maxime.tallant

Paris - France

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  • Revivons-nous les années 30 ? Les leçons de la fin de la République de Weimar

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    Janvier 1933 : l’accession des nazis au pouvoir fut-elle une fatalité ? En retraçant l’étiologie de l’effondrement de Weimar, Johann Chapoutot invite à dépasser des poncifs trop longtemps enseignés et à scruter notre présent avec des comparaisons rigoureuses, afin d’éviter l’anachronisme tout en éclairant les fragilités démocratiques révélées par cette expérience historique.
  • Face à la menace : continuer d’enseigner

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    « L’extrême droite ne conquiert pas le pouvoir, on le lui donne ». Les mots de l’historien Johann Chapoutot sur les heures sombres de notre histoire sont tristement d’actualité. Face à la menace d’extrême droite, continuer d’enseigner l’histoire, c’est former des citoyens capables de défendre la démocratie lorsqu’elle vacille.
  • Comment peut-on sortir le travail de sa construction capitaliste ?

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    « Ils (les français) savent aussi que travailler c’est un devoir », déclarait Gabriel Attal le 17 février 2024. Pour notre Premier ministre, les choses ont le mérite d’être claires : au boulot ! Ces déclarations contraires à notre constitution (Article 23) sont pourtant performatives. Face à cette offensive, il est urgent de repenser le travail en le sortant de son carcan capitaliste.
  • « En Colombie, la face obscure de l’aide au développement »(1/2)

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    Gustavo Pedro va-t-il résorber les plaies béantes dont souffre la Colombie depuis les années 50 ? Outre la drogue et les fractures politiques évidentes, il existe des causes plus insidieuses au chaos colombien. Des causes sur lesquelles l’anthropologue Arturo Escobar a longtemps disserté, celles d’une modernité imposée par le prisme de projets d'aide « développement ».
  • L’électricité, un bien commun dans les mains du marché

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    Le 29 août dernier, le sénateur communiste Fabien Gay laisse exploser sa colère sur la libéralisation du marché de l’électricité : « Ce sont des requins et dès qu’ils peuvent se goinfrer, ils le font sur notre dos ! ». Cette scène témoigne d’une colère partagée par bon nombre de citoyens. Comment un bien commun se retrouve aux mains du marché ?