Le Centre tricontinental est un centre d’étude, de publication et de formation sur le développement, les rapports Nord-Sud, les enjeux de la mondialisation et les mouvements sociaux en Afrique, Asie et Amérique latine
Louvain-la-Neuve - Belgique
Le Centre tricontinental est un centre d’étude, de publication et de formation sur le développement, les rapports Nord-Sud, les enjeux de la mondialisation et les mouvements sociaux en Afrique, Asie et1…
Amérique latine.
Le CETRI a pour objectif de faire entendre des points de vue du Sud et de contribuer à une réflexion critique sur les conceptions et pratiques dominantes du développement à l’heure de la mondialisation néolibérale.
Il s’attache en particulier à la compréhension du rôle des acteurs sociaux et politiques en lutte pour la reconnaissance des droits sociaux, politiques, culturels et écologiques au Sud.
Organisation non gouvernementale fondée en 1976 et basée à Louvain-la-Neuve (Belgique), le CETRI se consacre à quatre types d’activités : étude, publication, formation et appui-conseil.
Les principaux thèmes abordés dans les travaux du CETRI ces dernières années ont trait au rôle des mouvements sociaux dans les pays du Sud, à la dynamique du mouvement altermondialiste, aux logiques et conséquences de l’aide au développement et des ajustements structurels, à l’évolution des démocraties et à la portée des alternatives sociales et politiques au Sud.
S'abonner au bulletin d'information bimensuel du CETRI : https://www.cetri.be/newsletter?lang=fr
S'abonner à la revue Alternatives Sud : https://www.cetri.be/-alternatives-sud-151
« Le sens dessus dessous de l’avenir du travail vu du Sud », un éditorial signé par Cédric Leterme, extrait de l’ouvrage L’avenir du travail vu du Sud - Critique de la « quatrième révolution industrielle paru en juin 2019 aux éditions Syllepse.
Amaya Coppens Zamora est libre ! Un soulagement énorme pour ses proches. Étudiante belgo-nicaraguayenne emprisonnée depuis le 10 septembre 2018 pour avoir manifesté contre les politiques du gouvernement du Nicaragua, elle a enfin été libérée par un régime aux abois ce 11 juin, elle et plusieurs dizaines de prisonniers politiques.
Le 31 mai, la Cour des comptes a remis le deuxième volet d’un audit accablant sur la dilapidation du fond PetroCaribe, fruit d’un accord avec le Venezuela pour le développement du pays.
Quoi qu’en disent ses gentils promoteurs, quoi qu’en pensent ses heureux bénéficiaires, l’analyse du tourisme international en tant que rapport social de domination apparaît comme l’une des approches les plus fécondes pour rendre compte de la réalité des flux, des échanges et des impacts qui le constituent.
La « révolution numérique » et ses impacts sur le travail font l’objet d’une attention croissante qui reste toutefois essentiellement concentrée dans les pays du Nord. Or, ces évolutions concernent également les pays du Sud, mais selon des modalités spécifiques qui appellent des analyses et des réactions particulières.
Cette année, l’Organisation Internationale du Travail (OIT) fête ses 100 ans d’existence. L’occasion, entre autres, de clôturer une « initiative sur l’avenir du travail » lancée dès 2015 par son actuel Directeur général, le britannique Guy Ryder.
Le projet minier Casaya, dans le département de Chuquisaca, en Bolivie, est un révélateur des contradictions entre le discours gouvernemental et la pratique. Les enjeux et résistances qu’il soulève jettent une lumière crue sur la situation tant locale que nationale.
Dans une tribune d’Alternatives humanitaires, l’écrivain et humanitaire Pierre Brunel s’interrogeait sur ce qui avait peut-être été perdu d’essentiel dans la transformation de l’humanitaire en « industrie mondialisée ». Ce texte, sensible et intelligent, est symptomatique de certains des paradoxes et du hors-champ de l’humanitaire.
La production de canne à sucre en Colombie, enjeu économique majeur, est révélatrice de conditions de travail proches de l’esclavage et d’un certain modèle de développement.