Le blog de Christelle Nadia Fotso

Il y a des histoires qui lorsqu'elles font partie de l'Histoire même si le sujet est l'Afrique ne peuvent pas être laissées derrière et effacées en pensant qu'elles n'obligent pas ceux qu'elles ont fait et grandi.

Une réponse inspirée de Mongo Beti à la question du ministre camerounais Célestine Ketcha Courtes «il y avait quoi avant » en parlant non pas de développement économique mais de régression morale des sociétés camerounaises. Un croyance aveugle au néolibéralisme économique tout prônant un conservatisme autoritariste.

Parce que les hommes sont des femmes comme les autres particulièrement lorsqu’ils sont aussi grands qu’Ambroise Kom et Gaston-Paul Effa, je leur souhaite à tous deux par cette petite lettre une bonne journée internationale des femmes.

Lettre publique au Secrétaire Général de la Présidence du Cameroun Ferdinand Ngoh Ngoh pour le mettre en cause dans les affaires Victor Fotso suite à une plainte en France pour captation, spoliation d’héritage et discrimination et des demandes de mesures de protection.

Une réponse personnelle mais politique à la journaliste, activiste et politique camerounaise Henriette Ekwe qui affirme que le leader de l’opposition au Cameroun n’est pas un homme politique mais surtout que son parti est celui de « suprémacistes bamilékés.» En lui parlant de Victor Fotso et du combat pour son honneur, la démonstration est faite que l’affirmation de Madame Ekwe est anhistorique.

Décryptage du fait divers Hervé Bopda par une histoire qui montre que ce n’est pas un fait divers mais l’illustration d’une prédation systémique qui va jusqu’au sommet de l’État du Cameroun et l’entourage de la Première dame Chantal Biya.

Lettre ouverte à Edwy Plenel sur une affaire d’État camerounaise et française concernant Victor Fotso qui n’intéresse personne parce qu’elle est africaine et parasitée par un vaudeville. Une affaire Bettencourt bis qui montre que les milliardaires en France et ailleurs ne sont égaux ni devant la loi ni devant la presse.