneur d'une doctoresse victime de l'ordre des docteurs, organe pétainiste par excellence....Le correspondant local du Pape, trop occupé a essayer de protéger la région qui produit les robes des moines, a négligé de porter assistance à l'ange qui s'était posé sur le toit de la maison de la radio de Pont Sainte Marie...
OUI, une DEMISSION éclaboussant le conseil de l'ordre , ça n'a rien d'un problème personnel, comme les instances l'ont dit !
NON, une démission politique pour "raisons éthiques", en cours de mandat électif, ça n'a rien d'un problème personnel, même si j'ai eu aussi à des problèmes personnels à gérer en cette tornade , NON, ce n'est pas une affaire personnelle , c'est une affaire d'état et la force de mon témoinage le confirme ! Je fus horrifiée de ce que je voyais arriver avec le cinéma sarko , sachant que via la gôche ce ne serait pas mieux !( comme je disais ailleurs, il faut s'appeler Dreyfus pour qu'on en parle ...en plus une hystérique qui s'en va seule guerroyer , mon dieu, la conne !........) Bref !
OUI, je crois davantage en des initiatives personnelles ,en des combats comme le tien , comme celui de Jean contre perraud, dont tant de témoignages écrits dénoncent des pratiques s'opposant frontalement à l'esprit qui a fondé MDP et qui a fait rêver ! Effectivement, je fus moi-même confrontée au problème , dans le 2ème article , portant le nom du premier : "malaise dans la sécularisation", j'ai vu disparaître 3 fois des commen taires ? , sur le 2 ème article ! Je signale, que personne ne peut faire disparaître sur son blog, des commentaires qui inconfortent ! On peut juste demander à l'auteur d'effacer son commentaire génant ! Les règles et les passes droit ne sont apparemment pas les mêmes pour tous ! Il est vraiment dommage qu'on n'ait pas pu retirer l'article "malaise dans la sécularisation", qui après les 26 commentaires auraient pu se titrer "malaise dans le retour du religeux institutionnel" ........................!
OUI, nous savons bien Monsieur jolly , tout ce que nous avons laissé d'idées et de témoignages sur auboisement correct , boîte à idées si utile au politique en panne et qui recopie , en nègre de service tout ce qui peut lui être utile, comme à la confession, et fait disparaître opportunemment le journal, avec l'informatique, c'est si simple ! Oui, nous savons bien combien il est utile et incontournable de se battre contre tous les mutileurs de parole !
J'ai quand même le sentiment, que face à l'impuissance en action , le déni ridicule , la lutte contre leurs mensonges et occutations diverses , se gagnera avec aisance , même si je doute , accrochés à leurs postes comme la misère au pôvre monde , qu'ils nous évitent le mur où ils nous mènent allègrement , ces ambitieux, ambicieusement dévoyés !
ILS ONT TOUS LES DROITS ET EN PROFITERONT JUSQU'A L'ULTIME !
OUI, nous savons bien Monsieur jolly , tout ce que nous avons laissé d'idées et de témoignages sur auboisement correct , boîte à idées si utile au politique en panne et qui recopie , en nègre de service tout ce qui peut lui être utile, comme à la confession, et fait disparaître opportunemment le journal, avec l'informatique, c'est si simple ! Oui, nous savons bien combien il est utile et incontournable de se battre contre tous les mutileurs de parole !
Très modestement, je commence mon "utile et incontournable se battre" par Antoine Perraud "notre mutileur de parole national"
Ce n'est pas de la tarte, mais souvent une pratique du participatif tous le jours plus enrichissant
Le correspondant local du Pape, trop occupé a essayer de protéger la région qui produit les robes des moines, a négligé de porter assistance à l'ange qui s'était posé sur le toit de la maison de la radio de Pont Sainte Marie...
YAPLUKA LUI DEMANDER !!!
Un discours anticapitaliste venu du Sud
Le pape contre le « fumier du diable »
En septembre, le chef de l’Eglise catholique doit visiter Cuba, puis les Etats-Unis, après avoir œuvré au rapprochement de ces deux pays. Ces deux dernières années, François, premier pape non européen depuis treize siècles, a décentré le regard de l’Eglise sur le monde. Promoteur d’une écologie « intégrale » socialement responsable, ce pasteur jésuite argentin vient aussi chatouiller les consciences aux Nations unies.
par Jean-Michel Dumay, septembre 2015
Aperçu
Devant un auditoire dense réuni au parc des expositions de Santa Cruz, la capitale économique de la Bolivie, un homme en blanc fustige « l’économie qui tue », « le capital érigé en idole », « l’ambition sans retenue de l’argent qui commande ». Ce 9 juillet, le chef de l’Eglise catholique s’adresse non seulement aux représentants de mouvements populaires et à l’Amérique latine, qui l’a vu naître, mais au monde, qu’il veut mobiliser pour mettre fin à cette « dictature subtile » aux relents de « fumier du diable ».
« Nous avons besoin d’un changement », proclame le pape François, avant d’inciter les jeunes, trois jours plus tard au Paraguay, à « mettre le bazar ». Dès 2013, au Brésil, il leur avait demandé « d’être des révolutionnaires, d’aller à contre-courant ». Au fil de ses voyages, l’évêque de Rome diffuse un discours de plus en plus musclé sur l’état du monde, sur sa dégradation environnementale et sociale, avec des mots très forts contre le néolibéralisme, le technocentrisme, bref, contre un système aux effets délétères : uniformisation des cultures et « mondialisation de l’indifférence ».
En juin, dans la même veine, François adressait à la communauté internationale une « invitation urgente à un nouveau dialogue sur la façon dont nous construisons l’avenir de la planète ». Dans cette encyclique sur l’écologie, Laudato si’ (« Loué sois-tu »), il appelle chacun, croyant ou non, à une révolution des comportements et dénonce un « système de relations commerciales et de propriété structurellement pervers ». Un texte « à la fois caustique et tendre », qui « devrait ébranler tous les lecteurs non pauvres », estime la New York Review of Books. En France, 100 000 exemplaires de ce petit manuel se sont envolés en six semaines.
Voici donc un pontife qui assure qu’un autre monde est possible, non pas au jour du Jugement dernier, mais ici-bas et maintenant. Ce pape superstar, dans la lignée médiatique de Jean Paul II (1978-2005), tranche et divise : canonisé par des figures écologistes et (...)
C'est une écholalie qui ne te rappelle pas quelque chose ou quelqu'un ? Quelle crédulité mon pôvre Jean ! Ce roi qui n' a pas encore reçu de royaume ......( les jésuites n'avaient pas accès au trône de st pierre , crucifié à l'envers sur une croix romaine , dont le temple "crétin" a été bati sur l'ancien temple de sybèle, si belle !) ! Il fallait , en urgence , pressé par le temps , changer toutes les règles de fonctionnement, pour pouvoir accéder à ce trône de toutes les temporalités !
Bref, je suis trop calée sur la question pour tomber dans ce trou ! Je te l'ai déjà dit mille fois : Tu vois Jé-sus, son maître en un tel accoutrement, et tout le reste ...........................! Sachant que l'essentiel est invisible pour les yeux, ça fait sourire , non ?
Bon, tu le verras demain, s'il le faut, en chantre de la mixité ! Trop débile ! TOUBAB , il est là , le voilà l'homme en blanc, comme chanterait bâche -moi cette imbécilité ! Mais à la fin annoncée du livre, c'est d'une femme qu'il s'agit : toubab toubib : c'est ma vie, je n'y peux rien, c'est elle qui m'a choisie ..................... Nobel, Nobel , l'amour est enfant de bonhème , en walof !
On n'y peut rien , nada ! Un peu comme le grand tableau à double persespective de DALI !
Que le film du papa en courageuse papamobile continue !
Tu le sais quand même que ce sont les mêmes qui ont fait le franquisme, qui ont installé la démocratie dans l'air du temps quand les temps ont semblé changer, les mêmes !
Le pape, "dieu sur terre" , a mis un temps HONTEUX à prendre la mesure des problèmes extrèmes de la planète ! Pour un éclairé retardé , surfant sur la nouveauté du jour, il peut toujours faire son cinosh ridicule,,, la foule adorera ! Qu'il ouvre ses comptes et montre son argent, ses trésors et ses possessions , Judas bien engraissé , l'apocalypse parle de la synagogue de satan des nicolaïtes ( les commerçants, les marchands, les églises du cristian-isme n'exisaient pas encore ), l'apocalyse aurait pu aussi parler des églises de tous les trafics dont l'embl^me papale est l'exemple le plus exemplaire , , toujours compromis en attitudes honteuses pendant les guerres, enfourchant "le cheval vert" , comme décrit dans le texte, à la mutation écologique de la dernière chance !
C'était un petit cheval blanc ....................lalala , trop drôle !
Il est inutile que je m'émotionne pour ces conneries, l'avenir très proche dira ! CINEMA INTERNATIONAL ! Que la foule adore le cirque, elle a été dressée à l'idolatrie !
MOI , je préfère MONTECRISTO, montez cri st haut !
Oui ! On a vu in live, la force des images aptes à mobiliser la sensiblerie, le sentimentalisme de ces foules sentimentales, effectivement, le créneau va porter !
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Les mêmes qui ont provoqué tout ce chaos, les mêmes vont nous jouer le cinosh salvateur , le violon à la couchner et son sac de riz ! Et personne ne prononcera le mot, JUSTICE ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,le seul qui puisse être salvateur en écologie et réparateur, et en restauration de notre humanité, et en rafraichissement nécessaire des émotions naturelles d'indignations ( rien à voir avec la sensiblerie ) ! JUSTICE !
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Laïcité et justice , les seuls combats qui ont de l'avenir !
J'espère que vous vous êtes bien régalés du joli spectacle d'hier soir sur la 13 !
Et cet odon leur Vallet servile , trop fort : Ô mais jp 2 , occupé à faire son show et sa guerre internationale , il ne savait , le pauvre le pourrisement de la pourriture de sa maison , ni son bras droit de raztinger , ils ne pouvaient pas savoir , le degré de délabrement psychiatrique de son église !
