1 – Accueillir et accompagner les exilés
ACCUEILLIR
La Maison des journalistes MDJ dispose, à Paris, d’un immeuble doté de 14 chambres. Celles-ci permettent d’accueillir des professionnels des médias1…
contraints de fuir leurs pays respectifs. Ils peuvent séjourner sur place le temps nécessaire à l’obtention d’un statut de réfugié.
ACCOMPAGNER
Les journalistes exilés qui sont abrités à la MDJ bénéficient d’un accompagnement social et culturel (démarches administratives, aides financières et matérielles, accès à des formations, enseignement du français, invitations à découvrir leur pays d’accueil via des visites à caractère culturel et professionnel)… Un suivi qui, si besoin, se poursuit au-delà de leur séjour à la MDJ (domiciliation, hébergement, mises en relations professionnelles,…)
2 – Participer au développement d’une information diversifiée
Les journalistes exilés disposent d’un média web à part entière le permettant de continuer à produire de l’information écrite et audiovisuelle avec le site de l’Oeil de la Maison des journalistes. Créé par la MDJ, ce média donne à chacun l’occasion de s’exprimer selon ses compétences et ses centres d’intérêt.
3 – Contribuer à la sensibilisation des jeunes aux défis d’une information libre
Forte des valeurs qu’elle défend, la MDJ a entrepris de réaliser des opérations de sensibilisation et d’éducation aux médias auprès de la jeunesse, opérations baptisées Renvoyé Spécial et Presse 19. Depuis de nombreuses années, la MDJ va ainsi à la rencontre des collégiens, lycéens, étudiants ou jeunes en difficulté avec l’appui des ministères de l’Education, de la Culture et de la Justice.
[Par Clara LE QUELLEC] Mercredi 19 octobre, la Maison des journalistes accueillait un groupe de jeunes et de professionnels de la Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ) du Val d’Oise.
[Par Romane SALAHUN] « Aujourd’hui, il y a une nécessité nationale de sensibilisation des jeunes. Il faut sensibiliser au fait que la liberté de la presse et la liberté d’expression ne sont jamais acquises ».
Quelques heures avant la remise du Prix Bayeux-Calvados des correspondants de guerre, samedi 8 octobre 2016, l’Afghanistan était à l’honneur. Pour l’édition numéro 23 de cet évènement, la Maison des journalistes a voulu redoubler les rencontres du weekend de ce rendez-vous phare de la profession, en proposant l’intervention de deux journalistes afghans réfugiés en France.
La douloureuse histoire de Zeynab, prisonnière kurde enceinte dans le couloir de la mort est un triste symbole de la condition des femmes en Iran. La vie de cette jeune femme n’a été qu’une succession d’injustices, d’oppressions patriarcales et de tragédies.
[Par Shiyar KHALEAL] Un groupe de jeunes Syriens indépendants a entamé une grève de la faim ouverte à Paris, pour condamner les bombardements du régime syrien et de la Russie sur les zones habitées par des civils à Alep et dans le reste des provinces.
[Par Hicham MANSOURI] Comment informer dans des pays totalitaires avec des dérives autoritaires et des dirigeants autocrates ? Tel a été le sujet traité, dimanche dernier, dans le cadre de l’évènement « Le Monde Festival ».
C'était il y a tout juste un an...[Par Léon KHAROMON] Le nouveau documentaire consacré au gynécologue congolais, Denis Mukwege est frappé d’interdiction en RDC.
[Par Jean-Jules LEMA LANDU] Le fils à papa, Ali Bongo, vient de gagner les élections « sur le fil » par 49,80 % contre 48,20 % récoltés par son rival, Jean Ping. Avec de violentes contestations à la clé. Comme ce fut le cas, en 2009, quand il accéda au pouvoir par les urnes, en remplacement de son père, Omar Bongo, décédé deux mois plutôt.
[Par Jean MATI] Depuis quelques mois, la ville de Beni, à l’Est de la République démocratique du Congo vit une situation d’insécurité dramatique. D’après les sources onusiennes, plusieurs personnes seraient mortes assassinées.