Blog suivi par 38 abonnés

Le blog de Cinéma du réel

Festival international du film documentaire
Paris - France
À propos du blog
Depuis sa création, il y a 47 ans, Cinéma du réel s’est imposé comme le festival de référence du cinéma documentaire en France. Attentif à la diversité des écritures, des formes et des idées, il rassemble1 un public large, fidèle, attentif et curieux. Dans une démarche prospective, Cinéma du réel rend compte de la création documentaire contemporaine, de ses évolutions et de ses expérimentations en dialogue avec la mémoire du genre. Découvreur de jeunes talents, Cinéma du réel contribue depuis plus de 40 ans à révéler sur la scène internationale de nombreux réalisateurs et rassemble les cinéastes qui font le cinéma documentaire contemporain en France et à l’étranger.
  • Carrousel (Marina Meijer)

    Par
    À Rotterdam, un centre a pour mission d’aider les jeunes hommes issus de milieux difficiles à se construire un avenir. Endurcis par leur passé et soutenus par des mentors à la patience inépuisable, ils s’efforcent de trouver un chemin vers la société « normale ».
  • Qui est là ? (Souad Kettani)

    Par
    Dans une banlieue quelconque, à l’écart de la capitale, se dessine un autre monde en marge de ce monde-ci, monde des djinns qui appartiennent à la nuit, en lien avec une lointaine origine.
  • Responsabilidad Empresarial (Jonathan Perel)

    Par
    Ce film se base sur un livre qui n’a jamais été imprimé : le rapport du Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme, qui rassemble pour la première fois 25 études de cas permettant de démontrer la responsabilité des entreprises dans la répression qu’ont subie leurs ouvriers.
  • The Two Sights (Joshua Bonnetta)

    Par
    Les Hébrides extérieures ont longtemps eu pour réputation d’être habitées par des devins ayant le don de double vue, c’est-à-dire la capacité de prédire l’avenir. Ce film analyse la relation entre un lieu et les récits relatifs à ce lieu, ainsi que les influences qu’ils peuvent exercer l’un sur l’autre.
  • Nails In My Brain (Hilal Baydarov)

    Par
    Les errances d’un jeune homme dans les ruines de ce qui est – peut-être – la maison de son enfance, où chaque porte délabrée ouvre sur le passé. Quelle qu’ait pu être sa volonté de changer, il retourne toujours vers les mêmes endroits, les mêmes questions, les mêmes visages, les mêmes souvenirs – les mêmes clous plantés dans son cerveau.
  • Aswang (Alix Ayn Arumpac)

    Par
    En l’espace de deux ans, plus de 20 000 hommes, femmes et enfants sont tués aux Philippines au cours de la guerre contre la drogue menée par Duterte. Un petit garçon naît dans ce système cruel qu’un homme essaie de combattre.
  • Filmer l’oiseau

    Par | 1 recommandé
    Cinéaste du paysage, cela fait plusieurs années que Jacques Perconte pense à la possibilité du drone, observant ce que l’on fait avec, pour envisager de l’utiliser dans un projet en cours. Cette conversation était destinée à se prolonger lors de la matinale de ParisDOC, « Le drone est ce que l’on en fait ».
  • Notre image... mais quelle image ?

    Par | 1 recommandé
    Fatma Chérif apporte une première réponse à la question «D’où programme-t-on ?», qui était le thème de l’un des Feedback pro de ParisDOC cette année, durant lequel des responsables de festival de différents pays auraient rendu comte de ce qui les guidaient dans le choix des films – poids des questions intimes, esthétiques, culturelles, géographiques ou politiques.
  • Le pouvoir et le réel

    Par
    Notre programmation « Face-à-face avec le pouvoir » s’interrogeait sur la manière de faire de chaque cinéaste confronté à l’homme de pouvoir. Et prenait au mot la formule de Jacques Rivette, « le cinéaste juge ce qu’il montre et est jugé par la façon dont il le montre ». Claudine Bories et Patrice Chagnard donnent leur vision du rapport réel/pouvoir.
  • Mosco Lévi Boucault. Au-delà des apparences

    Par | 6 recommandés
    Nous aurions dû parcourir l’œuvre de Mosco Boucault en 7 films emblématiques. Le cinéma du Mosco Boucault nous permet de questionner l’expérience documentaire et sa particularité. Il nous amène à découvrir un cinéma non pas fait pour apprivoiser l’altérité mais pour nous faire accepter l’étrangeté irréductible du monde ; et nous inviter à le regarder en face sans en être aveuglé.