
Le blog de Tony de Paris

À propos du blog
Socialement privilégié, j’ai accès à des milieux variés comme le monde associatif, éducatif, judiciaire politique ou institutionnel, ce qui me permet d’observer certaines réalités souvent méconnues du1…
grand public.
Assoiffé de vérité et de justice, j’avance avec des principes solides et une parole libre, toujours guidé par l’humilité.
J’essaie simplement, avec les moyens modestes dont je dispose, de partager ce que je vois, ce que j’entends, et ce que certains préfèrent ignorer.
Je ne prétends pas tout savoir, ni opposer systématiquement le juste à l’injuste. Je refuse les simplifications manichéennes.
Mon intention n’est pas d’accuser, mais d’interroger, de témoigner, et, lorsque cela s’impose, de dénoncer.
Ce blog est un espace d’expression personnelle, de veille et d’alerte.
Une démarche sincère et imparfaite, pour tenter d’éclairer certaines zones d’ombre et inviter à la réflexion.
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Protection de l’enfance en Alsace : un système rentable ?
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Protection de l’enfance : une machine à placer, un marché à milliards
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ARSEA : opacité et contrôle total sur les fonds et décisions sociales
L’ARSEA, pilier du secteur social en Alsace, gère des dizaines d’établissements et des millions d’euros de fonds publics. Pluseurs rapports officiels pointent des dérives : gestion désordonnée, absence de contrôle, pratiques opaques et position dominante sur l’ensemble de la chaîne de décision sociale et éducative. -
Informations préoccupantes : Un écran de fumée idéal pour l’ARSEA
Une information préoccupante peut bouleverser une famille, avant même d’avoir été vérifiée. Explorons les mécanismes qui transforment un signalement, parfois mensonger, souvent anonyme en procédure judiciaire lourde. Un système où l’ARSEA, en Alsace, tire un profit opaque de cette mécanique de suspicion. -
Alsace : Quand le monopole de l'ARSEA dénature la justice des enfants
En Alsace, la protection de l’enfance repose sur un système centralisé dominé par l’ARSEA. Cet article éclaire les dérives d’un modèle où évaluation, mesures et représentation des enfants sont concentrées dans une seule structure, compromettant l’équilibre judiciaire, les droits des familles et l’intérêt réel des enfants.