Le territoire français compte plus de 250 anciennes mines d’uranium réparties sur 27 départements. Si la dernière a fermé il y a maintenant 20 ans, la contamination radioactive de l’environnement reste préoccupante autour de très nombreux sites.
Des articles toujours plus nombreux réécrivent l’histoire du « MENSONGE DE TCHERNOBYL », le réduisant à une simple caricature qu’ils s’empressent ensuite de dénoncer. La mauvaise foi de certains auteurs est patente mais leur influence grandit. Il est temps de faire face au révisionnisme ambiant : le mensonge de Tchernobyl n’est pas un mythe construit pas des adeptes de la théorie du complot.
Le territoire français compte plus de 250 anciennes mines d’uranium réparties sur 27 départements. Si la dernière a fermé il y a maintenant 20 ans, la contamination radioactive de l’environnement reste préoccupante autour de très nombreux sites.
Refusez le projet de dérèglementation du gouvernement : les matériaux contaminés issus du démantèlement des installations nucléaires doivent rester dans des circuits contrôlés. Un environnement sain doit rester la norme. Notre santé n’est pas une variable d’ajustement pour les problèmes de gestion de l’industrie nucléaire. Informez-vous et signez l’appel de la CRIIRAD.
Dans la ville d’Arlit, au Niger, la mine d’uranium exploitée par la COMINAK, filiale d’ORANO (anciennement AREVA), a fermé le 31 mars 2021.
La CRIIRAD et son partenaire nigérien l’ONG AGHIRIN’MAN dénoncent l’héritage laissé par la COMINAK et les conditions de cette fermeture.
Dans son rapport du 9 mars 2021, l'UNSCEAR affirme que l'augmentation de l'incidence des cancers de la thyroïde chez les enfants de Fukushima n'est pas le résultat d'une exposition aux rayonnements. La CRIIRAD s'élève contre ces conclusions catégoriques, peu scientifiques et opposées à celles de plusieurs études indépendantes qu’il lui paraît important aujourd’hui de diffuser.
Le règlement européen qui fixe les niveaux maximums de césium radioactif a expiré le 31 mars 2020 et le texte de remplacement n’est toujours pas prêt.
La CRIIRAD s’inquiète des délais et déplore le manque d’ambition du projet qui vient d’être soumis pour avis au Parlement européen.
(April 23rd). On the eve of the commemoration of the 34th year after the Chernobyl disaster, and almost 3 weeks after the beginning of the fires in Ukraine, in territories heavily contaminated by the fallout that occurred in 1986, the CRIIRAD wishes to answer the main questions it has received. This document supplements or summarizes points raised in previous press releases
A la veille de la commémoration de la 34eme année après la catastrophe de Tchernobyl, et presque 3 semaines après le début des incendies en Ukraine, dans des territoires très contaminés par les retombées de 1986, la CRIIRAD souhaite répondre aux principales questions qu’elle a reçues. Le présent document complète ou résume des points abordés dans les communiqués précédents.