Où l’on s’interroge sur cet espace privilégié, à mi-chemin de la nature sauvage et de l’humanité. Une promenade où l’on croisera Jérôme Bosch, Versailles, des rhododendrons anglais, un jardinier punk, des concepts philosophiques et de la poésie, bien sûr.
Nos maisons sont-elles vraiment le miroir de ce que nous sommes ? Que racontent-elles de nos désirs, de nos craintes, de notre monde et de notre manière de l’habiter ? Petit état des lieux de la question avec Harry Potter, Mona Chollet, Tati et Miyazaki, entre autres.
Je veux vous parler aujourd’hui de trois livres éclaboussés de sang, de désespoir, de violence. Ils nous viennent des bas-fonds, de la marge. Ils questionnent l’humain et ce que signifie, en politique et dans la vie, être de gauche, à gauche. Vraiment. Sans fioritures, sans langue de bois, mais avec beauté et poésie. De la vraie littérature, en somme.
En bord de mer ou à la montagne, en van aménagé ou en tente, il existe autant de campings que de campeurs. Petit retour sur la question et sur ce que cette activité peut bien révéler de nous.
« Depuis quelque temps, l’Europe semble avoir oublié qu’elle est la fille de l’épopée et de l’utopie. Elle s’assèche de ne pas parvenir à le rappeler à ses citoyens. Trop lointaine, désincarnée, elle ne suscite souvent qu’un ennui désabusé. » Comment rouvrir nos horizons ? Et si la solution, c’était l’Europe ? Réflexion propulsée par la lecture de Laurent Gaudé.