Le blog de richardthevenon

Faire défiler l'armée le 14 juillet, est de l'ordre de la plaisanterie de mauvais gout.

Choisir sa guerre préférée est difficile, mais indispensable.
 Ce qui nous manque, c ‘est un vrai salon des guerres possibles.

Se lancer dans des opérations militaires, quand on a déjà perdu la guerre économique et idéologique, c’est simplement hater sa fin.
 C’est ce que les Chinois disaient de l’expédition soviétique en Afghanistan, et ils doivent être ravis de la stratégie que les USA, mènent depuis 30 ans.

Avec le même principe de bureaucratisation à la clef, chaque espace tribal produisant, ses marqueurs,  ses mantras, son roman, ses menaces spécialisées, ses leaders et  ses oppositions. Comme parfois la tribu est trop restreinte, et ses limites trop floues, on assiste à des affirmations d'intersections d'ensembles, parfois tout à fait surréalistes.

Un spectre hante les nuits des politiciens, et des rédactions des médias qui nous les vendent: On va manquer de qualificatifs.
 Comme on a fait rentrer l’extrême connerie dans les parlements, il faut d’urgence définir une ultra connerie, pour trouver pire dehors.

L'Economie, n'est pas que la forme que prennent les productions et les échanges, c'est une idéologie. Et comme toutes les religions, son succès la transforme en superstition bureaucratisée.

La faute originelle de ce que les militants du repentir rétrospectif, appellent « France », c’est d’exister dans l’imaginaire collectif,  et tout particulièrement dans  le leur.
 La « France» est une superstition.

L’optimisation des revenus des Cartels actionnaires de l’Etat privatisé, impose des arbitrages parlementaires, entre leurs business plans. 
Ceux qui gagnent du fric en nous empoisonnant, doivent tenir compte des intérêts de ceux qui en gagnent en nous prolongeant.