J'espère que chaque fois qu'ils vont prononcer la célèbre phrase : l'église , pure, sainte catholique , j'espère que leur langue va se dessécher dans leurs palaisss ! J'espère qu'ils ont eu le temps de se préparer un enterrement en habit, en grande pompes et en première classe !
Ah bon, ce pape , en courageuse papamobile (témoignant de la hauteur de sa foi) est contre le nucléaire civil ! Il ne peut pas en bon guerrier de dieu abandonner le nucléaire militaire , normal ! ! ! J'espère que ça rassure le hulot de la roulotte vaticanesque !
Ite missa est ,allez payer au pemple votre denier du culte, vous achèterez votre part de leur para-dis de truants patentés ! (mafieusement amicalement votre ) ! Allez donc vous faire chanoiniser, ça vous y assure une place bien placée !
La seule sainteté ( saint = à part ) que je revendique, c'est celle de ma colère !
Oui, quand une parole s'ouvre sur la perversion du message chrétien qu'il porte au monde, le pôvre, il ne peut pas cacher sa joie devant la transparence tant attendue et désirée ! C'est le pape qui ouvre la parole !..........trop drôle !
Le monde entier est témoin de ses appalaudissements devant le dévoilement des messes basses putrides de son état et qui vont jusqu'à la transgression maximale du meurtre !!! C'est tout à fait le message chrétien !
C'est qu'il est le premier témoin, de par son titre, sa fonction élective , oui, le premier témoin d'un Je -sus qui a toujours affirmé que c'est par le fric qu'on fait de droit la loi, surtout si ce fric pue l'odeur de sainteté vaticanesque, c'est bien ça !
Infamie et honte publique !
Quand l'abomination de la désolation, installée en lieux saints ..........il doit connaitre la fin de la phrase ! Si , c'est le B a Ba !
Bon, à coté de ces anathèmes visant une institution défaillante et pervertie , le salut étant individuel , il y a dans chaque famille des justes , c'est évident !
J'apprécie beaucoup que l'huma passe in first , un fim sur une assos de cathos motivés , ailleurs que sur les bancs de son église et juste dans ses propos, bien dans l'action réelle , et loin du cinosh des palabres verbeuses ! Ce sont les petites initiatives qui font les grandes rivières !
Les justes appartiennent à toutes les familles et à tous les clans, les pourris qui pensent que la fin justifient les moyens zossi, en "nombre énorme" d'une fraternité rassurante autant qu'illusoire et fictive !
Effectivement, la bonne nouvelle, l'évangile s'adresse à la personne , rien d'autre , un évangile ouvert, c'est ce qui doit apparaitre à l'autre qui est ton égal et ton frère, loin, bien loin d'un cinéma de puissance et de gloire qui ne peut que t'éloigner de l'autre , en imprimant sur lui ta supériorité ! à chacun de tenir sa juste place !
En ce matin pluvieux et morne, je pense aux 2 dernières pages que j'avais lues , émanant de René Girard, sur un vieux nouvel obs dont j'ai oublié la date !
Un torrent limpide et clair sur le désir, une petite merveille , un joyau !
Oui, en poursuivant le fil de mes cogitations , je dirais que l'institution du jour ferait ce qu'a fait l'institution d'hier et la même foule avec elle, de crier ensemble et de décider en manoeuvre évidente :
______"" libère-nous Bar abbas"" le fils du père, cet activiste politique !
Oui, à deux pas d'ici, c'est bien toujours la même histoire et l'église officielle mouillée jusqu'au cou dans des combats politiques idéologiques droitistes de la honte a tôt fait de reposer cette sombre injonction : libère nous bar abbas , le Je-sus, l'homme (de) Galilée , on n'en a rien à faire ...........et pourtant, elle tourne toujours ! Et c'est toujours la mort du juste !
La conséquence d'une politique corrompue qui ressemble bien à celle du temps d'avant et à sa pax romana qui serait réactualisée en pax americana hégémonique (!) a entrainé la destruction du temple et diaspora , il ne faut rien incriminer d'autre que le pourrissement politique et l'injustice !
La foi, ne peut en rien être un positionnement idéologique, ni un clan du politique !
Voilà, il en sera de même de tous ceux-là qui professent de la profession en chrétienté , sans défendre la justice à tous les titres possibles ! Ils iraient contre leurs juteux intérêts , donc, impensable ! Là où est ton trésor, là, aussi sera ton coeur !
Je me régale, à la lecture limpide d'Elisabeth Godfrid , dans l'huma du jour !
Quelle belle personne et quelles belles réflexions !
En face de ses écrits, d'artificielles paroles à la KHÂ :"n'ayez pas peur", semblent contrairement permissives et démobilisantes ! Effectivement que le danger écologique doit nous mobiliser tous ! Des folies ridiculement dogmatiques, contre des vérités scientifiques argumentées, ça ne tient pas debout , normal ! Même et surtout si ça nous dérange !
Je me régale, à la lecture limpide d'Elisabeth Godfrid , dans l'huma du jour !
Ce n'est pas "l'huma" du jour mais je me régale, aussi !!!
L’école, entre égalité en droits et droit d’égalité
Comment allier le commun et le singulier ?
Vendredi, 18 Septembre, 2015
L'Humanité
Par Élisabeth Godfrid, philosophe au CNRS. N’énonçant pas clairement à quoi elle se rapporte, « l’égalité » a un référent flottant.
« Des constatations faites dans de nombreuses écoles, il résulte que la “lecture courante” n’est pas encore complètement acquise à dix ans par la moyenne des élèves (de CM1). » Ce problème date-t-il d’une récente étude du Programme international pour le suivi des acquis des élèves (Pisa) ? Il semblerait. Pourtant, ce texte de Jean Zay, ministre de l’Éducation, a été écrit en 1938.
Si ce constat pouvait déjà être fait, les échecs actuels similaires ne peuvent être imputés seulement aux conséquences de l’option « 80 % au bac ». Avant même que ces années de « démocratisation » soient accusées par certains d’être responsables d’une dégradation scolaire, la terminologie employée manifestait largement que ce désir n’était pas partagé. Ainsi, dans la Revue des deux mondes du 1er juin 1939, Henri Boegner, professeur de philosophie, fustigeait « la révolution sociale » : « On aurait tort de croire qu’une civilisation soit menacée seulement par les invasions. Il y a des infiltrations qui préparent les invasions. » Danger prophétisé aussi en 2015 suscitant face à « l’intrus » les mêmes systèmes de défense. « Digues », « barrages », autant de métaphores contre « le flot qui monte », dénonçant une « submersion » reprise en leitmotiv dans les années soixante. « Un barrage pur et simple, destiné à préserver les facultés de l’invasion », prônera le conseiller du général de Gaulle. Qui est coupable ? « La masse ». La qualifiant sans ambiguïté, le Général déplora d’avoir à « dépenser une masse de crédits pour absorber une masse de crétins ».
Dès lors que des discours portent à ce point des affects de conjuration, il devient naïf de s’étonner que l’école de la République ait des difficultés dans ce qui pourtant la fonde : l’égalité en droits. Dans ces conditions, comment peut-elle être appliquée, répondant au souhait de Condorcet de réduire « le grand intervalle entre les droits que la loi reconnaît aux citoyens et les droits dont ils ont une jouissance réelle » ?
Mais les réformes parlent au nom de « l’égalité », lui ajoutant parfois « réelle », comme pour suppléer à l’indéterminé. Les uns la rejettent la disant « nivelante », les autres la revendiquent sous forme d’un « commun » donné à tous, certains le voyant comme obstacle aux différences, son acquisition pour d’autres perçue comme retard à la profession. Les diatribes continuent de prospérer sur la confusion entre égalité en droits et droit d’égalité. Cette confusion a une histoire émergeant à la Révolution française, venant infléchir son cours, persister dans la République et dans son école.
L’égalité en droits fut énoncée à l’article 1er de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen en 1789, le droit d’égalité déclaré dans celle de 1793, « Ces droits sont l’égalité, la liberté, la sûreté, la propriété. » Changement vecteur de tensions par une « égalité », idée de l’imagination, comme telle perçue par chacun différemment. En effet, si l’égalité en droits comporte un étalon précis auquel on peut se référer, des droits déclarés, le droit d’égalité est lui sans référence : égalité de quoi ? à quoi ? « Égal » veut-il dire identique, équivalent, même, pareil, semblable, similaire ? N’énonçant pas clairement à quoi elle se rapporte, « l’égalité » a un référent flottant. Flottement qui s’accentue à l’article 3 de 1793, « Tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi », énoncé peu après le projet de Robespierre, « L’égalité des droits est établie par la nature. » Une « nature » qui fait la loi, dimensions théologique et juridique alors mêlées. Sans référence partageable, cette « égalité » invoquée que chacun fait parler attise les affrontements, leurs effets dans la Terreur se catalysant mutuellement : « égalité » se faisant « égalisation », nivellement par ressentiment, mortifère déchaîné, « égaux » fratricides, la surenchère de mort comme preuve de légitimité.
Présumée trait d’union de la République, « l’égalité », par son flou sémantique ne permet pas de s’entendre, serait-ce sur un désaccord. L’invoquant toujours, les réactions aux réformes scolaires poursuivent la cacophonie. D’où les invectives de ceux qui dénoncent le nivellement par le bas, soit au nom d’un niveau requis d’exigence, soit au nom d’un élitisme soucieux de préserver un statut social, l’approbation de ceux qui réclament un « commun » au nom de la justice, et le cynisme de ceux qui veulent maintenir la qualité pour une part, mais visent pour l’autre part la rapidité de son « utilité ».
Étonnant retournement qui s’appuie sur l’échec d’une scolarité à l’issue du processus pour légitimer l’injuste en se dédouanant d’une responsabilité en amont. Ainsi, se targuant souvent d’une « compréhension » pour justifier l’apprentissage précoce parce que « l’enfant n’est pas fait pour les études », sans s’interroger si, à la maternelle et au primaire, l’école a vraiment donné le désir d’apprendre, soutenu l’élève là où l’inégalité en droits a atteint socialement sa famille et lui en retour.
