-
Si on se réfère à une certaine constante des sondages pour les élections Européennes, en ajoutant les voix des deux listes « drivées » par la famille Le Pen (Jordan Bardella et Marion Maréchal-Le Pen) plus une ou deux autres qui sont marginales, on frôlerait les 40 %, dont 32 % pour le seul candidat RN. Certes, ce n’est pas une élection pour élire la représentation nationale, mais tout de même...
-
Alors que la dette de la France frôle les 3200 milliards d’euros et que sa charge atteint 48 milliards d’euros en 2024. Le temps des économies budgétaires s’impose donc, mais ce n’est pas les restrictions imposés aux chômeurs, retraités ou à la santé qui résoudront le problème , mais plutôt en cherchant d’autres pistes, notamment du coté de certaines dépenses institutionnelles de fonctionnement.
-
Pour Emmanuel Macron, la Russie n’est pas «une grande puissance» et pour un possible envoi de soldats en Ukraine il a réaffirmé «Peut-être qu'à un moment donné, je ne le souhaite pas, n'en prendrai pas l'initiative, il faudra avoir des opérations sur le terrain, quelles qu'elles soient, pour contrer les forces russes». Déclarations que sont loin de partager les autres pays de l’UE.
-
Aux élections européennes du 9 juin 2024, nous auront à choisir entre deux options fondamentalement opposées. Soit, nous choisissons celle d’une Europe forte, unie, rassemblée autour d’une politique commune ambitieuse pour répondre aux défis de notre temps et aux éventuels risques de guerre avec la Russie. Soit, celle de coopérations d’opportunité par Etat, sans aucune stratégie commune
-
Ne nous trompons pas de direction, c’est bien l’armée Russe qui a envahi et occupe une partie de l’Ukraine et non l’inverse. Dès lors trois attitudes étaient possible : la soutenir,comme l’ont fait les pays de l’Otan, ne rien faire, comme certain(e)s le suggéraient, ou justifier l’intervention Russe en rendant responsable l’Ukraine de l’échec des accords de Minsk, c’est à dire ne rien faire.
-
La France est toujours la première puissance agricole de l'Union européenne, avec un chiffre d'affaires de 81,6 milliards d'euros en 2021. Sauf qu’avec les besoins d’une population croissante et la disparition constante d’exploitations agricoles, elle importe plus qu'elle n'exporte pour ses fruits, ses poissons et ses légumes. Dès lors, comment reconquérir sa totale souveraineté alimentaire ?
-
Alors que de façon aussi surprenante qu’inutile, Emmanuel Macron a décidé d’engager France vers une politique nataliste, dans l’urgence, face à la colère des agriculteurs, il ordonne au premier ministre Gabriel Attal de s’employer à les «calmer» en cédant partiellement sur leurs principales revendications. Certaines ont d’ailleurs été actées par un calendrier et des dates sont déjà fixées.
-
Rachida Dati, transfuge du parti LR, et maire du 7e arrondissement de Paris qui qualifiait de traîtres les personnalités PS et LR ayant rejoint Emmanuel Macron au début de son premier quinquennat, vient à son tour de les imiter avec le récent remaniement ministériel. Si on y ajoute la bien curieuse maladresse de la ministre Amélie Oudéa-Castéra, il y a de quoi semer la zizanie en la Macronie.
-
En ce début d’année 2024 période de vœux, s’il en ait un que l’on peut faire aux Ukrainien(ne)s, c’est bien celui de faire cesser la guerre que mène la Russie à ce pays. L’Invasion Russe en Ukraine et l’escalade de la guerre qu’elle poursuit est inadmissible de la part d’un pays membre du conseil de sécurité de l’ONU. Dès lors, un soutien indéfectible à l’Ukraine ne peut que s’imposer.
-
Alors que Gérald Darmanin avait indiqué en commission que le texte voté le 19/12/2023 comporte des mesures « manifestement et clairement contraires à la Constitution », après le vote, Emmanuel Macron saisi le conseil Constitutionnel pour « statuer sur la conformité de tout ou partie de cette loi ». Ce qui de quoi étonner, car le rôle du parlement est de faire des lois conforme à la constitution.