La poésie et la vie

Parce que même en ces temps de fêtes, même au cœur de l'hiver, dans le froid, dans le gel, sur une mer tourmentée et au milieu des montagnes blanchies par la neige, au moment même où j'écris ces lignes, des femmes, des hommes et des enfants sont en exil. Ils fuient un pays qui s'enflamme. Ils risquent la mort pour oser la vie. Ils méritent au moins de ne pas être oubliés.

L'hôpital va mal. Ou comment le dire autrement.

Pas à pas, souffle après souffle, Odile Lefranc part à la recherche de « diamants nocturnes », de « joue contre ciel », de « soupirs étourdis », d’« une ligne de vie. »

Partir n'est pas s'enfuir si vivre c'est, d'abord, fuir.

Ressentis, travers, pathologies face à leurs dérisoires antidotes, parades ou contre postures.

Trouvé par hasard un recueil de texte de Pierre Louys, édité en 1947, intitulé "Poëmes". Sous le vernis symboliste des textes d'une magnifique sensibilité.

Un bouquet de poèmes à effeuiller à son rythme

Ce petit texte devait s'intituler 'Tornado' mais le lien possible avec le cheval éponyme, fidèle monture de Don Diego, apparaissait captieux à mes bêta-lecteurs