Sans précoce soutien scolaire, le « commun » ne l’est plus, l’assistance pédagogique au collège toujours trop tardive, venant réparer après coup une fuite en avant. Alors que CP et CE1 auraient dû être l’objet de toutes les attentions : dédoubler les classes, vérifier pour chacun le niveau des fondamentaux, non pour culpabiliser en compétition aux autres mais pour encourager l’avancée par rapport à lui-même. L’école primaire est prise entre un discours qui la valorise et cet insidieux mépris de ceux qui, socialement, n’ont pas besoin qu’elle soit la chance d’un anti-destin. Celle-ci commence en ne confondant pas égalité en droits et droit d’égalité, la première seule permettant d’épanouir le semblable singulier qui à la fois ouvre au possible de vivre ensemble mais aussi à l’invention qui renouvelle, transmettant un « commun » pour tous, mais en même temps à l’écoute du singulier de chaque élève, sensible à son aube.
En alliant le commun et le singulier, la Res publica est lettre vivante, résistant à ceux qui, dit Hugo, « ôte(nt) à l’enfant l’aube et lui donne(nt) la nuit ». « Enseigner autrement » (A. Prost), ou la manière de cet amour de l’aube, cette fermeté bienveillante, attentive à ce qui vient à naître.
Je sais que tu as beaucoup de mal à supporter mes invectives et anathèmes , anna t'aime , en face de la papauté que je mets en cause avec virulence , à travers la personne de son pape , responsable et coupable de son institution et de son incurie ! S'il est l'homme de foi qu'il prétend, il doit intégrer parfaitement mes mises en causes aussi directes !
Il est dangereux , effectivement d'ouvrir le champ de l'éducation aux femmes , et l'obcurantisme constant de son institution à ce sujet s'y est bien employé , maintenant la femme en position d'éternelle mineure, comme elle n'a cessé de le faire ! Se vivre à part entière comme une partie incontournable de l'humanité, c'est un blasphème insupportable , se rangeant humblement ,comme il se doit, derrière une capacité mineure et minorée de parole qui déservirait ses orientations rétrogrades ! NON NON NON !
Ce sont quand même ceux-là qui m'ont invitée à leur pélerinage de pax cristi , dont à l'analyse , j'ai retenu tant de choses, bien comparables à celles de mon ami le pédiatre Jean Vuillaume , et à ses fulgurances indignées !
Quand , à 26 ans la porte de la pédopsy me fut fermée , pour cause de trop grande fragilité ,selon le pédosy pervers que j'ai croisé , je dirais non pas trop grande fragilité mais de grande sensitivité , j'ai pu comprendre à la suite de mes 25 ans d'activité en médecine générale , que ce lieu là, était un champ idéal de la pratique médicale, panoramique indispensable de tous les champ de visions possibles du quotidien ! Cela m'a permis de reviser , in live , le corps et son anatomie , terrain que je n'aurais jamais approfondi avec des notions livresques exclusives ! Un mal pour bien des biens !
Tu comprends encore mieux , pourquoi politiquement, il est si fondamental de liquider cette médecine générale, au profit de la toute puissance d'une médecine spécialisée et rentable , celle de la petite croix dans la petite case ! Ce ne sont en fait que des pratiques qui ne peuvent exister et être utiles, qu'en grande complicité et complémentarité !
Voilà, on n'en est malheureusement plus à la consensualité dans tous les azimuts , on en est à l'heure des JUSTES , des consciences personnelles , et des comptes justes, en somme !
Et l'enjeu en est crucial ou cruXial , si tu veux !
Difficile de dire Magnificat alors que tant d’hommes sont menacés, vilipendés et bafoués jusqu’à devoir quitter leur terre devenue inhospitalière.
Quitter, c’est pour les uns entrer dans une ère nouvelle et espérante alors que pour d’autres, c’est affronter des traversées à haut risque quand elles ne sont pas mortifères. Le Pape François s’insurge sur le fait que la Méditerranée devienne un vaste cimetière de par la globalisation de l’indifférence (cf. encyclique Laudato si).
Le devoir d’assistance à personne en danger est oublié. Les organismes caritatifs en rappellent l’urgence et les institutions internationales, telle l’ONU, soulignent la nécessité de quotas. Si notre humanité est blessée, elle est aussi gravement blessante. L’évêque anglican de Douvres écrivant fort justement « les migrants ne sont pas d’abord un problème mais des êtres humains ».
Des frères sont délogés de leur monde, souvent brutalement, sans parvenir à trouver une nouvelle place. Je pense à ce jeune-homme, Bakari, qui dut quitter seul, il y a trois ans, le Mali ; il avait 15 ans. Sa mère l’a confié à un passeur pour lui donner une chance de rester en vie, son père ayant été sauvagement assassiné.
En France après trois années de galère, un accompagnement lui est réservé, mais son avenir reste encore insécurisé.
La tentation est d’ériger des frontières, autant de lignes imaginaires. Qui peut penser qu’elles ne céderont pas devant l’immense misère, aggravée par une brutalité destructrice et une économie irrespectueuse de la planète, cause d’un dérèglement climatique touchant les populations les plus pauvres ; elles n’ont bénéficié d’aucun avantage de cette course à la puissance, mais elles en subissent, les premières, les conséquences jusqu’à devoir s’exiler.
En cette fête de l’Assomption, comment ne pas nous souvenir de la parole de l’ange à Marie : sois sans crainte ; elle nous est adressée.
La crainte n’est pas appelée à être occultée ou niée, mais traversée par un oui plénier à l’existence, refusant ces désordres établis pour susciter un nouvel ordonnancement des richesses, accompagné de sécurités hiérarchisées à l’attention de ceux qui ont tout perdu pour avoir dû s’enfuir de leurs enfers.
« Il renverse les puissants », observant queles idées de puissance progressivement apparaissent décalées, telle la croissance comme finalité.
Cette prise de conscience ne participe-t-elle pas à la prière du Magnificat, sois sans crainte, un autrement se dessine.
« Il renvoie les riches les mains vides », non point rejetés mais pour leur permettre d’expérimenter que quand rien ne manque, tout manque. Vivre c’est vibrer non dans la recherche d’addictions à l’argent, au plaisir ou au pouvoir mais à partir de ces rencontres qui souvent nous changent jusqu’à nous faire exister autrement. Magnificat, alors !
Souvenons-nous de Dante dans le Paradis : ô Toi qui ennoblis la vie de telle manière que Celui qui était son créateur a voulu se faire sa créature. Tout est bouleversé, renversé ; alors s’ouvre un autre chemin nous éloignant des inessentiels pour devenir plus humains.
Magnificat, pour l’acuité et actualité de cette prière.
Texte français (traduction officielle)
Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !
Il s'est penché sur son humble servante ; désormais, tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom !
Sa miséricorde s'étend d'âge en âge sur ceux qui le craignent. Déployant la force de son bras,
il disperse les superbes. Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. Il relève Israël, son serviteur, il se souvient de son amour,
de la promesse faite à nos pères, en faveur d'Abraham et de sa descendance, à jamais.
« Sept ans, c’est l’âge de raison », sourit Edwy Plenel, le cofondateur de Mediapart, à propos du site né le 16 mars 2008. Une manière de dire que ce média d’investigation en ligne et payant, couronné d’un grand succès, arrive « à maturité ». Mais aussi d’esquisser un avenir dans lequel l’équipe actuelle prendra progressivement les commandes : Edwy Plenel a en effet annoncé il y a quelques semainesqu’il comptait transmettre son rôlede directeur de la publication vers 2017 ou 2018.
« Notre mission de fondateurs est de construire un média non endetté qui soit rentable grâce au journalisme et indépendant, car détenu par ses journalistes », résume M. Plenel. Sur le plan économique, la mission est accomplie, comme en attestent les résultats publiés jeudi 12 mars. Rentable depuis fin 2010, Mediapartaffiche une santé insolente dans le paysage morose de la presse. Il a, en 2014, dégagé 1,48 million d’euros de résultat et 900 000 euros en 2013, soit une hausse de 60 %. Pour un chiffre d’affaires de 8,8 millions d’euros en 2014 (+ 28 %). En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/03/13/mediapart-plenel-prepare-l-apres-plenel_4593035_3236.html#4QbGXz4SxOWiHQWO.99
« L’histoire de Mediapart est très exigeante »Côté indépendance, un pas a été franchi avec le rachat des 20 % du fonds Odyssée venture, repris par Mediapartet Ecofinance, l’un de ses investisseurs historiques. Ce dernier possède 18,27 %, un autre investisseur, Doxa, 27,75 %. Les fondateurs détiennent eux 36,71 % (soit une majorité si on y ajoute les parts de la société des amis, 14,65 %). Ils envisagent de transmettre leurs parts aux membres de l’équipe de Mediapart, explique Edwy Plenel, tout en précisant que la forme juridique et les modalités restent à définir.
L’organisation interne est également vouée à évoluer : passée de 27 à 55 salariés, la rédaction a demandé une réflexion sur le sujet et un conseiller extérieur a été missionné pour aider à trouver « de nouveaux modes de fonctionnement afin de bien coordonner, sans pour autant reproduire les structures lourdes avec une myriade de chefs », explique M. Plenel. Jusqu’ici, la rédaction a plutôt eu une organisation légère, comme un collectif de journalistes assez autonomes. Se pose par exemple la question de créer des pôles thématiques avec des chefs. Après sept années intenses, une certaine usure se fait sentir. « L’histoire de Mediapart est très exigeante, on travaille beaucoup », reconnaît M. Plenel.
« Edwy » restera dans les paragesRestera la question des dirigeants. Edwy Plenel avait déjà évoqué en interne sa volonté de passer la main mais l’équipe n’en a pris conscience que lorsqu’il l’a exposée dans Le Journal du Net, en décembre. « Nous sommes contre le cumul des mandats », s’amuse le journaliste, qui aura 65 ans en 2017, sensiblement le même âge que deux autres fondateurs, Marie-Hélène Smiejan et Laurent Mauduit (le quatrième, François Bonnet, directeur de la rédaction, est un peu plus jeune).
