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Pour clôturer l'année avant l’été, continuons les échanges sur les désertions et les bifurcations, lancé par les étudiant·es d'agro avec qui on organise cette rando. Faisons-le en mouvement, en vélo, en étapes, et vers une lutte collective : la lutte de la Tête dans le sable à Saint-Colomban contre l’extension de carrières de sable.
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« Si nous nous positionnons aux côtés des Lentillères et de la ZEC, c’est pour ce qu’elles augurent de vraies bifurcations, loin des récits biaisés d’une transformation urbaine encore incapable de s’émanciper des logiques délétères de croissance, d’extractivisme et de marchandisation. » Des architectes, urbanistes, batisseurs, batisseuses publient une tribune de soutien aux habitants et habitantes du Quartier libre des Lentillères à Dijon.
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Nous appelons à des chantiers de « Reprises des savoirs » pour reprendre et repriser ce que les institutions dédiées à la (re)production et la transmission des savoirs ont malmené. Les chantiers seront à la fois un acte de résistance, d’élaboration collective, de partage et d’attention à la diversité des savoirs terrestres.
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ZAD ! 22 mai, 10h-18h + soirée de soutien
PORTES GRANDES OUVERTES
DU BOCAGE LIBRE DE NOTRE-DAME-DES-LANDES
Une vingtaine de collectifs vous accueilleront pour vous faire découvrir les lieux et vous présenter leurs activités. Au programme selon les endroits : visite de jardins ou d’ateliers, balades, discussions, dégustations... Et préférez le vélo, car la zad c’est grand !
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Plusieurs médias nationaux ont publié ces derniers mois différents articles sur la culture de la charrette, les abus, pressions dans les écoles d'architecture et la désillusion des jeunes professionnels. Il nous a semblé que les symptômes mis en lumière sont ceux d’un malaise bien plus profond, sur le sens et le rôle politique de celles et ceux qui conçoivent et construisent les territoires.
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Un témoignage des débuts de l'occupation de la ZAD du triangle à Gonesse, qui explore les dimensions sensibles, médiatique et politique d'une telle occupation.
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Le 17 janvier 2018, le premier ministre annonçait l’abandon du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Cette victoire, rendue possible grâce à l'implication de milliers de personnes qui ont su composer avec leurs différences pendant une lutte de près de quarante ans, n'a pas dissuadé le gouvernement de choisir la force en engageant des expulsions en avril et mai 2018. Pourtant, un an plus tard, la ZAD est toujours là, et elle reste un territoire vivant où s’expérimentent toujours des organisations et des idées à défendre !
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Suite à l'abandon du projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes, le gouvernement a entrepris la normalisation de ce territoire. D'abord par la destruction d'un tiers des habitats puis par la contrainte de projets individuels. Aujourd'hui comme hier, il est nécessaire de continuer à défendre d'autres manières d'habiter.
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Nous, Comité de soutien DéfendreHabiter réunissant architectes, paysagistes, urbanistes, anthropologues, universitaires, habitant.e.s de la ZAD et citoyenn.e.s, vous écrivons depuis la commune de Notre-Dame-des Landes.
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Après la tribune « Comme à la zad de Notre-Dame-des-Landes, défendons d'autres manières d’habiter » suivie d'une pétition qui a rassemblé 60.000 signataires, nous appelons à la création d'un comité de soutien « Défendre Habiter la zad ».