Le blog de agendicoum

Faute d'avoir oublié l'hygiène la plus élémentaire, la France se réveille ce matin avec la gueule de bois. Imaginez si nous étions passés en même temps en heure d'été! Les bureaux de vote ouvrant à six heures normales, avant l'aube! De quoi décourager la démocratie pour longtemps.

https://www.rtl.fr/actu/politique/coronavirus-une-petition-demande-le-report-des-elections-municipales-7800256756

Hier 13 mars, c'était la journée mondiale du sommeil. Pneumologues et Chronobiologues savent et répètent que les maladies respiratoires, comme certainement la COVID19, sont aggravées par le manque de sommeil. Cela va être encore plus à craindre dans 15 jours avec le passage à l'heure d'été.

Que va dire Emmanuel Macron? Le coronavirus est dans notre maison. Pour qu'il sorte, il vaudrait mieux laisser les fenêtres ouvertes.

Wuhan et ses médecins épargnent l'épidémie au reste du monde. Cette maladie a foutu une sainte trouille partout. Or, elle n'est vraiment grave que dans la province chinoise de Hubei Il serait temps de se calmer, de réfléchir et de tirer des enseignements de cette fausse alerte à l'échelle mondiale.

Encore et encore les particules fines! Elles gênent l'Open d'Australie et tuent en Chine.

Open d'Australie Selon franceinfo de cet après-midi 18 janvier, Roger Federer a beaucoup parlé incendies et pollution, et assez peu de tennis. Il semble confiant, mais les fumées invisibles reviennent.

Jaunes ou blanches, les balles de tennis noircissent dans la poussière des particules fines....Faudra-t-il en changer à chaque jeu pour les voir à la télé? On dit que les personnes fragiles doivent rester chez elles, mais à ce stade (de tennis), tout le monde est fragile, à commencer par les jeunes athlètes de haut niveau Même si les nouvelles se veulent rassurantes...

Pouvoir dormir et se réveiller à volonté, de Napoléon à nos jours, n'est pas donné à tout le monde. Le manque de sommeil, avec tous ses inconvénients, est de plus en plus flagrant. Et la fatigue est mauvaise conseillère.

La crise pétrolière qui a commencé en 1971, et imposé des mesures draconiennes de restrictions en 1973, serait à la base de la crise de la vache folle. Les farines animales, sans danger auparavant, sont devenues de plus en plus chargées en prions pathogènes, à cause d'une extraction "à l'économie" mise en place en Angleterre.