(Par JERÔME MEIZOZ)Au moment où le ministre Freysinger souhaite changer le nom de la «Semaine contre le racisme» pour «donner un message positif» en supprimant ce pénible terme, les Villes valaisannes organisatrices de l’événement décident de ne pas suivre le conseiller d’Etat UDC. «Ne pas nommer le racisme, c’est faire comme si cela n’existait pas», argumente-t-on dans le milieu des professionnels de l’intégration (Le Temps, 14.11.14). Rappelons que le 21 mars a été baptisée «Journée mondiale contre le racisme» par l’ONU.Petit détour du côté d’un monsieur offusqué voire choqué par l’anti-racisme ambiant…
(Par BEATRICE RIAND)Le refus réitéré de Madrid : il n’y aura pas d’accord avec BarceloneLe Président du gouvernement espagnol a donné aujourd’hui une conférence de presse, durant laquelle il réaffirme son refus à une quelconque négociation sur une consultation souverainiste en Catalogne, au nom de la Constitution, que par ailleurs il se refuse à réformer. Concernant la demande de dialogue initiée par le Président Artur Mas, à qui il reproche une déloyauté institutionnelle, Mariano Rajoy ne compte pas y donner suite : « On ne peut dialoguer sur ce qui est impossible».
La France est épatante.Voilà deux journalistes du Monde qui interrogent le secrétaire de l’Elysée qui leur explique qu’il a mangé avec Fillon qui se serait insurgé de l’affaire Bygmalion. Voilà que ces braves hommes ne savent plus exactement ce qui a été dit lors de ce repas. Et voilà la République, la droite, la gauche, qui s’enflamment en se balançant des mots peu aimables. Et voilà Sarko qui serait la victime d’une opération de décrédibilisafion de sa petite personne et qui dit vouloir éviter cette marée de boue. Quel foutage de gueule !
(Par BEATRICE RIAND)Pour quelle raison s’entêtent donc ainsi les Catalans ?Au-delà de la discrimination culturelle, au-delà de la catalanophobie, au-delà de la spoliation fiscale, au-delà d’un passé qui a vu l’Espagne les soumettre par la force, il y a un présent politique qui les insupporte.