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Gaza serait divisée en une « zone verte » sous contrôle israélo-américain et une « zone rouge » qui serait laissée en ruines, et où survivent la majorité des Palestiniens déplacés. L'adoption par le Conseil de sécurité de ce projet colonial, aux contours flous et sans contrôle de l'ONU ni voix au chapitre pour les Palestiniens, est une réédition honteuse du plan de partage de la Palestine de 1947.
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Alors que les médias occidentaux, Mediapart compris, ont été prompts à colporter les récits de viols perpétrés par le Hamas le 7 octobre, aujourd'hui démentis, ils sont discrets quant aux viols systématiques perpétrés par l'occupant contre les otages palestiniens. La raison de ce silence est manifeste : ces crimes sont si ignobles qu'ils révèlent le visage hideux de l'occupant et de ses soutiens.
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Cet article de 1983 de Roald Dahl, auteur de classiques pour la jeunesse, reste brûlant d'actualité. Il rappelle que l'occupant israélien n'a pas attendu 2023 pour émuler le nazisme. N'en déplaise à Edwy Plenel & Mediapart, le génocide à Gaza n'est pas une "guerre de riposte au 7 octobre", mais un nettoyage ethnique consubstantiel au sionisme, parachevant la Nakba de 1948 et la Naksa de 1967.
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Les vols d’organes pratiqués par Israël sur des Palestiniens assassinés par l'armée d'occupation, objet d'un article traduit ci-dessous, sont documentés depuis plusieurs décennies. Pourtant, alors que les récents échanges de prisonniers et de dépouilles ont remis ce sujet au cœur de l’actualité, les rédactions occidentales persistent dans leur silence assourdissant, y compris Mediapart ici scruté.
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Euro-Med Monitor dénonce l’état effroyable des corps de Palestiniens restitués par Israël (marques de torture, exécutions sommaires, mutilations) et exige une enquête internationale sur ces crimes constitutifs de génocide. La majorité des victimes restent non identifiées, leurs familles plongées dans l’angoisse et délaissées par le silence complice des institutions et médias, y compris Mediapart.
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Les 20 Israéliens récemment libérés ont fait la Une des médias émus aux larmes. Ils ne cessent d'être considérés comme des « otages », même s'agissant de soldats de l'armée génocidaire. Quant aux Palestiniens, simples statistiques, ils sont qualifiés de « détenus » ou de « prisonniers », même s'agissant de civils kidnappés pour servir de monnaie d'échange. Cet article renverse les biais dominants.
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Depuis 2 ans Gaza incarne une épopée de bravoure face à une campagne d'extermination et d'anéantissement inouïe. Bombardements d’hôpitaux, d’écoles et de camps de réfugiés, assassinat d'enfants, famine de masse: jamais le monde n'avait assisté à un tel déchainement de barbarie. Face à un ennemi impitoyable, un peuple assiégé, privé de tout, reste debout, animé par la foi et la justice de sa cause.
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Dans cet entretien consacré au plan Trump pour Gaza, mort-né, Norman Finkelstein, fils de survivants d'Auschwitz et autorité mondiale sur la Palestine, récuse la propagande pro-israélienne qui fait du 7 octobre le point de départ du génocide en cours. L’action du Hamas, à laquelle se sont jointes toutes les factions de la résistance palestinienne, n’a constitué qu'un prétexte providentiel...
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Pourquoi, après 30 ans de complot occidental visant à éradiquer lentement la Palestine, depuis longtemps reconnue par le reste du monde, plusieurs capitales occidentales ont-elles choisi aujourd’hui de rompre avec les États-Unis et de reconnaître l’État palestinien ? C'est parce que nous sommes au stade final du génocide, et que cette reconnaissance n'est qu'un alibi hypocrite et sans incidence.
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Ce courrier a été adressé par mon avocat aux instances de la CGT pour dénoncer mon exclusion discriminatoire de la CGT Éduc’action 63, confirmée par l’UNSEN-CGT. Il proposait une issue honorable pour toutes les parties, mais il est resté lettre morte. Certains préjugés sont-ils trop enracinés pour être confrontés sans mettre en péril la cohésion de tout le syndicat ?