Alors que l'emploi au sens large du terme se fait rare..., qu'un modèle de civilisation dite moderne évolue face à d'autres émergents..., dans un sens encore loin de toutes consciences..., et que l'Être
…
humain cherche à redéfinir et reconstruire sa place, son utilité et son identité dans le travail..., dans le monde et son économie..., cette rubrique vous propose d'en débattre par l'enrichissement de vos avis, vos expériences, vos aspirations...!
Et voilà..., le fond du fond est bien là... et moi avec... ! Ce fond aussi noir que les « dark-pools », mais avec tout son argent en moins, constitue la limite au delà de laquelle je ne veux pas aller... ! Cette zone obscure, sorte de non droit constitutionnalisé, où règne comme seules lois, celles d'une dérégulation du tout, du travail au black peut être, avec les risques qu'il représente, pas pour moi physiquement, mais pour mon honneur, ma famille et ma conviction profonde que ce n'est pas là...
Bonjour à vous en cette journée festive, celle du travail de tous et pour tous, dans ce monde qui en perd tant et tant. Nous sommes un collectif de chômeurs(ses), de précaires et aussi de travailleurs(ses), de tous sexes, âges, sans discrimination aucune, handicap y compris, et nous nous appelons « Occupons Pôle Emploi ». Nous pensons qu'en ce jour internationalement capital, rassemblant l'ensemble des travailleurs(es), des personnes, reconnaissant la nécessité de produire, de participer activement à l'économie des pays autant qu'à leur épanouissement personnel, nous pensons donc avoir nos mots à dire... !
Bonjour tous,En premier lieu, je et nous (Collectif "Occupons Pôle Emploi") voulons remercier Mediapart de nous laisser une tribune encore ouverte, pour nous permettre de nous expliquer, de nous faire entendre et d'informer celles et ceux qui s'intéressent sincèrement au problème fondamental qui touche des familles entières dans de nombreuses couches sociales..., le chômage et la précarisation....!
«C'était le 9 janvier [1998], au plus fort du grand mouvement des chômeurs. J'ai écouté les informations toute la journée. Je ne pouvais pas aller me pavaner à la T.V. quand tant de gens vivaient une telle détresse économique.