Un récit publié en 1907. Il est à l'origine de ce que l'on a appelé l'école littéraire de la Russie du Sud. Ilf et Petrov se rattachent à cette "école d'Odessa".
Voici le deuxième des Récits (ou plutôt : Mémoires) d’un chasseur, premier recueil publié en 1847, suivi d’autres formant un cycle publié en 1852 et complété ultérieurement par les Nouveaux Récits d’un chasseur, l'édition définitive voyant le jour en 1874. Ces récits contiennent une violente charge de Tourguéniev contre le servage, le droit seigneurial, qu’il détestait.
Un magnifique petit texte de 1894. La vie, la mort et les regrets. Tchékhov avait sans doute en tête cette nouvelle depuis un moment, et certains thèmes avaient déjà fait l’objet de récits antérieurs. Le récit n’attira guère l’attention de la critique. L’avocat et critique littéraire Alexandre Ouroussov écrivit tout de même à son sujet : « C’est une chose superbe, un pur chef-d’œuvre. »
Un exemple des courants de pensée, traversant parfois les classes, auxquels s'intéressait Tourguéniev. Ce qui devait le faire paraître bien vieillot aux yeux de la nouvelle génération montée sur la scène au tournant de 1860.
Pour revenir au début, voici enfin la préface, à la fois drôle et grave, des auteurs, sorte d'avertissement adressé par Ilf et Petrov à toute l'intelligentsia soviétique de l'époque.