En cette période de crise sanitaire et sociale du COVID 19, il est primordiale que les maires soient solidaires pour arrêter la casse et d'une paupérisation sans nom, dans notre pays.
18 ans,à la sortie du dispositif A.S.E (aide sociale à l'enfance) , la plupart des jeunes se retrouvent à la rue ou en prison sauf si par chance, tu tombes dans la bonne famille d'accueil. Bref, c'est la loterie, par exemple en fonction du département pour obtenir un contrat jeune majeur...
Par ELINA DUMONT
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J'ai été sans domicile fixe pendant 15 ans. A chaque fois que l'on m'a tendu un micro, j'ai pris la parole pour exprimer mon indignation concernant la situation précaire des sans-abris. Aujourd'hui, je ne suis plus seule : un comité de rue est né.
Aucune victime, quelque soit le pays, ne doit être oubliée, tués par ces barbares sans nom autant que la France ou la Belgique.
Une victime est une victime. La mort n'a pas de frontière. Y'aurait il une hiérarchisation selon les victimes de tous ces attentats. Je suis outrée.
Actuellement, dans un H.L.M neuf, de la ville de Paris, nous sommes 28 locataires contraints de s'abonner à l'Opérateur ORANGE pour obtenir internet afin de travailler ou de trouver un travail bref, de se connecter au monde pour garder un lien social comme si savent bien le dire nos hauts gradés et qui se disent lutter contre le chômage.