La VIIe édition réunira sans doute plus de 30000 auditeurs pour 35 débats avec 135 intervenants.
Le sujet ,cette année, pose à proprement1
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parler un problème d’éthique de la vie en regard des progrès scientifiques qui permettent des modifications extraordinaires pour le meilleur et pour le pire. (3098170 visualisations sur facebook etc …)
Pour que d’éventuels contributeurs puissent participer en connaissance cause voici l’adresse du site :
Oui , en dépit de tout le sérieux solennel, à travers l’excellence de sa préparation, celle de sa mise en œuvre, le recours à des intervenants/acteurs de grande qualité, une assistance exceptionnellement attentive, fascinée et respectueuse, le 7° Forum Européen de Bioéthique de Strasbourg aura été aussi un beau spectacle
Un thème qui a fait salle comble au forum européen de bioéthique et a réuni une brochette d’éminents spécialistes de tous les genres de la SF (voir ci dessous).
Jeudi 2 février, le programme affiché n’était pas une invitation à revoir quelques épisodes de la fameuse série américaine (The Outers Limits soit Au-delà du Réel) qui a passionné des millions de téléspectateurs des années 60 jusqu’aux années 2000. Le sujet du jour était une réflexion sur les risques d’altération de la conscience dus à l’invasion du numérique dans nos vies quotidiennes.
L’expression, comme un aveu d’incompétence, est celle du plus éminent élu de la Ville, rappelée par lui-même lors de la séance d’inauguration du Forum Européen de Bioéthique. Roland Ries aurait employé la formule en entendant les propositions de création d’un forum du Pr Nisand, le fondateur qui finalement a réussi à le convaincre. C’était le lundi soir en clôture d’une journée fort riche.
Le titre choisi pour cette 7°édition d’une manifestation annuelle désormais attendue, reconnue, courue et en progrès constants, aurait pu se décliner en d’autres termes plus souvent utilisés pour qualifier les modifications que la science peut apporter à l’homme : l’homme renforcé, l’homme réparé, l’homme augmenté, l’homme orienté jusqu’ à l’homme avide d’ immortalité.