Par Dave Hodges, le 19 mai 2013L’histoire démontre que la descente infernale vers la guerre est précédée d’une justification, qu’elle soit réelle ou fabriquée. Comme avec tous les tyrans, si une justification pour le conflit qui approche ne se présente pas, le despote, dans ce cas Obama, en fabriquera une de toutes pièces. Et la façon d’atteindre cet objectif est atteint passe par la création d’une opération sous faux drapeau.Ne vous trompez pas, c’est ce qui attend les USA. Dans la deuxième partie de cette série, il a été démontré que la Réserve Fédérale a besoin de faire main basse sur les champs pétrolifères iraniens afin de sauver le pétrodollar. Ceci veut dire que nous serons en guerre avec la Russie et probablement aussi la Chine et l’Inde qui achètent du pétrole iranien avec de l’or.Les USA ne peuvent pas tout simplement mettre des soldats sur le terrain en Syrie et en Iran et s’attendre à avoir un soutien populaire en ayant pris le risque d’engagement dans une guerre catastrophique. Cette administration a plutôt besoin d’un seuil de justification que la majorité des moutruches états-uniennes appuieront.
Par Dave Hodges, le 17 mai 2013Mark Twain avait dit naguère de l’histoire qu’elle ne se répétait pas forcément, en notant bien toutefois qu’elle a fortement tendance à faire des rimes.Richard Nixon ne parvint pas à survivre à un coup direct contre son administration, avec le scandale du Watergate. A contrario, Obama fait face à cinq scandales qui éclipsent le Watergate en termes de criminalité, d’abus de pouvoir, de détournement d’office et carrément de trahison. Les dommages infligés au peuple des USA par le syndicat criminel qui occupe la Maison Blanche sont, dans l’histoire, sans comparaison. Pourtant, Obama va passer au travers et cet article va décrire comment Obama est une version de ce siècle du célèbre expert de l’évasion, Harry Houdini.
Par Sandrine Bélier, le 5 juin 2013La Neutralité du Net est un enjeu de société"- Tu as vu la dernière vidéo sur YouTube ? - Non, mon fournisseur d’accès m’a bloqué la connexion. Trop gourmand en bande pasante… - Ah… - Mais sinon, envoie moi le lien Deezer. - Impossible, il n’est pas accessible depuis mon forfait. Seuls les abonnés Orange y ont accès en écoute libre. Resterait bien les Inrocks mais depuis que Free a bloqué l’accès aux pubs, ils ont dû fermé leur site, après le retrait de leurs annonceurs. - Et les sites de partage ? - Tu n’y penses pas. Ca fait déjà bien longtemps que les majors ont obtenu leur fermeture. - Et ton mail, il fonctionne ? Je t’envoie la vidéo. - Oui, mais seuls les mails de mon opérateur acceptent désormais des fichiers vidéo pour lui permettre un archivage de mes échanges en cas de litige. Officiellement, ils avaient décidé ça pour renforcer la lutte contre la cybercriminalité mais là ça bloque tout. (…)"
Le 27 février 2012, Wikileaks a lancé la publication des « Global Intelligence Files » (petits papiers du renseignement mondial), plus de 5 millions d’emails de la société de renseignement privée Stratfor, basée au Texas. Les emails couvrent une période allant de juillet 2004 à fin décembre 2011. Ils révèlent le fonctionnement interne d’une entreprise qui annonce être un service de renseignement privé, mais qui fournit des services de renseignement confidentiels à de grandes entreprises, comme Dow Chemical Corporation à Bhopal (Inde), Lokheed Martin, Northrop Grumman, Raytheon, ainsi qu’à des agences gouvernementales, telles que le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS), les « Marines » et l’Agence du renseignement pour la défense (DIA).Eric Schmidt, président du conseil d’administration de Google – Photo Reuters/Fabian BimmerPar Yazan al-Saadi, le 14 mars 2012Certains des cadres les plus haut placés de Google, dont le président du conseil d’administration et l’un des donateurs majeurs de la campagne présidentielle de Barack Obama Eric Schmidt, ont informé la firme de renseignements Stratfor sur les activités et les communications internes de Google sur le sujet du "changement de régime" au Moyen-Orient, selon des emails de Stratfor publiés par WikiLeaks et obtenus par al-Akhbar. L’autre source citée était le directeur de Google pour la sécurité Marty Lev.Les échanges se sont surtout focalisés sur les actions de Jared Cohen, actuellement directeur de Google Ideas, un "think/do tank" étiqueté comme véhicule de la diffusion de la démocratie libérale à l’états-unienne. Cohen a aussi fait partie de l’équipe de prospective politique du Secrétaire d’État US (ministre des affaires étrangères, ndt) et été conseiller pour Condoleeza Rice et Hillary Clinton.Les échanges d’emails, commençant en février 2011, suggèrent que les cadres de Google redoutaient que Cohen ait été en train de coordonner ses actes avec la Maison Blanche et avaient parfois raccourci sa mission, de peur qu’il ne prenne trop de risques. Le vice-président de Stratfor pour le contre-terrorisme Fred Burton, qui semblait opposé au rôle dissimulé et allégué à Google dans l’excitation des soulèvements, décrit Cohen comme un "électron libre" dont le meurtre ou l’enlèvement "pourraient être la meilleure chose qui puisse arriver" à Google.