Les journalistes, dont certains ont fait leurs armes à Mediapart, sauront gré à M. Plenel de ne pas s’accrocher à son siège comme certains patrons de presse. Mais la perspective du retrait d’une telle figure – débatteur, essayiste, ancien directeur de la rédaction du Monde – soulève aussi des questions. « Edwy » reconnaît que sa personnalité – sa « moustache » – peut être « écrasante » et comprend la « responsabilité » qui est transmise à la rédaction. Mais se dit très optimiste sur l’émergence de figures pour prendre le relais. Il précise qu’il restera dans les parages, au conseil d’administration ou pour écrire à l’occasion.
En psychanalyse les termes «malade», «médecin», «remède» ne sont pas plus justes que les formules au passif qu'on adopte communément. On dit : «se faire psychanalyser». C'est un tort. Celui qui fait le vrai travail en analyse, c'est celui qui parle, le sujet analysant. Même s'il le fait de la manière suggérée par l'analyste qui lui indique comment procéder, et l'aide par ses interventions. Lui est aussi fournie une interprétation.
A première vue, elle semble donner un sens à ce que dit l'analysant. En réalité, l'interprétation est plus subtile, tendant à effacer le sens des choses dont souffre le sujet. Le but est de lui montrer à travers son propre récit que le symptôme, la maladie disons-le, n'a aucun rapport avec rien, qu'elle est privée de quelque sens que ce soit. Même si en apparence elle est réelle, elle n'existe pas.
Les voies par lesquelles procède cet acte de la parole réclament beaucoup de pratique et une infinie patience. La patience et la mesure sont les instruments de la psychanalyse. La technique consiste à savoir mesurer l'aide qu'on donne au sujet analysant. Par conséquent, la psychanalyse est difficile.
Ce chapitre me semble être particulièrement important
J'essaie de concilier ce texte avec ce texte pour enrichir notre partcipatif :
Difficile de dire Magnificat alors que tant d’hommes sont menacés, vilipendés et bafoués jusqu’à devoir quitter leur terre devenue inhospitalière.
Quitter, c’est pour les uns entrer dans une ère nouvelle et espérante alors que pour d’autres, c’est affronter des traversées à haut risque quand elles ne sont pas mortifères. Le Pape François s’insurge sur le fait que la Méditerranée devienne un vaste cimetière de par la globalisation de l’indifférence (cf. encyclique Laudato si).
L'ambition me semble être très ambicieuse mais il me semble que le jeu en vaut la chandelle
Edwy Plenel, dans les locaux de Mediapart, en avril 2012. Son retrait annoncé n'est pas sans poser des question dans la rédaction MARTIN BUREAU / AFP
« Sept ans, c’est l’âge de raison », sourit Edwy Plenel, le cofondateur de Mediapart, à propos du site né le 16 mars 2008. Une manière de dire que ce média d’investigation en ligne et payant, couronné d’un grand succès, arrive « à maturité ». Mais aussi d’esquisser un avenir dans lequel l’équipe actuelle prendra progressivement les commandes : Edwy Plenel a en effet annoncé il y a quelques semainesqu’il comptait transmettre son rôlede directeur de la publication vers 2017 ou 2018.
« Notre mission de fondateurs est de construire un média non endetté qui soit rentable grâce au journalisme et indépendant, car détenu par ses journalistes », résume M. Plenel. Sur le plan économique, la mission est accomplie, comme en attestent les résultats publiés jeudi 12 mars. Rentable depuis fin 2010, Mediapartaffiche une santé insolente dans le paysage morose de la presse. Il a, en 2014, dégagé 1,48 million d’euros de résultat et 900 000 euros en 2013, soit une hausse de 60 %. Pour un chiffre d’affaires de 8,8 millions d’euros en 2014 (+ 28 %).
Redressement fiscalLa quasi-totalité des revenus de Mediapartprovient des abonnements (9 euros par mois). Le site en revendique aujourd’hui 112 000, contre 107 000 fin 2014, année au cours de laquelle il a recruté 23 000 nouveaux lecteurs payants. « C’est d’autant plus satisfaisant queMediapart n’a pas eu en 2014 de très gros scoop, comme en 2013 avec l’affaire Cahuzac », note Marie-Hélène Smiejan, la directrice générale. Aquilino Morelle, le conseiller de François Hollande contraint à la démission par un article, un an après le ministre du budget, serait peut-être d’un autre avis, mais qu’importe, Mediapartest désormais installé dans le paysage.
Seule ombre au tableau : l’entreprise se voit toujours réclamer 4,7 millions d’euros par le fisc pour avoir appliqué, de 2008 à 2014, le taux de TVA de 2,1 % accordé aux médias imprimés. Cette somme couvre 3 millions d’euros de TVA, 1,2 million de pénalités et 500 000 euros qui viennent d’être exigés par l’administration pour 2013-2014.
Un redressement que Mediapart conteste fermement au nom de la« neutralité des supports », également défendue par la profession et le gouvernement. Le site espère ne pas avoir à piocher dans sa trésorerie de 3 millions d’euros.
« L’histoire de Mediapart est très exigeante »Côté indépendance, un pas a été franchi avec le rachat des 20 % du fonds Odyssée venture, repris par Mediapartet Ecofinance, l’un de ses investisseurs historiques. Ce dernier possède 18,27 %, un autre investisseur, Doxa, 27,75 %. Les fondateurs détiennent eux 36,71 % (soit une majorité si on y ajoute les parts de la société des amis, 14,65 %). Ils envisagent de transmettre leurs parts aux membres de l’équipe de Mediapart, explique Edwy Plenel, tout en précisant que la forme juridique et les modalités restent à définir.
L’organisation interne est également vouée à évoluer : passée de 27 à 55 salariés, la rédaction a demandé une réflexion sur le sujet et un conseiller extérieur a été missionné pour aider à trouver « de nouveaux modes de fonctionnement afin de bien coordonner, sans pour autant reproduire les structures lourdes avec une myriade de chefs », explique M. Plenel. Jusqu’ici, la rédaction a plutôt eu une organisation légère, comme un collectif de journalistes assez autonomes. Se pose par exemple la question de créer des pôles thématiques avec des chefs. Après sept années intenses, une certaine usure se fait sentir. « L’histoire de Mediapart est très exigeante, on travaille beaucoup », reconnaît M. Plenel.
« Edwy » restera dans les paragesRestera la question des dirigeants. Edwy Plenel avait déjà évoqué en interne sa volonté de passer la main mais l’équipe n’en a pris conscience que lorsqu’il l’a exposée dans Le Journal du Net, en décembre. « Nous sommes contre le cumul des mandats », s’amuse le journaliste, qui aura 65 ans en 2017, sensiblement le même âge que deux autres fondateurs, Marie-Hélène Smiejan et Laurent Mauduit (le quatrième, François Bonnet, directeur de la rédaction, est un peu plus jeune).
Les journalistes, dont certains ont fait leurs armes à Mediapart, sauront gré à M. Plenel de ne pas s’accrocher à son siège comme certains patrons de presse. Mais la perspective du retrait d’une telle figure – débatteur, essayiste, ancien directeur de la rédaction du Monde – soulève aussi des questions. « Edwy » reconnaît que sa personnalité – sa « moustache » –peut être « écrasante » et comprend la « responsabilité » qui est transmise à la rédaction. Mais se dit très optimiste sur l’émergence de figures pour prendre le relais. Il précise qu’il restera dans les parages, au conseil d’administration ou pour écrire à l’occasion.
Un « pure-player » d’anciens de « Libé »Un site d’information payant, Lesjours.fr, va être lancé dans les prochains mois par d’anciens journalistes de Libération qui ont quitté le quotidienà la faveur du rachat du journal par de nouveaux actionnaires dont le magnat des télécommunications, Patrick Drahi. Parmi eux, on trouve les « Garriberts » (Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts), couple qui couvrait le secteur des médias, mais aussi les rédacteurs Olivier Bertrand, Nicolas Cori, Sophian Fanen, Antoine Guiral et Charlotte Rotman.
Notre petite histoire retiendra, en tout cas, la figure de celui qui a été cheville ouvrière de la construction de cet espace public où nous nous retrouvons, nombreux, avec un intérêt chaque jour renouvelé, sur tant de sujets.
Salut amical, et merci, Edwy Plenel! J'espère pouvoir échanger encore avec vous...
Ce qu'il , aide oui plein d'ailes n'avait peut-être pas anticipé , c'est que ce qui fera vivre son journal et ses journalistes salariés , c'est la rue , le souffle des blogueurs gratuit , comme la mode copiée sur les filles de la rue , comme en Afrique céative où le stupéfiant système D. remplace les techniques les plus savantes et les plus sophie-stic-est ! C'est un risque de l'ordre de l'insupportable , la non maitrise , hors des codes usuels , peut-être ?
On va bien voir si, ce qui motive Edwy , est véritablement ce qu'il a posé comme principe fondateur ????????? La porte est ouverte s'il veut ! Je le crois profondemment bienveillant ...
Ce qu'il , aide oui plein d'ailes n'avait peut-être pas anticipé , c'est que ce qui fera vivre son journal et ses journalistes salariés , c'est la rue , le souffle des blogueurs gratuit
comme en Afrique créative où le stupéfiant système D. remplace les techniques les plus savantes et les plus sophie-stic-est ! C'est un risque de l'ordre de l'insupportable , la non maitrise , hors des codes usuels , peut-être ?
On va bien voir si, ce qui motive Edwy , est véritablement ce qu'il a posé comme principe fondateur ????????? La porte est ouverte s'il veut ! Je le crois profondément bienveillant ...
Un grand merci pour ce texte auquel je n'ai qu'une critique à formuler, celle de ne pas parler de notre combat contre Antoine Perraud que je tiens pour responsable, sans jamais avoir été contesté, de 80 % (loi de pareto oblige) https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Pareto_(probabilit%C3%A9s), de nos plaies (licenciement de Laurence Rizet, promesse de fabuleux destin en forme de fable pour Géraldine Delacroix, mauvais usage des mots (par exemple le mot club utilisé en lieu et place de participatif), tentative d'instaurer le pétainisme de la fonctionnalité "déconseiller" dans le Système d'Information Participatif Assisté Par Ordinateur Mediapart, mise en quarantaine de Véronique Hurtado, cette liste n'est pas exhaustive mais représente déjà beaucoup de tissage de liens qui libèrent pour Jean-Paul Bourgès, notre Unique Espérance pour que le participatif de Mediapart survive
Oui , je précise : je le pense profondément bienveillant, aide oui plein d'ailes , mais pas tout puissant ! Et victime de sa bienveillance ! Comme papa , non pas celui d' : il ne faut pas pas pas , non pas à pas , je le garde, biensûr !
