Commencé sur le thème de la Chine, ce blog est désormais centré sur Bali, où je viens de poser mon sac. Une autre aventure commence, que j'ai le plaisir de vous faire partager. Bali et l'Indonésie, la1…
Malaisie, Singapour...
C’est une table simple, longue (183 cm) étroite (37, 8 cm), haute (84, 3 cm) dite « Qiaotouan everted table ». Son plateau est d’un seul tenant et ses bords légèrement relevés, comme le veut la tradition des meubles Ming, l’avant-dernière dynastie des empereurs de Chine (1368-1644).
C’est un grand et gros livre d’allure moderne, une petite surprise pour le vieil amoureux que je suis des éditions SKIRA. Il me souvenait d’ouvrages de style très classique, un rien compassé. Celui-ci vous interpelle, vous intrigue, avec sur la tranche son très gros titre, SHORT CUTS, orange sur fond noir, Skira écrit en minuscule minuscule, pas de nom d’auteur.
Commençons par la fin. Extérieur nuit. Océan pacifique couleur encre et plomb. Pas une ride sur l’onde. Résonnent au loin le tambour et les cris des pagayeurs d’un dragon boat s’exerçant pour les éliminatoires qui se dérouleront ici même, demain, sur la plan d’eau de Stanley.
Alexis Kouzmine- Karavaïeff, qui dirige IFA Gallery (Shanghaï) et Zane Mellupe ont eu l’excellente idée d’organiser, lors de la Art Basel / Hong Kong Art Fair qui se tient actuellement au HK Convention and Exhibition Centre, une exposition sur le thème de la censure dans l’art, « sensor ship 0.46% ».
Il sont sept. Sept Mao, grandeur nature. Sept, comme Les Sept Mercenaires. Imposants, épais, armés d’un long fusil que prolonge une baïonnette d’autant plus menaçante qu’elle est vraie.
French, comme French May, French Gourmay, French films, French Day, Flying Frenchman… Il fut un temps pas si lointain – les années 1960-70 – où HK ne comptait que deux restaurants français: “Le trou normand” côté Kowloon, et “La Seine” sur Victoria.