Le mode littéraire, "fable", m'a toujours gonflé. Ca produit des titres aguicheurs, mais la suite ...
Mais la surprenante surprise, que déclame l'écologie, sur l'utilisation du Mox, dans les centrales, et la chaîne de trahisons et de perversités qui a en été l'histoire, mérite un petit effort.
Nul ne doute que ça fasse hurler les trumpistes et les fachos.
Mais au delà de ce petit plaisir, lequel de ces masques, vous inspire vraiment confiance ?
Bruxelles vient d’initier la phase complémentaire de la privatisation de l’Etat.
Après les appareils de production, et la saisie des communs, vient le tour des populations, qui doivent passer du statut de citoyen, à celui d’acteur économique, ou de client.
Le Crime plus ou moins Organisé, et Crime Economique Organisé, ont toujours fait bon ménage.
Le premier étant, pour le second, une indispensable source de Capitaux, pas chers et défiscalisés, et une réserve d’hommes de mains.
Le Ganelon traditionnel de la « Gauche », a repris son rôle titre, au plus grand soulagement de la gauche parlementaire, qui retrouve là, son excuse habituelle, justifiant qu’elle continue à courir après les strapontins parlementaires, en dépit d’un siècle de déconvenues.
Imposer 2% de taxes sur les patrimoines des riches, pour pouvoir leur en rendre 5.
Le dernier truc à la con, mis en avant par la gauche du Capitalisme, pour faire croire qu’elle est « de gauche » est une farce.
La promesse de privatisation progressive, et de la cession des des retraites et de la sécu aux assureurs, c’est la dernière planche de salut du Capitalisme en France.
Quand on utilise, le langage, et les ratios d'analyses internes du Capitalisme, ceux qu'il a inventé, pour justifier la transcendance de la prédation économique, on en arrive forcément à la conclusion, qu'il faut améliorer la prédation pour "s'en sortir".
L'argument le plus séduisant de l'extrême connerie, c'est la vengeance sociale.
Vengeance qu'elle promet implicitement et parfois explicitement, aux déclassés.
Le "Gouvernement" d'un Etat privatisé, est nommé par la holding des Cartels actionnaires de l'Etat.
Il est totalement invisible, et ne dépend pas des résultats des "élections".