
Lucas GAUTHERON
Étudiant en Physique ENS Paris-Saclay.
Annecy/Cachan - France
Sa biographie
Né en Haute-Savoie, je suis étudiant en Physique à l'ENS Paris-Saclay. Je suis particulièrement intéressé par l'astrophysique des particules et la cosmologie.
Je suis adhérent Attac et membre du Parti de Gauche.
Il y a quelques mois, je me suis joint aux militants de la France Insoumise.
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De 2005 à 2017 : qu'ont voté les gens du "oui", et les gens du "non" ?
1er tour 2017 et référendum de 2005
Il y a déjà 12 ans, les Français étaient amenés à se prononcer sur le référendum pour un traité constitutionnel de l'Union Européenne. Le "non" l'avait remporté avec près de 54 % des voix. Après Maastricht, la "France d'en bas" détenait sa revanche sur la "France d'en haut". En 2017, cette opposition est-elle encore pertinente ? Structure-t-elle toujours politiquement la société ? -
Détermination empirique de la probabilité d'un accident nucléaire "majeur"
Dans un précédent article, je proposais une estimation du nombre de personnes vivant à proximité d'une centrale nucléaire, afin d'évaluer la population concernée par un risque d'accident. Aujourd'hui, je vous propose une estimation empirique du risque d'accident "majeur" nucléaire. -
Combien de français vivent à proximité d'une centrale nucléaire ?
Faire le choix du nucléaire, c'est aussi accepter le risque d'un accident dont les conséquences pourraient être désastreuses. Il convient alors de quantifier l'ampleur de ce risque. Par exemple, on peut calculer la population résidant à proximité d'une centrale nucléaire. On trouve ainsi qu'en métropole, près de deux tiers des français vivent à moins de 100 km d'un réacteur. -
En ne donnant pas de consigne, Mélenchon m'incite-t-il à voter Macron ?
Le refus de Mélenchon d'exhorter ses électeurs à voter pour Macron au second tour lui vaut, depuis une semaine, un torrent de reproches virulents voire d'insultes absurdes. Éditorialistes, adversaires politiques et figures médiatiques condamnent l'attitude de la France Insoumise, souvent caricaturée en "ni-ni". Mais à y réfléchir, c'est bien leur stratégie contre le FN qui est contre-productive.