Il me pardonnera cette régression analytique , en confidences trop intimes , ...............il a l'age de la retraite , et moi celui d'une vieille rombière à la madame Rosa, ça m'va !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je ne suis nullement la mer morte !... Je ne suis que la médite ère année ( béta thalassémie mineure ) ! On sait cette mer d'huile peut avoir des accès tempétueux imprévisibles ! Et alors ? j'veux pas mourir .........................................................................................................................................................................................................!!!!!
Bravo,Jean, pour ce texte qui remet les pendules à l'heure... Alors, il va falloir passer à la vitesse supérieure, à savoir, revenir au participatif, mais, en rémunérant à la pige, toutes celles et ceux qui postent des billets.
Bravo,Jean, pour ce texte qui remet les pendules à l'heure... Alors, il va falloir passer à la vitesse supérieure, à savoir, revenir au participatif, mais, en rémunérant à la pige, toutes celles et ceux qui postent des billets.
Un grand merci pour ce commentaire qui survient quelques heures avant mon rendez-vous avec Christophe Pommeray http://pommeray.blog.lemonde.fr/ et quelques heures après la "remise de pendule à l'heure" de Colette mon épouse qui a eu tant de joie de te recevoir en son huis vichyssois
Colette m'a repproché l'une des caractéristiques de mon caractère, à savoir une certaine "mexicanité", en l'occurence cette tendance à être "candil en la calle y oscuridada en la casa" (Lumière dans la rue et l'ombre de moi même à la maison)
Je suis passé aux aveux circonstanciés ej'essaie, dorénavant d'être, ou plutôt, de ocncourir à être ce couple https://fr.wikipedia.org/wiki/Couple_(physique) qui met en relation ton énergie et les forcesvives de Mediapart
Mon entretien avec Christophe Pommeray s'est déroulé au mieux
Il se trouve que Christophe est, aussi, abonné de Mediapart et qu'il a ses entrées
Sa militance est très similaure à la tienne puisqu'il poourchasse dans toute la presse toute utilisation abusive du terme "régime de Vichy" et a même classéles"bons élèves" (il y en a
ta psy est terminée, alors ? ... Je m'endors à totu bout de temps, phénomène auquel, Colette mon épouse, a donné un nom savant décrivant une pathologie pulmonaire provoquant le sommeil...
Mon premier sommeil, le plus facheux parce que je conduisai, a fait visiter à mon autoobile de location des panneau, miraculeusement placés sur un support flexible un peu comme les poteaux pour les compétions de ski en slalom...
La voiture n'a pas été abimée et je suis arrivé sans encombre au terme du voyage qui nous a permis, à Colette mon épouse et à moi, de rendre visite, début Juillet, à notre lointaine dernière demeure, qui est déjà celle de ses parents dans ce très beau cimetière de ce très beau village qu'est Saint-Bonnet le Chastel...
Notre deuxième voyage, le 28 août au matin a été plus convenu...
Arrivée sans encombre au restaurant chez Christiane à Founol puis dépôt de fleurs sur ce caveau "entouré" à gauche par la tomble de Hans-Dieter Bloch (1950 - 1994) et à droite, où résident mes 2 beaux-parents, la tombe d'un résitant du village...
Prise de conscience devant ce caveau familial de l'énormité d'avoir symbolisé Antoine Perraud sous les traits d'un loup et de Monsieur Seguin...
Dès potron minet, ce matin, demande à Véronique Hurtado et à tous les visiteurs de son billet de régir à cette "galégeade" déposé sur son billet...
Sinon, petit roupillon en compagnie de la famille auvergnate après avoir pu tirer un maximum de conversation du match contre Grenoble et de la saison de rugby de l'équipe de Clermont-Ferrand, la meilleure du monde, tu le sais déjà, d'autant plus qu'elle occupe la première place du top 14 !!!
Petit roupillon au dîner, en compagnie d'une autre partie de la famille de Colette résidant tout près de la salle de concert de secours dans la zone industrielle d'Ambert, petit roupillon durant le très bon concert "La création du monde de Haendel", petit roupillon le sur-lendemain durant la première symphonie de Beethoven pourtant très bien intreprétée ...
Pas de roupillon durant le voyage depuis une très, très belle chambre d'hôtes à Oliergues, jusqu'aux macarons de Massiac, retour à la Chaise Dieu par cette trèsbelle route qui pass par Brioude
Pas de roupillon sur la route assurant un maximum de virages, donc de beauté entre La Chaise Dieu et Vichy...
Auvergne > Chaise-Dieu 31/08/15 - 07h30 Festival de La Chaise-Dieu : le lyrisme tient tête à la schizophrénieLa Montagne
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Le « Soliste instrumental » aux dernières Victoires de la musique avec Alexandre Bloch - Vincent JOLFRE
Seul maître à bord, Edgar Moreau balaye avec un grand lyrisme, l’exigence technique et les grands tourments du Concerto pour violoncelle de Schumann, déclaration d’amour (fou) faite à l’instrument.
Alexandre Bloch, chef invité de l’Orchestre national de Lille, est généreux dans le geste et se passe de partition. Voilà une jolie promesse de liberté ; une obligation surtout pour aller chercher des musiciens « expérimentés » – diplomatie oblige – qui tentent de compenser par le métier, des attaques et des sonorités hasardeuses. De ce choc des énergies découle une Symphonie n° 1 de Beethoven aimable et une Symphonie n° 8 de Dvorak tout simplemement réjouissante (comme il se doit).
Pas de quoi attendrir Edgar Moreau qui, entre souveraineté et ardeur juvénile, affiche un profil idéal pour aborder le Concerto pour violoncelle en la mineur de Schumann. Il sort indemne des extrêmes tourments de l’œuvre, d’une schizophrénie qui s’affirme jusque dans l’enchaînement imperceptible des trois mouvements très différents. Autre opposition : le bouillonnement intérieur est maîtrisé contrairement aux relations extérieures avec une communication avec l’orchestre a minima. Seul maître à bord, le soliste reste impérial.
Pierre-Olivier Febvret
J'aimerais écrire aussi bien que Pierre-Olivier Febvret pour décrire aussi bine ce qeu nous avons ressenti, en ce Dimanche 30 août 2015 en cette abbatiale de la Chaise Dieu
Oui, si Josiane Blanc n'était pas en vacances je lui rapellerais ce que le serpent a utilisé com artifice sémantique, "comme com" , pout "tenter EVE " ::::::::::::::::::::::::::
_ Vous serez COM des dieux !
Autrement dit, en para-phrase, vous deviendrez des fac similé de dieux ! Ils étaient divins, du divin, de dieu ! Et le serpent verbeux et doucereux lui propose , comm avantage avantageux , de n'être plus qu'une image de dieu , com des photocopies du divin ! On sait que l'image est en inversion , dans la chambre, la caméra !.........quelle énorme promotion à l'envers , une fostocopie de vérité qui ne peut engager que la naïveté d'une enfant confiante !
Un homme qui ne croa plus en dieu, ne croit plus en lui même ni en sa force , peut être épuisé et à l'agonie d'avoir porté jusqu'au bout de sa force son féminin ?
Aujourd'hui, tout est changé , nous les femmes , nous sommes de tailles à mettre nos hommes sur nos épaules ! Et plus ils sont épuisés de nous avoir soutenues , en conditions les plus extrèmes , plus nous les porterons HAUT !
Aujourd'hui, tout est changé , nous les femmes , nous sommes de tailles à mettre nos hommes sur nos épaules ! Et plus ils sont épuisés de nous avoir soutenues , en conditions les plus extrèmes , plus nous les porterons HAUT !
Oui, si Josiane Blanc n'était pas en vacances je lui rapellerais ce que le serpent a utilisé com artifice sémantique, "comme com" , pout "tenter EVE "
::::::::::::::::::::::::::
_ Vous serez COM des dieux !
Autrement dit, en para-phrase, vous deviendrez des fac similé de dieux ! Ils étaient divins, du divin, de dieu ! Et le serpent verbeux et doucereux lui propose , comm avantage avantageux , de n'être plus qu'une image de dieu , com des photocopies du divin ! On sait que l'image est en inversion , dans la chambre, la caméra !.........quelle énorme promotion à l'envers , une fostocopie de vérité qui ne peut engager que la naïveté d'une enfant confiante !
Un homme qui ne croa plus en dieu, ne croit plus en lui même ni en sa force , peut être épuisé et à l'agonie d'avoir porté jusqu'au bout de sa force son féminin ?
Aujourd'hui, tout est changé , nous les femmes , nous sommes de tailles à mettre nos hommes sur nos épaules ! Et plus ils sont épuisés de nous avoir soutenues , en conditions les plus extrèmes , plus nous les porterons HAUT !
Un homme qui ne croa plus en dieu, ne croit plus en lui même ni en sa force , peut être épuisé et à l'agonie d'avoir porté jusqu'au bout de sa force son féminin ?
PositivismeLe terme positivisme désigne un ensemble de courants qui considère que seules l'analyse et la connaissance des faits vérifiés par l'expérience peuvent expliquer les phénomènes du monde. La certitude en est fournie exclusivement par l'expérience scientifique. Il rejette l'introspection, l'intuition et toute approche métaphysique pour expl…
Le terme positivisme désigne un ensemble de courants qui considère que seules l'analyse et la connaissance des faits vérifiés par l'expérience peuvent expliquer les phénomènes du monde. La certitude en est fournie exclusivement par l'expérience scientifique. Il rejette l'introspection, l'intuition et toute approche métaphysique pour expliquer la connaissance des phénomènes. Le positivisme est associé à une foi parfois presque religieuse dans le progrès scientifique et la formalisation mathématique du réel. Il a fortement marqué la plupart des domaines de la pensée occidentale du XIX siècle, exerçant une forte influence aussi bien sur l'empirisme logique que sur le marxisme.
