A vous, sœurs et frères cosmiques, la musique est notre sanctuaire et il nous appartient de le préserver. Le souffle n’est pas coupé, il est seulement en sommeil. Il nous emportera de nouveau, tel un mistral, lorsque la beauté que l’on préserve avec tant de soin et d’attention, pourra de nouveau nous éblouir.
Ce set musical exprime tout autant un cri de colère, une profonde affliction, un hommage au peuple, à la culture et aux musiques africaines-américaines qu'un appel à TOU.TE.S à contribuer à la puissance révolutionnaire que ravive et renforce une nouvelle exécution filmée.
Comme une fenêtre qui s’ouvrirait sur la vie, celle qui n’a cessé, dans les mers, les forêts, les plaines et montagnes, la vie qui continue là où l’anthropocène n’a cessé de la mettre à mal depuis des décennies, je vous propose d’ouvrir grand les oreilles pour aller au-dehors écouter le monde.
Dans cet épisode 24 du podcast, je cause d'un collectif artistique et label né dans le Detroit post-motown des années 70 dont l'écho musical et le message politique résonnent dans notre présent : Tribe
Je vous propose quelques recommandations au rayon bibliothèque de la Causerie Musicale : une revue critique qui fait honneur à l’esthétique de la réception, un travail sur l'histoire de la modernité sonore et un essai autour de la musicienne Karen Carpenter et des États-Unis réactionnaires des années 70.
Dans ce nouvel épisode du podcast, il est question d'un chef d’œuvre du cinéma documentaire, de transes, de Hay Mohammadi, quartier de Casablanca, de poésie de combat et d'un groupe phare de la scène musicale marocaine, Nass El Ghiwane.
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