L'ALM partage et défend les principes déclinés dans la charte éditoriale de Mediapart. Elle se défend donc d'intervenir dans la vie rédactionnelle du journal et n'entend pas peser sur sa ligne éditoriale.L'ALM1…
partage et défend le même attachement d'indépendance du journal Mediapart vis-à-vis de tous les pouvoirs.L'ALM partage et défend le modèle économique adopté par Mediapart, site d'information dont la source de revenu ne provient pas de la publicité mais de l'adhésion payante de ses abonnés, seul moyen de garantir au lecteur qualité éditoriale, indépendance véritable et pérennité.L'ALM partage et défend les objectifs de qualité, de pluralisme, d'indépendance, de pertinence et d'exclusivité qui sont les piliers de Mediapart.L'ALM partage et défend la démarche participative adoptée par Mediapart, dont le site www.mediapart.fr est le support, afin d'en faire un lieu de débat de référence ainsi qu'un Média participatif de qualité, soutenu par une importante communauté d'abonnés et par le Club Mediapart.L'ALM entend prendre toutes les initiatives possibles pour faire partager son attachement à Mediapart.
Information du Club de la Presse, Marseille: Aujourd'hui, Edwy Plenel présente le livre «N’oubliez pas!» à la Librairie Les Arcenaulx25, cours d'Estienne D'Orves 13001 Marseille
Pourquoi a-t-on créé l'ALM? Pourquoi des lecteurs se sont-ils contactés, réunis, pourquoi ont-ils payé une cotisation et travaillé pour créer une association voici près d'un an? Pour soutenir, autant qu'il est possible et un peu plus qu'en étant abonné, Mediapart et, par là, la liberté de la presse qui est une des conditions de la démocratie.
Le réseau des lecteurs de Mediapart existe, la volonté d'un certain nombre d'entre eux de soutenir le journal, et, par là, la liberté de la presse, aussi. C'est cela qui me semble particulièrement important par les temps qui courent. La création d'une association des lecteurs répond à ce souhait : mais, de mon point de vue, la structure associative, avec sa lourdeur et sa notion de "représentation" n'est pas adaptée au mode de fonctionnement en réseau des relations entre internautes, relations marquées par la rapidité et la fluidité des échanges. Avec, de plus, une interface publique qui, paradoxalement, freine les échanges entre les personnes.