La différence sémantique , vient de la définition du mot "connaître" , dans son acception biblique ! Et là, j'ajoute une subtilité qui échappera à la plus part : "naître ensemble" , sans décalage ! ça entre dans le phénomène mnésique de la re-connaissance , bien évidemment !
Mais , pardon, ce n'est pas une vérité scientifique ni déologie, je m'en excuse , c'est une épreuve et une preuve éprouvée d'amour !
Mais , pardon, ce n'est pas une vérité scientifique ni déologMais , pardon, ce n'est pas une vérité scientifique ni déologie, je m'en excuse , c'est une épreuve et une preuve éprouvée d'amour !Maisie, je m'en excuse , c'est une épreuve et une preuve éprouvée d'amour !
Ton pardon m'agrée plus que celui du pape, cet amputé de virilité qui serait bien capable ce grand connard, s'il croisait marie madeleine , cette p. de lui dire : vas, je ne te hais pas .............vas ! je te paronne !
Mais les pôvres figures cassées, sont toujours les mêmes , pôvre je suis , pôvre je reste ( même si 25 années de ma vie, en tant que médeicn, j'eus les moyens) quand d'ôtres sont à l'équilibre dans la balance des finances !
Peut-être que com l'amour n'a pas de prix, l'amour en héritage au pays des cigales, serait-ce mon lot ?????????? qui vivra verra ! Qué séra séra ! olé !
Je m'en fous ! Ce qui a toujours primé, pour moi, comme pour Michel Gueritte,dont je vais éplucher tous les billets, c'est le témoignage ! Com je-an, mon ami W , aussi .........................! Com jolly monsieur , Com..........................................tant et tant de voix justes du coeur éternel !
Vive les 3 troyens revenus d'une guerre aussi terrible que la guerre de Troyes !
Et je suis bien d'accord que MDP est un succès ! Les moustaches de Plenel, ne ressembleraient-elles pas à celles d'un certain CLOVIS, rencontré sur aubois' ? ne le saurai jamais , sans doute ?
Mariage inédit entre une tradition de journalisme ethique et les nouveaux modes d'expression anarchique de son lectorat.
Plenel a eu le grand mérite de le comprendre
Puis, un conseiller extérieur a été missionné pour aider à trouver « de nouveaux modes de fonctionnement afin de bien coordonner, sans pour autant reproduire les structures lourdes avec une myriade de chefs », explique M. Plenel.
Roms de La Courneuve les fontaines ont été coupés, les arrosoirs déclenchés à 4h du matin...
Jozsef FARKAS
France
1 sept. 2015 — Bonjour à tous, hier soir, des associations étaient venues aider pour le repas, et on avait cuisiné avec nos amis ivoiriens. Les photos sont la page Facebook qui a été lancée pour la mobilisation : « Bidonville : changeons de politique ». D’un coup on s’est retrouvés dans le noir total, l’éclairage public a été éteint dans la rue de la Mairie, et il n’y avait plus d’accès d’eau aux fontaines non plus. Par contre, les arrosoirs sont partis à 4h du matin, on était tous mouillés. Alors on ne sait pas si c’est le Maire qui a demandé ça, mais ça fait 3 coïncidences en même temps, ça fait beaucoup. C'est peut-être sa manière de nous dire qu'il ne veut pas de nous sur place... Nous non plus on ne veut pas être là, mais il a fait détruire nos maisons, alors qu'est-ce qu'on peut faire? Une ancienne de chez nous nous dit que Gilles Poux est pire que Ceausescu à l'époque! On cherche toujours des solutions pour se loger, la Mairie dit qu’elle ne peut rien faire. Il paraît que quand les gens appellent ils disent qu’il y a eu des relogements. C’est faux... quelques uns qui avaient eu 3 nuits d’hôtel, mais c’est fini, alors ils sont revenus avec nous. Pour l’instant, on n’a nulle part d’autre où aller. On a quand même une bonne nouvelle: des enfants ont pu commencer la rentrée, grâce aux dons de fournitures scolaires, ça c’est vraiment super ! D’autres ne sont pas scolarisés parce qu’ils n’ont pas la domiciliation que le Maire n’a jamais voulu leur donner, alors ils sont là la journée avec ceux qui ne travaillent pas, mais Les Enfants du Canal et ASET 93 aident pour qu’on puisse avoir accès aux droits, parce qu’en fait normalement la Préfecture est obligée de nous trouver un relogement. On commence des actions en justice. Quand des gens et des associations passent souvent, ça nous protège, et ça fait du bien au moral. On vous remercie vraiment de toute l’aide qui a été apportée pour les vêtements, tentes, nourriture, fournitures, eau... On sera encore là quelques temps, s’il vous plaît ne nous oubliez pas, passez nous voir ! Merci beaucoup et à bientôt ! Jozsef
De tout coeur avec vous ! Malheureusement, certains humains n'en ont pas et on ne peut pas greffer,ce genre là de coeur affectif !!! Ce genre de manifestations hostiles vont fleurir un peu partout , sans retenue et sans vergogne ! Il n'y a plus de filtre !
Il est imporant de faire ce que vous avez fait : en donner un témoignage précis !
Et c'est moi qui délire ! Quel bonheur d'avoir eu toujours les pieds sur terre , dans la triste gadoue de la chapelle st luc, et au contact des plus pôvres, des plus simples , des simplistes ! Ils sont bénis les pôvres , les autres , rien à foutre , ceux là de" ma-mon" , qui s'interrogent, s'il faut aider ou non , leur main nom tendue pour un cause qui est la leur, l'égo¨¨isme , ça les regarde , pas moi ! J'y suis pour rien ! ils sont com ils sont !
Le quartier « Chantereigne » est une zone d'une centaine d'hectares, à l'ouest de la rue Jean-Jaurès. Il se compose essentiellement d'habitats collectifs et d'équipements publics. Il est bordé au nord par le complexe sportif Lucien Pinet, l'espace vert des Prés de Lyon et la zone pavillonnaire des Hameaux Saint Luc.
À l'origine, en 1963, le Conseil municipal délibère sur la création d'une zone à urbaniser en priorité afin de permettre à la commune de renforcer son aménagement. L'objectif est de répondre aux besoins en logement d'une population grandissante, venue travailler dans l'importante zone industrielle où s'implantent diverses entreprises et usines. La construction du quartier Chantereigne a donc donné une physionomie nouvelle à la commune, impulsée par le développent économique des années 1970. Ce quartier regroupe aujourd'hui plus de la moitié de la population chapelaine.
Non, ce pays ne m'a pas vu naître , je suis née en sa-voie à Chambéry , mais la Chapelle st luc m'a vue à l'ouvrage ! Un temps si long qu'elle ne m'a pas oubliée, et je le sais ! Je la garde en mon coeur !
Le Pape François va intercéder auprès du Président François et du sénateur-maire François pour que la Chapelle Saint Luc soit rebaptisée La Chapelle Sainte Joëlle en l'honneur d'une doctoresse victime de l'ordre des docteurs, organe pétainiste par excellence....Le correspondant local du Pape, trop occupé a essayer de protéger la région qui produit les robes des moines, a négligé de porter assistance à l'ange qui s'était posé sur le toit de la maison de la radio de Pont Sainte Marie...
OUI, une DEMISSION éclaboussant le conseil de l'ordre , ça n'a rien d'un problème personnel, comme les instances l'ont dit !
NON, une démission politique pour "raisons éthiques", en cours de mandat électif, ça n'a rien d'un problème personnel, même si j'ai eu aussi à des problèmes personnels à gérer en cette tornade , NON, ce n'est pas une affaire personnelle , c'est une affaire d'état et la force de mon témoinage le confirme ! Je fus horrifiée de ce que je voyais arriver avec le cinéma sarko , sachant que via la gôche ce ne serait pas mieux !( comme je disais ailleurs, il faut s'appeler Dreyfus pour qu'on en parle ...en plus une hystérique qui s'en va seule guerroyer , mon dieu, la conne !........) Bref !
OUI, je crois davantage en des initiatives personnelles ,en des combats comme le tien , comme celui de Jean contre perraud, dont tant de témoignages écrits dénoncent des pratiques s'opposant frontalement à l'esprit qui a fondé MDP et qui a fait rêver ! Effectivement, je fus moi-même confrontée au problème , dans le 2ème article , portant le nom du premier : "malaise dans la sécularisation", j'ai vu disparaître 3 fois des commen taires ? , sur le 2 ème article ! Je signale, que personne ne peut faire disparaître sur son blog, des commentaires qui inconfortent ! On peut juste demander à l'auteur d'effacer son commentaire génant ! Les règles et les passes droit ne sont apparemment pas les mêmes pour tous ! Il est vraiment dommage qu'on n'ait pas pu retirer l'article "malaise dans la sécularisation", qui après les 26 commentaires auraient pu se titrer "malaise dans le retour du religeux institutionnel" ........................!
OUI, nous savons bien Monsieur jolly , tout ce que nous avons laissé d'idées et de témoignages sur auboisement correct , boîte à idées si utile au politique en panne et qui recopie , en nègre de service tout ce qui peut lui être utile, comme à la confession, et fait disparaître opportunemment le journal, avec l'informatique, c'est si simple ! Oui, nous savons bien combien il est utile et incontournable de se battre contre tous les mutileurs de parole !
J'ai quand même le sentiment, que face à l'impuissance en action , le déni ridicule , la lutte contre leurs mensonges et occutations diverses , se gagnera avec aisance , même si je doute , accrochés à leurs postes comme la misère au pôvre monde , qu'ils nous évitent le mur où ils nous mènent allègrement , ces ambitieux, ambicieusement dévoyés !
ILS ONT TOUS LES DROITS ET EN PROFITERONT JUSQU'A L'ULTIME !
OUI, nous savons bien Monsieur jolly , tout ce que nous avons laissé d'idées et de témoignages sur auboisement correct , boîte à idées si utile au politique en panne et qui recopie , en nègre de service tout ce qui peut lui être utile, comme à la confession, et fait disparaître opportunemment le journal, avec l'informatique, c'est si simple ! Oui, nous savons bien combien il est utile et incontournable de se battre contre tous les mutileurs de parole !
