Ma vérité sur l'autisme. De JL Robert, chez Dunod .
(J'en avais déja parlé, mais je recommence à l'occasion de sa réedition.
Un ouvrage écrit par un praticien de terrain, un praticien du VRAI terrain, celui des institutions.
Par alain Gillis
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Souvent les enseignants, sollicités de manière autoritaire par les ministres successifs, cèdent à la pression et renoncent à se plaindre d'une tâche impossible : assurer la prise en charge des enfants présentant de graves troubles du comportement.
La dissolution de «l'autisme» dans les cachettes de l'intégration et des institutions oubliettes, ça commence à faire. Il faut redonner une formation de soignant aux personnels des IME qui accueillent des enfants particulièrement troublés. Il faut absolument, un jour, accepter la réalité, la critiquer et la changer autant qu'il est possible par un accueil digne, adapté.
Dans la rubrique réservée à la psychiatrie il est bien difficile d'être lu. Or, ce sujet des amphétamines distribués aux enfants est tellement GROS que … ça passe ! Je publie ici et je dois fermer aux commentaires, hélas. On peut me parler en pv.
Par alain Gillis
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L'usage des tablettes pour les jeunes enfants commence a montrer ses dégats sur la communication. C'était logiquement prévisible, à condition de réfléchir avant de chanter les merveilleux effets d'éveil de tous les machins qui rendent nos bambins malins. Et plus gravement : surdoués.
Une émission récente, calme et renseignée, lundi 9 janvier sur France Culture, nous apprend que le nombre d’autistes s’est trouvé multiplié par 10 en quelques décennies. Un pour 100 des français sont maintenant autistes. Et un sud coréen sur 40...
Par alain Gillis
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L'analyse existentielle est absente des débats sur les bonnes manières à adopter dans la pratique de la psychiatrie ? Ce serait pourtant comme un apport d'intelligence éventuellement capable de démoder les oppositions frontales.
(Interrogation théorique, loin des tracas administratifs, on s'en excuse)
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