J’ai répondu à l’invitation de l’association EGAM à participer d’une délégation d’élu-es et militant-es associatifs de différents pays pour marquer notre volonté, malgré le silences de nos gouvernements, de faire la vérité sur le génocide perpétré contre les Tutsis.
Nous avons besoin de votre aide le 6 octobre prochain. Nous avons besoin de votre participation à la manifestation pour soutenir les habitants du quartier des Agnettes et la Municipalité qui refusent la destruction des 5 tours de la rue des Agnettes demandée par l’ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine). Nous exigeons au contraire les moyens de leur réhabilitation.
La situation est grave. Certes tout est possible dans ce monde en décomposition, le meilleur comme le pire. Mais le pire semble pour l’instant avoir plus de raison de gagner. La politique du gouvernement désespère le peuple, droitise le débat public, faisant perdre tous les repères à la gauche mais à aussi à une droite qui fait la course avec l’extrême droite.
L’actualité nationale montre que d’un côté la police nationale est en sous-effectif, qu’on lui retire ses missions de proximité, « qu’elle » fatigue au regard de tout ce que la communauté nationale lui demande. Elle paye lourdement les 12 500 suppressions de postes de fonctionnaires de police entre 2007 et 2012 par le gouvernement de droite mené par Nicolas Sarkozy.
Nous ne sommes pas de celles et ceux qui pensent que la lutte contre les inégalités territoriales et sociales passe d’abord par des changements de périmètre des lieux de décision. Cette illusion est soigneusement entretenue pour éviter les débats sur le contenu des politiques décidées et leurs conséquences. Nous voyons même un risque, à terme, d’affaiblissement des communes et des Territoires, de
Des photos de la manif du 9 avril contre loi El Khomri en ligne sur http://www.phototheque.org/categories.php?cat_id=1232 … Gratuites pour un usage militant
http://www.cerisesenligne.fr/article/?id=5258 L'hebdo "Cerises" m'a demandé de faire l'édito de son édition du 2 avril 2016.
Les cités populaires sont stigmatisées en permanence, jamais magnifiées.
La Ville de Gennevilliers apprend par la Préfecture des Hauts-de-Seine que 16 réfugiés évacués ce matin de Stalingrad à Paris ont été relogés dans l’Hôtel Formule 1 situé dans le quartier des Grésillons à Gennevilliers. Cela après qu’en décembre dernier, 42 « réfugiés » aient été relogés dans un foyer de notre ville (dans un quartier prioritaire),
18 maires, 4 présidents d'OPH, 10 conseillers régionaux, 13 conseillers départementaux appellent à manifester le 7 avril, à 18 h, devant le conseil régional d'Ile-de-France.