Très modestement, je commence mon "utile et incontournable se battre" par Antoine Perraud "notre mutileur de parole national"
Ce n'est pas de la tarte, mais souvent une pratique du participatif tous le jours plus enrichissant
Le correspondant local du Pape, trop occupé a essayer de protéger la région qui produit les robes des moines, a négligé de porter assistance à l'ange qui s'était posé sur le toit de la maison de la radio de Pont Sainte Marie...
YAPLUKA LUI DEMANDER !!!
Un discours anticapitaliste venu du Sud
Le pape contre le « fumier du diable »
En septembre, le chef de l’Eglise catholique doit visiter Cuba, puis les Etats-Unis, après avoir œuvré au rapprochement de ces deux pays. Ces deux dernières années, François, premier pape non européen depuis treize siècles, a décentré le regard de l’Eglise sur le monde. Promoteur d’une écologie « intégrale » socialement responsable, ce pasteur jésuite argentin vient aussi chatouiller les consciences aux Nations unies.
par Jean-Michel Dumay, septembre 2015
Aperçu
Devant un auditoire dense réuni au parc des expositions de Santa Cruz, la capitale économique de la Bolivie, un homme en blanc fustige « l’économie qui tue », « le capital érigé en idole », « l’ambition sans retenue de l’argent qui commande ». Ce 9 juillet, le chef de l’Eglise catholique s’adresse non seulement aux représentants de mouvements populaires et à l’Amérique latine, qui l’a vu naître, mais au monde, qu’il veut mobiliser pour mettre fin à cette « dictature subtile » aux relents de « fumier du diable ».
« Nous avons besoin d’un changement », proclame le pape François, avant d’inciter les jeunes, trois jours plus tard au Paraguay, à « mettre le bazar ». Dès 2013, au Brésil, il leur avait demandé « d’être des révolutionnaires, d’aller à contre-courant ». Au fil de ses voyages, l’évêque de Rome diffuse un discours de plus en plus musclé sur l’état du monde, sur sa dégradation environnementale et sociale, avec des mots très forts contre le néolibéralisme, le technocentrisme, bref, contre un système aux effets délétères : uniformisation des cultures et « mondialisation de l’indifférence ».
En juin, dans la même veine, François adressait à la communauté internationale une « invitation urgente à un nouveau dialogue sur la façon dont nous construisons l’avenir de la planète ». Dans cette encyclique sur l’écologie, Laudato si’ (« Loué sois-tu »), il appelle chacun, croyant ou non, à une révolution des comportements et dénonce un « système de relations commerciales et de propriété structurellement pervers ». Un texte « à la fois caustique et tendre », qui « devrait ébranler tous les lecteurs non pauvres », estime la New York Review of Books. En France, 100 000 exemplaires de ce petit manuel se sont envolés en six semaines.
Voici donc un pontife qui assure qu’un autre monde est possible, non pas au jour du Jugement dernier, mais ici-bas et maintenant. Ce pape superstar, dans la lignée médiatique de Jean Paul II (1978-2005), tranche et divise : canonisé par des figures écologistes et (...)
C'est une écholalie qui ne te rappelle pas quelque chose ou quelqu'un ? Quelle crédulité mon pôvre Jean ! Ce roi qui n' a pas encore reçu de royaume ......( les jésuites n'avaient pas accès au trône de st pierre , crucifié à l'envers sur une croix romaine , dont le temple "crétin" a été bati sur l'ancien temple de sybèle, si belle !) ! Il fallait , en urgence , pressé par le temps , changer toutes les règles de fonctionnement, pour pouvoir accéder à ce trône de toutes les temporalités !
Bref, je suis trop calée sur la question pour tomber dans ce trou ! Je te l'ai déjà dit mille fois : Tu vois Jé-sus, son maître en un tel accoutrement, et tout le reste ...........................! Sachant que l'essentiel est invisible pour les yeux, ça fait sourire , non ?
Bon, tu le verras demain, s'il le faut, en chantre de la mixité ! Trop débile ! TOUBAB , il est là , le voilà l'homme en blanc, comme chanterait bâche -moi cette imbécilité ! Mais à la fin annoncée du livre, c'est d'une femme qu'il s'agit : toubab toubib : c'est ma vie, je n'y peux rien, c'est elle qui m'a choisie ..................... Nobel, Nobel , l'amour est enfant de bonhème , en walof !
On n'y peut rien , nada ! Un peu comme le grand tableau à double persespective de DALI !
Que le film du papa en courageuse papamobile continue !
Tu le sais quand même que ce sont les mêmes qui ont fait le franquisme, qui ont installé la démocratie dans l'air du temps quand les temps ont semblé changer, les mêmes !
Le pape, "dieu sur terre" , a mis un temps HONTEUX à prendre la mesure des problèmes extrèmes de la planète ! Pour un éclairé retardé , surfant sur la nouveauté du jour, il peut toujours faire son cinosh ridicule,,, la foule adorera ! Qu'il ouvre ses comptes et montre son argent, ses trésors et ses possessions , Judas bien engraissé , l'apocalypse parle de la synagogue de satan des nicolaïtes ( les commerçants, les marchands, les églises du cristian-isme n'exisaient pas encore ), l'apocalyse aurait pu aussi parler des églises de tous les trafics dont l'embl^me papale est l'exemple le plus exemplaire , , toujours compromis en attitudes honteuses pendant les guerres, enfourchant "le cheval vert" , comme décrit dans le texte, à la mutation écologique de la dernière chance !
C'était un petit cheval blanc ....................lalala , trop drôle !
Il est inutile que je m'émotionne pour ces conneries, l'avenir très proche dira ! CINEMA INTERNATIONAL ! Que la foule adore le cirque, elle a été dressée à l'idolatrie !
MOI , je préfère MONTECRISTO, montez cri st haut !
Oui ! On a vu in live, la force des images aptes à mobiliser la sensiblerie, le sentimentalisme de ces foules sentimentales, effectivement, le créneau va porter !
!
Les mêmes qui ont provoqué tout ce chaos, les mêmes vont nous jouer le cinosh salvateur , le violon à la couchner et son sac de riz ! Et personne ne prononcera le mot, JUSTICE ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,le seul qui puisse être salvateur en écologie et réparateur, et en restauration de notre humanité, et en rafraichissement nécessaire des émotions naturelles d'indignations ( rien à voir avec la sensiblerie ) ! JUSTICE !
!
Laïcité et justice , les seuls combats qui ont de l'avenir !
J'espère que vous vous êtes bien régalés du joli spectacle d'hier soir sur la 13 !
Et cet odon leur Vallet servile , trop fort : Ô mais jp 2 , occupé à faire son show et sa guerre internationale , il ne savait , le pauvre le pourrisement de la pourriture de sa maison , ni son bras droit de raztinger , ils ne pouvaient pas savoir , le degré de délabrement psychiatrique de son église !
J'espère que chaque fois qu'ils vont prononcer la célèbre phrase : l'église , pure, sainte catholique , j'espère que leur langue va se dessécher dans leurs palaisss ! J'espère qu'ils ont eu le temps de se préparer un enterrement en habit, en grande pompes et en première classe !
Ah bon, ce pape , en courageuse papamobile (témoignant de la hauteur de sa foi) est contre le nucléaire civil ! Il ne peut pas en bon guerrier de dieu abandonner le nucléaire militaire , normal ! ! ! J'espère que ça rassure le hulot de la roulotte vaticanesque !
Ite missa est ,allez payer au pemple votre denier du culte, vous achèterez votre part de leur para-dis de truants patentés ! (mafieusement amicalement votre ) ! Allez donc vous faire chanoiniser, ça vous y assure une place bien placée !
La seule sainteté ( saint = à part ) que je revendique, c'est celle de ma colère !
Oui, quand une parole s'ouvre sur la perversion du message chrétien qu'il porte au monde, le pôvre, il ne peut pas cacher sa joie devant la transparence tant attendue et désirée ! C'est le pape qui ouvre la parole !..........trop drôle !
Le monde entier est témoin de ses appalaudissements devant le dévoilement des messes basses putrides de son état et qui vont jusqu'à la transgression maximale du meurtre !!! C'est tout à fait le message chrétien !
C'est qu'il est le premier témoin, de par son titre, sa fonction élective , oui, le premier témoin d'un Je -sus qui a toujours affirmé que c'est par le fric qu'on fait de droit la loi, surtout si ce fric pue l'odeur de sainteté vaticanesque, c'est bien ça !
Infamie et honte publique !
Quand l'abomination de la désolation, installée en lieux saints ..........il doit connaitre la fin de la phrase ! Si , c'est le B a Ba !
Bon, à coté de ces anathèmes visant une institution défaillante et pervertie , le salut étant individuel , il y a dans chaque famille des justes , c'est évident !
J'apprécie beaucoup que l'huma passe in first , un fim sur une assos de cathos motivés , ailleurs que sur les bancs de son église et juste dans ses propos, bien dans l'action réelle , et loin du cinosh des palabres verbeuses ! Ce sont les petites initiatives qui font les grandes rivières !
Les justes appartiennent à toutes les familles et à tous les clans, les pourris qui pensent que la fin justifient les moyens zossi, en "nombre énorme" d'une fraternité rassurante autant qu'illusoire et fictive !
Effectivement, la bonne nouvelle, l'évangile s'adresse à la personne , rien d'autre , un évangile ouvert, c'est ce qui doit apparaitre à l'autre qui est ton égal et ton frère, loin, bien loin d'un cinéma de puissance et de gloire qui ne peut que t'éloigner de l'autre , en imprimant sur lui ta supériorité ! à chacun de tenir sa juste place !
En ce matin pluvieux et morne, je pense aux 2 dernières pages que j'avais lues , émanant de René Girard, sur un vieux nouvel obs dont j'ai oublié la date !
Un torrent limpide et clair sur le désir, une petite merveille , un joyau !
Oui, en poursuivant le fil de mes cogitations , je dirais que l'institution du jour ferait ce qu'a fait l'institution d'hier et la même foule avec elle, de crier ensemble et de décider en manoeuvre évidente :
______"" libère-nous Bar abbas"" le fils du père, cet activiste politique !
Oui, à deux pas d'ici, c'est bien toujours la même histoire et l'église officielle mouillée jusqu'au cou dans des combats politiques idéologiques droitistes de la honte a tôt fait de reposer cette sombre injonction : libère nous bar abbas , le Je-sus, l'homme (de) Galilée , on n'en a rien à faire ...........et pourtant, elle tourne toujours ! Et c'est toujours la mort du juste !