Par Julian Assange, le 1 juin 2013"Le Nouvel Âge Digital" est un schéma directeur étonnamment clair et provocateur pour l’impérialisme technocratique, de la main de deux de ses plus ardents marabouts, Eric Schmidt et Jared Cohen, qui construisent une nouvelle définition de la puissance globale des USA au 21è siècle. Cette définition reflète la fusion toujours plus proche entre le State Department et la Silicon Valley, telle que personnifiée par Eric Schmidt, le directeur exécutif de Google, et M. Cohen, un ancien conseiller de Condoleeza Rice et de Hillary Clinton, aujourd’hui le nouveau patron de Google Ideas.Les auteurs se sont rencontrés dans le Bagdad occupé de 2009, où le livre fut conçu. Se promenant à travers les ruines, le tandem fut tout excité par l’idée que la technologie consumériste était en train de transformer une société anéantie par l’occupation militaire US. Ils ont décidé que l’industrie de haute technologie pouvait être un outil puissant de la politique étrangère états-unienne.Le livre fait la propagande du rôle de la technologie dans le remodelage des peuples du monde et de ses nations en ersatz de la superpuissance dominante mondiale, qu’ils veuillent se faire remodeler ou non. La prose est laconique, l’argument sûr de lui et la sagesse – vulgaire. Mais ce n’est pas un livre destiné à être lu. C’est une déclaration majeure destinée à susciter des alliances.
Par Valentin Vasilescu, le 31 mai 2013Plusieurs milliers de réservistes se sont inscrits dans le corps des volontaires russo-ukrainiens qui se rendra en Syrie pour combattre les extrémistes islamiques, nous informe la revue Novii Region.L’initiateur de la création de ce corps de volontaires est un vétéran du service de renseignements ukrainien, le lieutenant-colonel Sergueï Razoumovski. Son appel à rejoindre ce détachement militaire et qui a été publié dans les médias, a eu un certain écho et a attiré beaucoup de bénévoles de la Fédération de Russie, de Biélorussie, de Moldavie et d’Ukraine.Cette initiative du colonel Razoumovski est née avec le bombardement de l’armée syrienne par l’armée israélienne et a été enflammé par la levée de l’embargo de l’UE sur les livraisons d’armes à l’opposition syrienne, et le franchissement de la frontière entre la Turquie et la Syrie par le sénateur républicain John McCain pour rencontrer les terroristes d’al-Qaeda qui sont sous le commandement de Salim Idris, le chef de l’armée syrienne libre.
Email-ID 1210665Date 2010-09-21 21:38:37From burton@stratfor.comTo secure@stratfor.comBrennan is behind the witch hunts of investigative journalists learning information from inside the beltway sources.Note -- There is specific tasker from the WH to go after anyone printing materials negative to the Obama agenda (oh my.) Even the FBI is shocked. The Wonder Boys must be in meltdown mode...
RT, le 14 mai 2013Après que des câbles diplomatiques US publiés par WikiLeaks ont démontré que le State Department US faisait du lobbying à travers le monde pour le compte de Monsanto et d’autres entreprises similaires, un nouveau rapport basé sur ces câbles expose le pistonnage de Washington pour l’industrie biotechnologique distinctement et en détail.Les révélations de WikiLeaks d’août 2011 ont montré que les diplomates états-uniens avaient demandé un financement pour envoyer des lobbyistes professionnels pour l’industrie de la biotechnologie pour entretenir un dialogue avec des politiciens et officiels de l’agriculture dans des "pays cibles" de zones comme l’Afrique ou l’Amérique Latine, où les cultures agricoles transgéniques n’étaient pas encore une réalité, ainsi que dans certains pays européens qui ont résisté à ces pratiques controversées.