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Sous « le prétexte fallacieux de l'intérêt général », un concert de Médine prévu à Saint-Quentin a été annulé arbitrairement par la municipalité. De nombreuses personnalités artistiques et politiques, des militants et des associations dénoncent « une atteinte grave à la liberté d'expression et un acte de censure politique inadmissible dans une démocratie. » Ils et elles demandent la reprogrammation du concert.
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« L’histoire nous impose d’agir. » Un large ensemble de personnalités, dont Médine, Hafsia Herzi, Edouard Louis, Akim Omiri, Annie Ernaux ou Ludivine Sagnier, salue l'initiative de la Flottille pour Gaza, et appelle à « sortir massivement dans les rues du pays pour exiger un cessez-le-feu immédiat, demander la reconnaissance de l’État de Palestine et la fin du génocide » le 14 juin prochain, à Paris, et partout en France.
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Alors que les États membres de l'ONU se préparent à se réunir le 17 juin pour la Conférence internationale de haut niveau sur le règlement pacifique de la question de Palestine, et que la France s'apprête à réunir certains acteurs le 13 juin, plus de 100 organisations de la société civile palestinienne, mais aussi internationales et en exil, réaffirment leurs revendications unitaires « en faveur d'une résolution juste dont la légitimité repose sur les droits inaliénables du peuple palestinien. »
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Il y a un an, forces de gauche, syndicats, associations, militants faisaient le choix du rassemblement pour former le Nouveau Front Populaire. Un an après, des organisations de jeunesse du NFP, appellent l’ensemble des partis politiques de gauche et écologistes à préserver et faire vivre cette union. « Comme tant de jeunes de notre génération, nous n'avons jamais eu d'autre choix que de faire barrage. Nous ne nous résignerons pas à cela toute notre vie. »
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Un ensemble de soignants en psychiatrie ou intervenants dans le secteur médico-social, confrontés à la souffrance qui naît du sentiment d’exclusion, de la négation du droit de l’autre à la vie réclame un « un cessez le feu immédiat » à Gaza et appelle à « tout mettre en œuvre pour l’arrêt de ce processus destructeur ».
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À l’heure où l’Union européenne vient d’être « mise en demeure pour manquement à son obligation d’agir face au risque avéré de génocide à Gaza » un large ensemble d'enseignant·es et chercheur·es, français·es et japonais·es, appelle à des décisions fortes du gouvernement français. « Quel niveau supérieur de ravage devra-t-on atteindre pour que la France emboîte le pas des pays ayant rejoint l’Afrique du Sud, dans sa saisine,de la Cour internationale de Justice ? »
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« Ce qui se passe à Gaza est insupportable. Nous ne comprenons plus notre silence collectif. » Un ensemble de personnalités - parmi lesquelles Philippe Descola, Claire Nouvian, Alain Damasio, Étienne Davodeau, Cédric Vilani, Rony Brauman, Nicolas Mathieu, Léonore Moncond'huy, Valérie Masson-Delmotte, Yann Arthus-Bertrand - accablées par ce qui se passe à Gaza, et par le sentiment d’impuissance collective, appellent à un rassemblement silencieux le 4 juin Esplanade Beaubourg, à Paris.
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« L’islamophobie n’est pas une opinion, c’est une violence, une violence sociale, médiatique, politique. Une violence physique, aussi, et qui tue ». Nassurdine Haidari, Louis-Georges Tin du CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires), ainsi que des soutiens issus du monde politique, universitaire et associatif, appellent à faire du 15 mars « une clameur, une œuvre collective, une mémoire en marche » en célébrant la Journée internationale contre l’islamophobie.
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« Quel monde peut tolérer qu’un peuple tout entier soit privé de ses enfants, pulvérisés dans leur sommeil ? » Un ensemble de « mères de France, unies et déterminées », ainsi que plus de 1000 signataires, appelle à une marche le dimanche 15 juin 2025, à 15 heures, devant l'Elysée, pour obtenir d'Emmanuel Macron « des actions concrètes et immédiates afin que cesse le massacre des enfants palestiniens. »
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Face à la « dérive techniciste et scientiste » du projet de référentiel de compétences du CSEN (Conseil scientifique de l'éducation nationale), un ensemble de membres de la communauté enseignante rappelle l'importance d'une vision réflexive et plurielle de la formation des enseignants : « Nous ne voulons pas d’une école où les professeurs seraient réduits à des opérateurs d’une machine à apprendre. »