La conséquence d'une politique corrompue qui ressemble bien à celle du temps d'avant et à sa pax romana qui serait réactualisée en pax americana hégémonique (!) a entrainé la destruction du temple et diaspora , il ne faut rien incriminer d'autre que le pourrissement politique et l'injustice !
La foi, ne peut en rien être un positionnement idéologique, ni un clan du politique !
Voilà, il en sera de même de tous ceux-là qui professent de la profession en chrétienté , sans défendre la justice à tous les titres possibles ! Ils iraient contre leurs juteux intérêts , donc, impensable ! Là où est ton trésor, là, aussi sera ton coeur !
Je me régale, à la lecture limpide d'Elisabeth Godfrid , dans l'huma du jour !
Quelle belle personne et quelles belles réflexions !
En face de ses écrits, d'artificielles paroles à la KHÂ :"n'ayez pas peur", semblent contrairement permissives et démobilisantes ! Effectivement que le danger écologique doit nous mobiliser tous ! Des folies ridiculement dogmatiques, contre des vérités scientifiques argumentées, ça ne tient pas debout , normal ! Même et surtout si ça nous dérange !
Je me régale, à la lecture limpide d'Elisabeth Godfrid , dans l'huma du jour !
Ce n'est pas "l'huma" du jour mais je me régale, aussi !!!
L’école, entre égalité en droits et droit d’égalité
Comment allier le commun et le singulier ?
Vendredi, 18 Septembre, 2015
L'Humanité
Par Élisabeth Godfrid, philosophe au CNRS. N’énonçant pas clairement à quoi elle se rapporte, « l’égalité » a un référent flottant.
« Des constatations faites dans de nombreuses écoles, il résulte que la “lecture courante” n’est pas encore complètement acquise à dix ans par la moyenne des élèves (de CM1). » Ce problème date-t-il d’une récente étude du Programme international pour le suivi des acquis des élèves (Pisa) ? Il semblerait. Pourtant, ce texte de Jean Zay, ministre de l’Éducation, a été écrit en 1938.
Si ce constat pouvait déjà être fait, les échecs actuels similaires ne peuvent être imputés seulement aux conséquences de l’option « 80 % au bac ». Avant même que ces années de « démocratisation » soient accusées par certains d’être responsables d’une dégradation scolaire, la terminologie employée manifestait largement que ce désir n’était pas partagé. Ainsi, dans la Revue des deux mondes du 1er juin 1939, Henri Boegner, professeur de philosophie, fustigeait « la révolution sociale » : « On aurait tort de croire qu’une civilisation soit menacée seulement par les invasions. Il y a des infiltrations qui préparent les invasions. » Danger prophétisé aussi en 2015 suscitant face à « l’intrus » les mêmes systèmes de défense. « Digues », « barrages », autant de métaphores contre « le flot qui monte », dénonçant une « submersion » reprise en leitmotiv dans les années soixante. « Un barrage pur et simple, destiné à préserver les facultés de l’invasion », prônera le conseiller du général de Gaulle. Qui est coupable ? « La masse ». La qualifiant sans ambiguïté, le Général déplora d’avoir à « dépenser une masse de crédits pour absorber une masse de crétins ».
Dès lors que des discours portent à ce point des affects de conjuration, il devient naïf de s’étonner que l’école de la République ait des difficultés dans ce qui pourtant la fonde : l’égalité en droits. Dans ces conditions, comment peut-elle être appliquée, répondant au souhait de Condorcet de réduire « le grand intervalle entre les droits que la loi reconnaît aux citoyens et les droits dont ils ont une jouissance réelle » ?
Mais les réformes parlent au nom de « l’égalité », lui ajoutant parfois « réelle », comme pour suppléer à l’indéterminé. Les uns la rejettent la disant « nivelante », les autres la revendiquent sous forme d’un « commun » donné à tous, certains le voyant comme obstacle aux différences, son acquisition pour d’autres perçue comme retard à la profession. Les diatribes continuent de prospérer sur la confusion entre égalité en droits et droit d’égalité. Cette confusion a une histoire émergeant à la Révolution française, venant infléchir son cours, persister dans la République et dans son école.
L’égalité en droits fut énoncée à l’article 1er de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen en 1789, le droit d’égalité déclaré dans celle de 1793, « Ces droits sont l’égalité, la liberté, la sûreté, la propriété. » Changement vecteur de tensions par une « égalité », idée de l’imagination, comme telle perçue par chacun différemment. En effet, si l’égalité en droits comporte un étalon précis auquel on peut se référer, des droits déclarés, le droit d’égalité est lui sans référence : égalité de quoi ? à quoi ? « Égal » veut-il dire identique, équivalent, même, pareil, semblable, similaire ? N’énonçant pas clairement à quoi elle se rapporte, « l’égalité » a un référent flottant. Flottement qui s’accentue à l’article 3 de 1793, « Tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi », énoncé peu après le projet de Robespierre, « L’égalité des droits est établie par la nature. » Une « nature » qui fait la loi, dimensions théologique et juridique alors mêlées. Sans référence partageable, cette « égalité » invoquée que chacun fait parler attise les affrontements, leurs effets dans la Terreur se catalysant mutuellement : « égalité » se faisant « égalisation », nivellement par ressentiment, mortifère déchaîné, « égaux » fratricides, la surenchère de mort comme preuve de légitimité.
Présumée trait d’union de la République, « l’égalité », par son flou sémantique ne permet pas de s’entendre, serait-ce sur un désaccord. L’invoquant toujours, les réactions aux réformes scolaires poursuivent la cacophonie. D’où les invectives de ceux qui dénoncent le nivellement par le bas, soit au nom d’un niveau requis d’exigence, soit au nom d’un élitisme soucieux de préserver un statut social, l’approbation de ceux qui réclament un « commun » au nom de la justice, et le cynisme de ceux qui veulent maintenir la qualité pour une part, mais visent pour l’autre part la rapidité de son « utilité ».
Étonnant retournement qui s’appuie sur l’échec d’une scolarité à l’issue du processus pour légitimer l’injuste en se dédouanant d’une responsabilité en amont. Ainsi, se targuant souvent d’une « compréhension » pour justifier l’apprentissage précoce parce que « l’enfant n’est pas fait pour les études », sans s’interroger si, à la maternelle et au primaire, l’école a vraiment donné le désir d’apprendre, soutenu l’élève là où l’inégalité en droits a atteint socialement sa famille et lui en retour.
Sans précoce soutien scolaire, le « commun » ne l’est plus, l’assistance pédagogique au collège toujours trop tardive, venant réparer après coup une fuite en avant. Alors que CP et CE1 auraient dû être l’objet de toutes les attentions : dédoubler les classes, vérifier pour chacun le niveau des fondamentaux, non pour culpabiliser en compétition aux autres mais pour encourager l’avancée par rapport à lui-même. L’école primaire est prise entre un discours qui la valorise et cet insidieux mépris de ceux qui, socialement, n’ont pas besoin qu’elle soit la chance d’un anti-destin. Celle-ci commence en ne confondant pas égalité en droits et droit d’égalité, la première seule permettant d’épanouir le semblable singulier qui à la fois ouvre au possible de vivre ensemble mais aussi à l’invention qui renouvelle, transmettant un « commun » pour tous, mais en même temps à l’écoute du singulier de chaque élève, sensible à son aube.
En alliant le commun et le singulier, la Res publica est lettre vivante, résistant à ceux qui, dit Hugo, « ôte(nt) à l’enfant l’aube et lui donne(nt) la nuit ». « Enseigner autrement » (A. Prost), ou la manière de cet amour de l’aube, cette fermeté bienveillante, attentive à ce qui vient à naître.
Je sais que tu as beaucoup de mal à supporter mes invectives et anathèmes , anna t'aime , en face de la papauté que je mets en cause avec virulence , à travers la personne de son pape , responsable et coupable de son institution et de son incurie ! S'il est l'homme de foi qu'il prétend, il doit intégrer parfaitement mes mises en causes aussi directes !
Il est dangereux , effectivement d'ouvrir le champ de l'éducation aux femmes , et l'obcurantisme constant de son institution à ce sujet s'y est bien employé , maintenant la femme en position d'éternelle mineure, comme elle n'a cessé de le faire ! Se vivre à part entière comme une partie incontournable de l'humanité, c'est un blasphème insupportable , se rangeant humblement ,comme il se doit, derrière une capacité mineure et minorée de parole qui déservirait ses orientations rétrogrades ! NON NON NON !
Ce sont quand même ceux-là qui m'ont invitée à leur pélerinage de pax cristi , dont à l'analyse , j'ai retenu tant de choses, bien comparables à celles de mon ami le pédiatre Jean Vuillaume , et à ses fulgurances indignées !
Quand , à 26 ans la porte de la pédopsy me fut fermée , pour cause de trop grande fragilité ,selon le pédosy pervers que j'ai croisé , je dirais non pas trop grande fragilité mais de grande sensitivité , j'ai pu comprendre à la suite de mes 25 ans d'activité en médecine générale , que ce lieu là, était un champ idéal de la pratique médicale, panoramique indispensable de tous les champ de visions possibles du quotidien ! Cela m'a permis de reviser , in live , le corps et son anatomie , terrain que je n'aurais jamais approfondi avec des notions livresques exclusives ! Un mal pour bien des biens !
Tu comprends encore mieux , pourquoi politiquement, il est si fondamental de liquider cette médecine générale, au profit de la toute puissance d'une médecine spécialisée et rentable , celle de la petite croix dans la petite case ! Ce ne sont en fait que des pratiques qui ne peuvent exister et être utiles, qu'en grande complicité et complémentarité !
Voilà, on n'en est malheureusement plus à la consensualité dans tous les azimuts , on en est à l'heure des JUSTES , des consciences personnelles , et des comptes justes, en somme !
Et l'enjeu en est crucial ou cruXial , si tu veux !
