shartemann

professeur de philosophie

Lille - France

Son blog
8 abonnés Le blog de shartemann

Ses billets de blog

Voir tous

  • Identifier les disparus - un avenir pour la Bosnie ?

    Par
    En Bosnie, rien ne semble inciter à l'optimisme. La division ethnique, oeuvre de la guerre, se maintient et s'aggrave. Comment dans cet Etat déchiré pourrait-il y avoir un avenir commun ? Le travail de l'ICMP, commission internationale indépendante chargée d'identifier les disparus, pourrait bien avoir un rôle central, non seulement humain, mais politique.

  • Tito, amor mijo - Marko Sosic et l'identité plurielle.

    Par
    En voyage aux confins des Balkans en vue d'une réflexion sur les liens entre identité et appartenance, entre identité individuelle et collective, nous avons rencontré Marko Sosic, écrivain slovène de Trieste. Son livre Tito, amor mijo raconte, par la voix d'un enfant, comment on devient soi dans le tourbillon des appartenances meurtries.

  • La primaire de gauche n'a pas eu lieu

    Par
    La gauche de gouvernement, la gauche du réel, la gauche sérieuse, sûre de son bon droit - et dans le mépris du vote populaire - refuse la victoire de Benoît Hamon. Au point de nous faire douter de sa réalité ?

  • La terreur et le burkini

    Par
    Les arrêtés anti-burkini, et plus encore leur validation par le tribunal administratif de Nice, semblent bien autoriser, au nom de la laïcité et de la lutte contre le terrorisme, un racisme anti-musulman qui s'institutionnalise. Son mécanisme apparaît dans les textes des arrêtés et dans les argumentaires des juges administratifs, qui ont rejeté les recours déposés par la LDH et le CCIF.

  • Les deux humanités

    Par
    Après les attentats de Nice, François Hollande a de nouveau appelé à l'intensification des frappes en Syrie et en Irak. La participation de la France à la coalition la rend responsable de leurs conséquences dramatiques. Près de Manbij, au moins 56 civils sont morts sous les bombardements. Hommes, femmes et enfants innocents, ils n'ont pourtant pas eu droit à la compassion ni à l'hommage public.